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École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

Terry Gaudet nommé l’entraîneur de performance masculine de l’année par l’Association de Volleyball de la Saskatchewan.

À l’École St-Isidore, il y a cette année bien des raisons de se réjouir. On vient de mettre la dernière touche au plancher tout neuf du gymnase, un sol de sport Pulastic. Cette nouvelle acquisition arrive à point nommé. En effet, l’école et la communauté de Bellevue, en collaboration avec la communauté de Wakaw, seront les hôtes du tournoi de volleyball de la ligue provinciale masculine 3A de la Saskatchewan High School Athletics Association (SHSAA) 

20 novembre 2014/Auteur: Jennie Baudais (CÉF)/Nombre de vues (32628)/Commentaires ()/
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Les jeunes s’emparent du Parlement

Les jeunes s’emparent du Parlement

REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des provinces du Nord et de l'Ouest du Canada. Cet évènement national donne la chance aux jeunes qui ont entre 16 et 25 ans de donner leur propre avis à propos des politiques adoptées par le Parlement officiel et, bien sûr, de se faire plein d’amis.

13 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31707)/Commentaires ()/
Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014

SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le thème de l’éducation. En ouverture, samedi le 8 novembre, la présidente nouvellement réélue de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier, a rappelé l’importance de cette thématique. Ainsi, selon elle, ‘’toute la valeur de notre communauté dépend de cette cause’’

12 novembre 2014/Auteur: Arnaud Decroix/Nombre de vues (31137)/Commentaires ()/
Balises: RVF 2014

Postsecondaire : petit voyage dans le temps

Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de l’hebdomadaire des 30 dernières années. Les gens s’amusaient à regarder les photos des membres de la communauté à une époque où les cheveux étaient plus foncés ou plus fournis.

12 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25481)/Commentaires ()/
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Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Congrès annuel de l’Association des professeurs de français de la Saskatchewan (APFS)

Quand vous regardez le calendrier scolaire de votre enfant, vous voyez toutes ces journées mystérieuses : perfectionnement professionnel, session de planification, conventions... Et je suis sûre que vous vous demandez ce que ce font les enseignants au lieu d’être en classe avec votre enfant. 

6 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27333)/Commentaires ()/
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L’École Valois à l’heure de l’Halloween

L’École Valois à l’heure de l’Halloween

PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de M. RIVARD, directeur des lieux, les chaises, les tables et les enfants studieux ont laissé place à des locataires d’un soir à savoir des fantômes, des animaux de la nuit, des toiles d’araignée et beaucoup d’autres personnages.

6 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (27924)/Commentaires ()/
« Ne pas perdre ma langue! »

« Ne pas perdre ma langue! »

Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean

Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda, s’est retrouvée devant un dilemme : quoi faire au terme de ses études secondaires? « J’ai changé d’idée au moins cinq fois en cours d’année », avoue candidement la jeune femme. 
29 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (30514)/Commentaires ()/
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la planète. Les élèves de l'école Mgr de Laval de Regina ont décidé de faire quelque chose.

22 octobre 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (28232)/Commentaires ()/
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Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration

Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation continue, ainsi que de nombreux partenaires, ont participé encore une fois au congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) qui s’est tenu les 2 et 3 octobre derniers à Ottawa sous l’égide de La Cité. 

22 octobre 2014/Auteur: Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)/Nombre de vues (28624)/Commentaires ()/
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Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

22 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (29042)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Émile Fortier: Comme une grande famille!

Émile Fortier: Comme une grande famille!

Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton

EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants.

22 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (29600)/Commentaires ()/
Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Des chercheurs ont suivi pendant quatre ans des jeunes enfants en milieu minoritaire pour mesurer l’impact d’un programme enrichi créé en Saskatchewan. Le résultat est « significatif » et pertinent.

22 octobre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25352)/Commentaires ()/
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Des facteurs socioéconomiques et culturels influent sur la performance au chapitre de l'éducation et des compétences

Il faut mieux comprendre les défis particuliers auxquels sont confrontés les autochtones.

Selon un nouveau rapport du Conference Board du Canada sur l'éducation et les compétences dans les territoires produit dans le cadre de l'analyse Les performances du Canada, les résultats des territoires au chapitre de l'éducation et des compétences sont inférieurs à ceux des provinces en raison d'écarts notables entre les niveaux de scolarité des populations autochtones et non autochtones.

16 octobre 2014/Auteur: Conference Board of Canada/Nombre de vues (21307)/Commentaires ()/
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Omnium de volleyball

Omnium de volleyball

Un projet de l'AJF et du CÉF

C’est sous le signe de la fraternité que s’est déroulé l’Omnium fransaskois de volleyball au centre Henk Ruys à Saskatoon les 8 et 9 octobre derniers.  Quelque 483 élèves des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) des quatre coins de la province se sont amusés en y participant.  

16 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (34541)/Commentaires ()/
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Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Une mine de ressources à une distance de clic

Créé en 1986, le Lien est un centre de ressources culturelles et pédagogiques en français. Il dessert les francophones et francophiles de la Saskatchewan et de l’Ouest canadien. Seul centre francophone de prestation de services, le Lien met gratuitement à la disposition de ses usagers 42 000 titres soit 70 000 ressources sous forme de livres, de films (DVD, VHS), de CDs et propose l’accès à du matériel audiovisuel.

15 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26300)/Commentaires ()/
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Décès de Joe Fafard : Témoignages de la communauté artistique

Auteur: Webmestre/28 mars 2019/Catégories: 2019, Arts et culture, Arts visuels

Suzanne Campagne, directrice générale du Conseil culturel fransaskois

Suzanne Campagne, directrice générale du Conseil culturel fransaskois

Photo: Archives de l'Eau vive
Il avait été de tout cœur avec nous dans cette grande aventure en 2012 pour faire connaître la fransaskoisie au Québec. Il aimait moins le « fla-fla » des choses — les discours, et les rencontres des dignitaires. Tout ça faisait trop « sermons », pour lui. Il aimait quand on créait ensemble, quand on racontait nos histoires, nos repas, nos chansons, nos œuvres d’art. Il aimait quand on créait ensemble qui nous étions les uns pour les autres. Tout ça était pour lui « simplement si beau » !
Suzanne Campagne
Directrice générale, Conseil culturel fransaskois


Jean-Philippe Deneault

Jean-Philippe Deneault

Critique d'art
Fafard est malheureusement disparu trop tôt. Ses sculptures les plus récentes possédaient une maturité esthétique exceptionnelle et nous en attendions la suite avec impatience. Alliant ses deux sujets figuratifs de prédilection, l’être humain et l’animal, ses plus récentes sculptures représentant des personnages anthropozoomorphes étaient réalisées de manière rigoureuse et avec une finesse dialectique peu commune. Il laisse derrière lui une œuvre d’une grande beauté esthétique à laquelle s’ajoute une valeur socioanthropologique et historique indéniable dont le legs se situe bien au-delà des frontières de la Francophonie.
Jean-Philippe Deneault
Critique d’art, Saskatoon


Lorenzo Dupuis
Peintre de Saskatoon
Joe a toujours été égal à lui-même. Il était gentil, sensible et accueillant avec toutes les personnes qu’il rencontrait. Il était courageux et tenace dans sa démarche artistique. À l’époque où il a commencé à sculpter, l’art abstrait dominait. Tout artiste sérieux était censé ne pas faire d’art figuratif, mais Joe avait ça vraiment à cœur et se fichait de cette mode. Joe s’est inspiré de son vécu, que ce soit les gens de Pense, qu’il rencontrait dans les cafés, ou bien les vaches et les chevaux qu’il aimait tant dessiner pendant son enfance à la ferme. En allant contre le courant, Joe a réussi à convaincre la population des Prairies et d’ailleurs ainsi que les galeristes que ses œuvres étaient uniques.
Lorenzo Dupuis
Peintre, Saskatoon


Zoé Fortier

Zoé Fortier

Joe Fafard a été le premier à me montrer que c’était possible pour moi de devenir artiste en Saskatchewan. Je n’avais jamais rencontré d’autres artistes visuels fransaskois avant de le connaître en 2012. Il était célèbre et respecté de ses pairs. Avant ça je pensais que nous étions les seuls à voir et à apprécier la beauté de notre province. À chaque fois que je vois ses sculptures, je me dis qu’elles sont des témoignages de notre patrimoine culturel et de notre présence dans les prairies. En voyant une de ses vaches ou un de ses chevaux en bronze grandeur nature, j’ai l’impression d’entendre sa voix au loin qui fredonne la chanson « Quand les hommes vivront d’amour.» 
Zoé Fortier
Illustratrice, Saskatoon


David Garneau

David Garneau

Peintre, professeur, arts visuels, Université de Regina
J’ai vu le travail de Joe Fafard pour la première fois dans une galerie d’art à Edmonton en 1977. Ça m’a bouleversé. Comparée à la peinture et à la sculpture en vogue à cette époque et dans cet endroit, son œuvre était accessible et franchement réjouissante. J’étais aux études, j’avais toujours voulu être artiste et le travail de Joe était une immense inspiration. En 1980, j’ai eu ma première exposition personnelle à la Bear Claw Gallery d’Edmonton. Les personnages de mes figurines d’argile bien plus rugueuses étaient des hommes qui vivaient dans les rues du centre-ville et à proximité de la rue Boyle. Le Edmonton Journal titrait « Move over Joe Fafard, here comes David Garneau. » J’étais mortifié ! Des années plus tard, au milieu des années 90, j’ai finalement eu le courage de me rendre à Pense, afin d’interviewer mon idole pour un article de magazine. En rencontrant cet homme, j’ai pu constater que son art n’était ni romantique ni kitsch, mais une expression sincère de sa vie et de son attitude. J’admirais qu’il soit capable de gagner sa vie en travaillant sans avoir à quitter sa maison. Il va nous manquer ; son esprit vit de son art et de tout ce qu’il a touché.
David Garneau
Peintre, professeur, arts visuels, Université de Regina


Le sculpteur de Saskatoon Jean-Sébastien Gauthier

Le sculpteur de Saskatoon Jean-Sébastien Gauthier

Photo: Jean-Marie Michaud
Y’en aura pas d’autres comme Joe. Je tiens à présenter mes sincères condoléances à sa famille et à ses amis. Joe m’a beaucoup inspiré. Ses œuvres sont des témoignages de l’excellence et de l’humilité. Il a su faire ressortir la fragilité, la tendresse et la force des animaux dans ses sculptures. Je suis reconnaissant d’en avoir appris davantage sur le métier de sculpteur après chaque rencontre avec lui. Merci Joe!
Jean-Sébastien Gauthier
Sculpteur, Saskatoon


Alexandra Keim

Alexandra Keim

Directrice de la Maison des artistes visuels francophones à Saint-Boniface
Le 12 mai 2011 a été une journée très spéciale pour La Maison des artistes visuels francophones. Même si je n’étais pas là, je peux vous dire que la sculpture de Joe, comme tous ses amis l’appelaient, est devenue un symbole de force pour notre établissement à Winnipeg. Sa sculpture entre chien et loup, installée par une belle journée ensoleillée, monte la garde devant Saint-Boniface depuis ce temps-là. Joe va beaucoup nous manquer, son sourire, son accessibilité et son humanité aussi. Nous honorons son œuvre dans notre jardin de sculptures et nous sourions toujours quand nous passons devant.
Alex Keim
Directrice de la Maison des artistes visuels francophones, Saint-Boniface


Michel Lalonde en concert chez Joe et Alyce le 3 août 2018

Michel Lalonde en concert chez Joe et Alyce le 3 août 2018

Photo : Alyce Hamon (2018)
Quand je suis arrivé en Saskatchewan en 1990, Joe Fafard était déjà un artiste de renommée, mais j’avoue que je ne connaissais pas grand-chose de l’homme. Dès les premières fois que j’ai vraiment échangé avec Joe, je fus tout de suite frappé par sa profondeur, sa candeur, sa simplicité et surtout son authenticité. 

On se parlait comme de vieux chums. J’avoue avoir été frappé par cette gentillesse et cette ouverture. Je me suis toujours méfié des gens qui approchaient les gens connus sans respecter leur intimité. Dans mon for intérieur, j’étais impressionné devant le grand artiste, mais je me gardais une petite gêne, ne voulant pas me « pitcher » sur lui comme le font nombre de fans devant leur idole. Au fil du temps, j’ai appris à connaître Joe, l’homme, le rêveur, le p’tit garçon qui était profondément attaché à ses racines et à ses valeurs. J’ai découvert un être rendu célèbre grâce à son talent et à son travail, mais qui était toujours resté complètement lui-même, humain, vulnérable et solide à la fois.

Je suis tellement reconnaissant que la vie m’ait donné l’occasion de croiser, si brièvement soit-il, ce grand homme. Je suis d’autant plus touché de me compter parmi ses amis. Il va nous manquer beaucoup. Mes pensées sont avec Alyce et ses enfants qui vivent une peine encore plus grande que la mienne. Ce qui va me manquer le plus, je crois, c’est de ne pas le revoir pour qu’on parle de nos projets d’avenir, lui qui en avait toujours. Eh bien, mon ami Joe, tu continues de nous faire rêver, de nous inspirer et de nous faire croire en la beauté de la vie. Tu restes parmi nous !
Michel Lalonde
Auteur-compositeur, Regina


Anne Brochu

Anne Brochu

Photo: Conseil culturel fransaskois
Je serai toujours reconnaissante des conseils et encouragements reçus au cours des années, ainsi que des expériences de création partagées, comme celle à son atelier de Lumsden en techniques d’impressions. Sa trajectoire artistique est une source d’admiration et d’inspiration ; je demeure émerveillée devant sa capacité constante à se renouveler, à pousser sa pratique sur de nouveaux sentiers sans perdre l’essence de qui il était. C’est un exemple fort qui va m’habiter pour de nombreuses années à venir !
Anne-Brochu Lambert
Peintre, Regina


Patricia Leguen sculptant sur sable en Allemagne

Patricia Leguen sculptant sur sable en Allemagne

C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le décès de Joe Fafard, mon ami sculpteur depuis plus de trente ans. Je l’avais invité à ma pendaison de crémaillère en 1993 et il m’a offert une de ses sérigraphies. Je le revois encore assis à ma table de cuisine en grande discussion avec Bill Epp. J’ai suivi sa carrière et son évolution artistique avec beaucoup d’intérêt. Après avoir vu sa première exposition au Musée des Beaux-Arts de Montréal, je suis allée en moto à Lumsden avec le catalogue de l’expo et il s’est empressé de me dessiner une belle vache comme dédicace. À chacune de nos rencontres, nous parlions d’art et de sculpture. Je lui montrais des photos de mes œuvres éphémères monumentales lors de compétitions internationales et il me disait en riant que c’était beaucoup trop physique pour lui. Joe, tu as sûrement retrouvé les plus grands artistes disparus avant toi que tu aimais tant sculpter.
Patricia Leguen
Sculptrice, Saskatoon     

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Balises: Joe Fafard
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 - dimanche 19 mai 2024