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Des facteurs socioéconomiques et culturels influent sur la performance au chapitre de l'éducation et des compétences

Il faut mieux comprendre les défis particuliers auxquels sont confrontés les autochtones.

Selon un nouveau rapport du Conference Board du Canada sur l'éducation et les compétences dans les territoires produit dans le cadre de l'analyse Les performances du Canada, les résultats des territoires au chapitre de l'éducation et des compétences sont inférieurs à ceux des provinces en raison d'écarts notables entre les niveaux de scolarité des populations autochtones et non autochtones.

16 octobre 2014/Auteur: Conference Board of Canada/Nombre de vues (21439)/Commentaires ()/
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Omnium de volleyball

Omnium de volleyball

Un projet de l'AJF et du CÉF

C’est sous le signe de la fraternité que s’est déroulé l’Omnium fransaskois de volleyball au centre Henk Ruys à Saskatoon les 8 et 9 octobre derniers.  Quelque 483 élèves des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) des quatre coins de la province se sont amusés en y participant.  

16 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (34725)/Commentaires ()/
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Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Une mine de ressources à une distance de clic

Créé en 1986, le Lien est un centre de ressources culturelles et pédagogiques en français. Il dessert les francophones et francophiles de la Saskatchewan et de l’Ouest canadien. Seul centre francophone de prestation de services, le Lien met gratuitement à la disposition de ses usagers 42 000 titres soit 70 000 ressources sous forme de livres, de films (DVD, VHS), de CDs et propose l’accès à du matériel audiovisuel.

15 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26438)/Commentaires ()/
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Nicole Lemire:  De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études?

 

9 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (27572)/Commentaires ()/

Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan

Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (31342)/Commentaires ()/
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Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) ont réélu M. Yves St-Maurice à la présidence de l’association pour un quatrième mandat consécutif. 

9 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30256)/Commentaires ()/
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Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Services de mentorats et tutorats

Depuis le début de l’année universitaire, l’Institut français, sous la supervision de Ariadna Sachdeva, Conseillère et coordonnatrice des programmes crédités et des services aux étudiants, a mis en place un programme de mentorat.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25949)/Commentaires ()/
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Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Les écoles fransaskoises connaissent la deuxième plus forte hausse au pays

La tendance nationale des inscriptions dans les écoles francophones est positive. Mais pas dans toutes les provinces, où se profilent d’importants défis pour l’avenir. Le 24e Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) fera le point. 

3 octobre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (23382)/Commentaires ()/
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Programmation du Collège Mathieu 2014-15

Programmation du Collège Mathieu 2014-15

L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis Kasongo, s’affirme de plus en plus comme l’un des acteurs majeurs, avec l’Institut français, du dossier du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26488)/Commentaires ()/
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Les choses bougent à l’Institut français

Les choses bougent à l’Institut français

 Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27537)/Commentaires ()/
Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 

2 octobre 2014/Auteur: Marie-Pier Boilard/Nombre de vues (39006)/Commentaires ()/
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne d’aide au financement de projets scolaires par vente d’abonnements au journal l’Eau Vive

2 octobre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26143)/Commentaires ()/
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L’université francophone ontarienne pour 2025?

L’université francophone ontarienne pour 2025?

Gouverne ontarienne, mission canadienne

Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto, promet de franchir une étape clé dans la création d’une université franco-ontarienne. Un projet qui dépasserait les frontières provinciales.

28 septembre 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (22928)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24251)/Commentaires ()/
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Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

18 septembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25293)/Commentaires ()/
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24 heures dans une maison de soins prolongés

Plongée dans le quotidien du personnel soignant

Auteur: Alexandra Drame (EV)/27 novembre 2014/Catégories: 2014, Société, Aînés

Gloriose Gahizi est infirmière auxiliaire depuis 9 ans. Elle nous raconte son quotidien en maison de soins infirmiers à Saskatoon. Un mélange aigre-doux de travail en sous-effectif, de petits moments de complicité avec les patients, mais aussi le portrait de la solitude des aînés.

Le matin 

L’équipe de jour : 5 infirmières et 14 préposés pour 140 patients

L’équipe de nuit passe le relais à l’équipe de jour. Un point est fait sur la condition médicale des résidents. On regarde l’emploi du temps pour voir si certains patients ont des rendez-vous médicaux à l’extérieur et lesquels on doit préparer en premier. En effet, chaque patient est lavé une fois par semaine seulement, les autres jours ils sont débarbouillés au lavabo ou dans leur lit. Sur une unité de 50 résidents avec 6 préposés, on ne peut pas faire plus, car cela implique de déplacer les patients, les laver, les habiller... Ces opérations prennent du temps et nous sommes en sous-effectif.

Tous les résidents sont ensuite amenés à la salle de petit-déjeuner, sauf ceux qui sont trop malades, contagieux, ou ne souhaitent pas y aller. On leur sert de la nourriture santé, on veille aussi à ce qu’ils soient bien hydratés. Les médicaments sont administrés, selon les doses préparées par les infirmières.

Un employé s’occupe de l’organisation d’activités pour les résidents : concerts de bénévoles, ateliers de cuisine, jeux de motricité avec un ballon. Il peut aussi y avoir des activités de physiothérapie suivies d’évaluations sur l’évolution de la santé. Pendant l’été, de jeunes bénévoles sortent les patients pour des promenades dans le quartier.

Le midi

Nous avons des défis pour nourrir les patients en perte d’autonomie. Il y en a de plus en plus chaque jour, et cela demande du personnel. On s’assoit entre deux personnes pour les nourrir en même temps par exemple. Les personnes qui font le service, et dont ce n’est pas la tâche, viennent aider au moment des repas. Des familles et des bénévoles viennent spécialement pour nous aider à nourrir les patients. C’est vraiment un travail d’équipe.

L’après-midi

Une collation est servie. Certains patients retournent dans leur chambre pour se reposer, d’autres ont des rendez-vous médicaux ou des visites de leur famille. C’est aussi le moment de faire les réunions avec nos supérieurs pour préparer le shift de nuit. Et c’est le temps de changer les positions des personnes en soins palliatifs pour éviter les plaies de lits.

La nuit

L’équipe de nuit : 2 infirmières et 5 préposés pour 140 patients

De nouveau, il y a passage de relais entre les équipes de jour et de nuit.

On change les culottes d’incontinence des patients et on les prépare pour le souper. On les ramène ensuite dans leur chambre. Certains préfèrent s’assoir dans les corridors pour discuter avec le personnel et ne pas rester seuls dans leurs chambres.

La nuit, il y a souvent des urgences : des gens qui tombent en voulant aller aux toilettes, des personnes qui tombent malades ou inconscientes. Il faut être aussi vigilant qu’en journée.

Les difficultés rencontrées au quotidien

La difficulté principale c’est le manque de personnel. Nous ne pouvons pas donner l’attention que nous voudrions à chaque patient alors que c’est important pour le maintien de leur santé. Nous pourrions éviter des frustrations de la part des patients, du personnel et des familles. Certaines familles sont difficiles et se plaignent du service, mais beaucoup comprennent notre situation et nous aident bénévolement.

Les bons côtés du métier

Le travail en équipe et l’entraide sont très importants. Le soutien moral des superviseurs nous motive à continuer chaque jour. Maintenir un environnement sain et propre pour nos patients est une fierté.

J’ai eu le cas d’une patiente qui, avec l’âge, avait oublié l’anglais. Les autres membres du personnel pensaient qu’elle ne pouvait pas parler. Mais lorsque je lui ai parlé en français, elle m’a répondu. Elle est contente de pouvoir parler avec moi et elle a retrouvé le sourire. On est content de voir que l’on sauve des vies. Et on est content quand un patient nous dit merci.

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 - samedi 15 juin 2024