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Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va?

L’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois était plutôt calme cette année. Je me suis surpris à m’ennuyer des joutes verbales de l’année dernière. Lors de l’AGA de 2014, le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) était en pleine tempête financière, des coupes sévères venaient d’être faites, et tout laissait croire que ce n’était pas fini. Les colonnes de chiffres inquiétaient les parents et ceux-ci l’avaient fait savoir.
4 février 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32751)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
L’importance de la lecture avec les enfants

L’importance de la lecture avec les enfants

Selon les résultats des recherches de C.A. Nelson, du Centre du développement de l’enfant de l’Université Harvard, le développement langagier d’un enfant se manifeste longtemps avant le premier balbutiement des mots « mmman » ou « pa, pa, papa ». Les études du développement cérébral révèlent que les neurones et les synapses pour le langage apparaissent trois mois avant la naissance. La croissance de cette zone du cerveau atteint son sommet vers l’âge de 4 ans.

4 février 2015/Auteur: Rita Denius (CM)/Nombre de vues (30035)/Commentaires ()/
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
4 février 2015/Auteur: Michèle Fortin (EV)/Nombre de vues (29851)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois depuis le dépôt d’un rapport sévère de la vérificatrice provinciale et la fermeture annoncée de l’école Sans-frontières de Lloydminster.

4 février 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (35348)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la Commission scolaire francophone du Yukon (CSFY) au gouvernement du Yukon. Le litige repose sur les droits de gestion scolaire en contexte minoritaire.

29 janvier 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33442)/Commentaires ()/
Balises: CSFY
Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise:  Comment se porte le français dans nos écoles?

Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles?

Rencontre avec un parent inquiet, mais optimiste

La Saskatchewan a bien changé depuis l’obtention de la gestion scolaire il y a 20 ans. Depuis deux décennies, l’épanouissement du Conseil des écoles fransakoises (CÉF) est évident. La gestion scolaire est-elle garante de la qualité de l'éducation française? Nous en avons discuté avec un parent de Regina qui a accepté de répondre à nos questions mais qui a préféré garder l'anonymat.

29 janvier 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (242232)/Commentaires ()/
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Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

La Commission scolaire francophone du Yukon devant la Cour suprême

J’ai appris avec stupéfaction la position du gouvernement du Québec devant la Cour suprême en ce qui concerne la gestion des écoles par les minorités francophones du reste du pays. En effet, par l’entremise de sa ministre de la justice, Stéphanie Vallée, Québec a signifié son refus d’appuyer des communautés francophones hors Québec. 

29 janvier 2015/Auteur: Jean-François Larose/Nombre de vues (32666)/Commentaires ()/
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Turbulences dans les conseils scolaires francophones

Turbulences dans les conseils scolaires francophones

La CSFTNO se tourne vers la Cour suprême

La Commission scolaire francophone des Territoires du Nord-Ouest (CSFTNO) et l'Association des parents ayant droit de Yellowknife (APADY) viennent de subir un cuisant revers devant la Cour d’appel des TNO.

20 janvier 2015/Auteur: Denis Lord (L’Aquilon) et Paul Mengoumou (Francopresse)/Nombre de vues (33339)/Commentaires ()/
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Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Bilan d'un stage de de l'ACELF de six semaines par deux étudiants de l'Université de Sherbrooke à l'école fransaskoise Mgr de Laval à Regina.
15 janvier 2015/Auteur: (ACELF)/Nombre de vues (23211)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Lancement du Grand Quiz

Lancement du Grand Quiz

La Grande Dictée fait peau neuve!

REGINA - C’est le 7 janvier 2015 que le Collège Mathieu et Radio-Canada ont tenu une conférence de presse dans le but de présenter leur nouveau concept tant attendu, Le Grand Quiz.
15 janvier 2015/Auteur: Marie-Pier Boilard (EV)/Nombre de vues (42499)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz

Rapport de la vérificatrice sur la gestion scolaire : Un besoin de rigueur

On attendait de pied ferme le rapport de la vérificatrice provinciale sur la gestion du Conseil scolaire fransaskois (CSF) et l’administration du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Jetons un coup d’œil sur certains éléments clé de ce document qui démontrent que les déboires financiers n’étaient pas dus qu’à un manque de financement. 

11 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (29378)/Commentaires ()/
Symposium des parents 2014

Symposium des parents 2014

REGINA - Plus de 100 personnes se sont retrouvées au Symposium des parents ce samedi 29 novembre à Regina. Sous le thème Trouver son équilibre!, l’Association des parents fransaskois (APF) présentait son évènement annuel.

4 décembre 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (28970)/Commentaires ()/

Une ouverture qui pourrait devenir une brèche

Je vois la dominance de l’anglais à une rencontre aussi importante que celle de Lloydminster comme un signal d’alarme. Qu’on se rappelle l’exemple de la Coopérative d’habitation Villa Bonheur à Saskatoon. Par souci de rentabilité, elle avait accepté d’accueillir des anglophones. Aujourd’hui, les rencontres de son conseil d’administration se déroulent en anglais uniquement.

3 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26442)/Commentaires ()/
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Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

 Il y a plus d’un an, le Conseil scolaire fransaskois a entamé un long processus de redressement, nécessitant la mise en place de pratiques de gestion financière et de gouvernance améliorées. Selon le CSF, ces pratiques vont dans le sens des recommandations exprimées dans le rapport qui a été rendu public aujourd’hui.

3 décembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31902)/Commentaires ()/
Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

L'attrait des anglophones pour l'école fransaskoise est-il uniquement culturel et linguistique?

Grâce à la nouvelle stratégie numérique de la Société Radio-Canada, le grand public a pu assister par Webdiffusion à la rencontre qu’a organisée le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les parents dont les enfants fréquentent l’école fransaskoise Sans-Frontières de Lloydminster. La direction du CÉF et le président du Conseil scolaire fransaskois ont voulu faire le point avec la vingtaine de participants sur la situation du financement de cette école dont la fermeture est sur l’écran radar avec son déficit annuel de 650 000$. 

27 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (27159)/Commentaires ()/
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Économie : un déficit de 62 milliards et silence sur les langues officielles

Économie : un déficit de 62 milliards et silence sur les langues officielles

Auteur: Inès Lombardo – Francopresse /17 décembre 2024/Catégories: Économie, Politique

Un déficit de 62 milliards de dollars pour 2023-2024, au lieu des 40 milliards prévus, met le gouvernement libéral dans une situation plus que tendue, alors que la ministre des Finances et vice-première ministre a démissionné avec fracas le matin du dépôt de l’énoncé économique de l’automne.

La ministre des Finances et vice-première ministre du Canada, Chrystia Freeland, a annoncé sa démission quelques heures avant le dépôt de l’Énoncé économique de l’automne de 2024.

Le document, qui fait office de mise à jour et de minibudget pour des dépenses non incluses dans le budget du printemps, a été remis aux journalistes et experts avec plus de quatre heures de retard lors du huis clos.

La semaine précédant le dépôt de l’énoncé économique, la désormais ex-ministre des Finances avait évité de se prononcer sur le montant du déficit, qu’elle avait dit au printemps vouloir maintenir en dessous de 40,8 milliards de dollars.

Mais des mesures sont venues creuser le déficit, le faisant basculer à 61,9 milliards de dollars pour l’année fiscale 2023-2024.

Réclamations autochtones et COVID-19

Le gouvernement justifie ce dépassement du déficit par des «provisions plus élevées que prévu» concernant les revendications des peuples autochtones «qui font l’objet de négociations avec d’autres partis ou dont les tribunaux sont saisis» et au soutien de la population et des entreprises durant la pandémie de COVID-19.

Ce sont donc 16,4 milliards qui vont au passif des réclamations autochtones et 4,7 milliards aux «rajustements pour le soutien liés à la COVID-19».

Plus tôt cette année, le directeur parlementaire du budget, Yves Giroux, avait établi que le déficit allait se chiffrer à 46,8 milliards de dollars.

Le déficit n’inclut pas les chèques de 250 $ que les libéraux avaient dit vouloir envoyer aux Canadiennes et Canadiens gagnant moins de 150 000 $, faute de consensus entre les partis aux communes. Le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique (NPD)​​ souhaitent notamment inclure les ainés dans les bénéficiaires.

Le congé de TPS de deux mois, qui est entré en vigueur le 14 décembre, coutera 1,6 milliard de dollars et se répercutera sur l’année fiscale 2024-2025.

Plus sur la démission de Chrystia Freeland, remplacée par Dominic Leblanc

«Il est inévitable que notre mandat au gouvernement prenne fin», a écrit Chrystia Freeland dans sa lettre de démission destinée à Justin Trudeau et publiée sur le réseau social X, lundi.

«Vendredi dernier, vous m’avez dit que vous ne vouliez plus que je sois votre ministre des Finances et vous m’avez proposé un autre poste au sein du Cabinet […] Au cours des dernières semaines, nous nous trouvions en désaccord sur la meilleure voie à suivre pour les Canadiens», a-t-elle fait valoir.

La semaine précédant sa démission, des tensions avaient été rapportées entre son bureau et celui du premier ministre, notamment sur la mesure du chèque de 250 $.

Un autre point de tension porterait sur la riposte canadienne à la menace du président élu des États-Unis, Donald Trump, sur l’imposition de tarifs douaniers de 25 % sur les produits canadiens et mexicains. «Il faut prendre cette menace au sérieux», peut-on lire dans sa lettre.

Dominic Leblanc, actuel ministre de la Sécurité publique, des Institutions démocratiques et des Affaires intergouvernementales, prendra la tête du ministère des Finances.

En conférence de presse lundi, le chef de l’opposition, Pierre Poilievre, a commenté : «On est témoins aujourd’hui du pire chaos au sein du gouvernement du Canada dans l’histoire moderne de notre pays.»

Il a appelé à un vote de la mise à jour économique, pour faire office de vote de confiance le soir même.

De son côté, le chef du NPD, Jagmeet Singh, a réclamé dans la foulée la démission du premier ministre Trudeau.

«Chrystia Freeland vient de déclencher la course au leadeurship, à mon avis», commente la professeure de science politique à l’Université d’Ottawa, Geneviève Tellier.

«M. Trudeau disait depuis des mois que, oui, les sondages n’étaient pas très bons, mais qu’il avait une bonne équipe et que le caucus était derrière lui. Visiblement, le caucus n’est plus derrière lui.»

L’IA entremêlée aux langues officielles

L’énoncé économique comprend une section sur la Stratégie sur la capacité de calcul souveraine pour l’intelligence artificielle (IA).

La section qui décrit comment l’IA s’intègre dans les opérations de la fonction publique est le seul endroit où il est question des langues officielles. «Les grands modèles de langage en IA et la traduction automatique changeront en profondeur les façons de travailler», peut-on lire.

L’objectif est cependant de développer une expertise basée sur du contenu canadien en faisant appel à la vaste banque de textes bilingues du Bureau de la traduction. Il serait déjà au travail pour développer des outils plus efficaces.

«En perspective, les pratiques efficaces établies seront mises à profit pour utiliser l’IA au-delà des langues officielles, par exemple pour traduire des documents en langues autochtones», indique-t-on.

Du côté de la francophonie et des communautés de langues officielles minoritaires, le minibudget du gouvernement fédéral ne présente aucune mise à jour. Il manque toujours 1,6 million de dollars pour les médias de ces communautés.

Rien non plus sur l’application et la mise en œuvre de la Loi sur les langues officielles, dont les règlements doivent être déposés «avant mars», selon la présidente du Conseil du Trésor, Anita Anand.

Développement économique intérieur

Face à la menace d’imposition de tarifs sur les produits canadiens pour l’importation aux États-Unis, l’énoncé économique contient quelques mesures visant à stimuler l’économie intérieure du pays.

Il annonce, entre autres, son intention de déposer un projet de loi qui obligerait les ministères et organismes fédéraux à acheter au moins 20 % des produits et services auprès de petites et moyennes entreprises (PME) canadiennes. Il désire également augmenter la collaboration avec les PME.

Le gouvernement envisage de lier les principaux transferts de fonds fédéraux aux provinces et territoires à des conditions de réduction des obstacles au commerce intérieur et à la mobilité de la main-d’œuvre.

Un montant de 4,3 millions de dollars sera versé sur trois ans à l’Agence canadienne d’inspection des aliments dans un effort d’harmonisation des reconnaissances et des certifications en agriculture et en agroalimentaire.

Une «unité» malgré les divergences face à la menace tarifaire américaine

Les premiers ministres provinciaux et territoriaux du Canada étaient réunis à Toronto lundi pour plaider «l’unité» face à la menace des tarifs douaniers américains sur les produits canadiens, a fait valoir le président du Conseil de la fédération, le premier ministre de l’Ontario Doug Ford. L’économie canadienne doit être plus dynamique pour attirer les investissements.

Toutefois, alors que Doug Ford a émis l’idée de suspendre l’exportation d’énergie vers les États-Unis en réaction en réponse à la déclaration de Donald Trump, le premier ministre québécois, François Legault, souhaite signaler au président américain qu’il y aura davantage de contrôle concernant l’immigration à la frontière canado-américaine.

-Avec les informations de Julien Cayouette-

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Ghita Hanane

Inès Lombardo – Francopresse

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 - jeudi 26 décembre 2024