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Festival fransaskois 2024
Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Kelly Larkin Conway est la nouvelle agente de promotion des programmes de langues officielles proposés par le gouvernement de la Saskatchewan. Cette nouvelle recrue vient renforcer les rangs du personnel bilingue du gouvernement provincial. 

20 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (26531)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
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Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Grâce à la communauté fransaskoise j’ai pu garder mon français

Cette année, le prix Alpha Sask récompensait un texte répondant à la thématique Pourquoi avez-vous décidé d’apprendre le français? C’est totalement par hasard que Robert Craig est tombé sur l’affiche du concours, pendant sa pause café. C’était le dernier jour pour envoyer les textes. Il a décidé de tenter sa chance. En effet, il avait bien des choses à dire sur son histoire d’amour avec le français.

20 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (26402)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Sask
Parents et petits à Prince Albert

Parents et petits à Prince Albert

Des activités ludiques... en français!

Si vous vous promenez du côté de la bibliothèque John M. Cuelenaere à Prince Albert, le samedi matin vers 10 h, vous assisterez à  la venue d’une joyeuse troupe mêlant parents et enfants et ayant pour but la découverte du français de façon amusante.

20 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan (EV)/Nombre de vues (30808)/Commentaires ()/
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École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

Terry Gaudet nommé l’entraîneur de performance masculine de l’année par l’Association de Volleyball de la Saskatchewan.

À l’École St-Isidore, il y a cette année bien des raisons de se réjouir. On vient de mettre la dernière touche au plancher tout neuf du gymnase, un sol de sport Pulastic. Cette nouvelle acquisition arrive à point nommé. En effet, l’école et la communauté de Bellevue, en collaboration avec la communauté de Wakaw, seront les hôtes du tournoi de volleyball de la ligue provinciale masculine 3A de la Saskatchewan High School Athletics Association (SHSAA) 

20 novembre 2014/Auteur: Jennie Baudais (CÉF)/Nombre de vues (33030)/Commentaires ()/
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Les jeunes s’emparent du Parlement

Les jeunes s’emparent du Parlement

REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des provinces du Nord et de l'Ouest du Canada. Cet évènement national donne la chance aux jeunes qui ont entre 16 et 25 ans de donner leur propre avis à propos des politiques adoptées par le Parlement officiel et, bien sûr, de se faire plein d’amis.

13 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32310)/Commentaires ()/
Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014

SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le thème de l’éducation. En ouverture, samedi le 8 novembre, la présidente nouvellement réélue de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier, a rappelé l’importance de cette thématique. Ainsi, selon elle, ‘’toute la valeur de notre communauté dépend de cette cause’’

12 novembre 2014/Auteur: Arnaud Decroix/Nombre de vues (31408)/Commentaires ()/
Balises: RVF 2014

Postsecondaire : petit voyage dans le temps

Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de l’hebdomadaire des 30 dernières années. Les gens s’amusaient à regarder les photos des membres de la communauté à une époque où les cheveux étaient plus foncés ou plus fournis.

12 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25697)/Commentaires ()/
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Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Congrès annuel de l’Association des professeurs de français de la Saskatchewan (APFS)

Quand vous regardez le calendrier scolaire de votre enfant, vous voyez toutes ces journées mystérieuses : perfectionnement professionnel, session de planification, conventions... Et je suis sûre que vous vous demandez ce que ce font les enseignants au lieu d’être en classe avec votre enfant. 

6 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27520)/Commentaires ()/
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L’École Valois à l’heure de l’Halloween

L’École Valois à l’heure de l’Halloween

PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de M. RIVARD, directeur des lieux, les chaises, les tables et les enfants studieux ont laissé place à des locataires d’un soir à savoir des fantômes, des animaux de la nuit, des toiles d’araignée et beaucoup d’autres personnages.

6 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (28150)/Commentaires ()/
« Ne pas perdre ma langue! »

« Ne pas perdre ma langue! »

Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean

Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda, s’est retrouvée devant un dilemme : quoi faire au terme de ses études secondaires? « J’ai changé d’idée au moins cinq fois en cours d’année », avoue candidement la jeune femme. 
29 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (30771)/Commentaires ()/
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la planète. Les élèves de l'école Mgr de Laval de Regina ont décidé de faire quelque chose.

22 octobre 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (28369)/Commentaires ()/
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Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration

Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation continue, ainsi que de nombreux partenaires, ont participé encore une fois au congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) qui s’est tenu les 2 et 3 octobre derniers à Ottawa sous l’égide de La Cité. 

22 octobre 2014/Auteur: Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)/Nombre de vues (28875)/Commentaires ()/
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Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

22 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (29351)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: FNCSF
Émile Fortier: Comme une grande famille!

Émile Fortier: Comme une grande famille!

Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton

EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants.

22 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (29790)/Commentaires ()/
Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Des chercheurs ont suivi pendant quatre ans des jeunes enfants en milieu minoritaire pour mesurer l’impact d’un programme enrichi créé en Saskatchewan. Le résultat est « significatif » et pertinent.

22 octobre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25535)/Commentaires ()/
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Le parc national de Wood Buffalo en déclin

Auteur: Mélanie Jean/27 août 2018/Catégories: 2018, Agriculture et environnement, Chronique environnement

Parc national de Wood Buffalo
Un rapport du gouvernement canadien, publié pendant l’été 2018, fait état d’une triste situation dans le parc national de Wood Buffalo (PNWB) situé en Alberta et aux Territoires du Nord-Ouest. Ce parc, inscrit sur la liste des Sites du Patrimoine Mondial de l’UNESCO en raison de ses paysages, sa biodiversité et ses habitats fauniques exceptionnels, pourrait être déplacé sur la liste des Sites du Patrimoine Mondial en Danger.

D’une superficie de 44 807 km2, le PNWB est le plus grand parc national au Canada. Ce parc a été créé en 1922 afin de protéger la dernière harde de bisons des bois sauvages en liberté au monde. D’ailleurs, à ce jour, ce parc contient la plus grande population de bisons sauvages à l’échelle mondiale. Le PNWB abrite également le seul site de nidification des grues blanches, une espèce en danger, qui demeure intact. Le delta des rivières Athabasca et de la Paix, en Alberta, est l’un des plus grands deltas intérieurs au monde et le plus grand delta en zone boréale. Cet écosystème extrêmement diversifié contient de la prairie, des plaines salées, de la forêt boréale, des milieux humides et des cours d’eau. La variété de milieux humides, formés par ce delta, permet à des milliards d’oiseaux migrateurs en provenance de plusieurs voies de migration continentales d’y converger pour se reproduire.

Les peuples cris et dénés occupent ce territoire depuis des générations et en dépendent pour leur subsistance physique et culturelle. C’est pour toutes ces raisons que le parc est devenu un Site du Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 1983. Le delta et l’aire de nidification des grues blanche sont aussi désignés comme milieux humides d’importance internationale par la convention Ramsar sur les milieux humides et la protection des oiseaux migrateurs.

Or, en 2014, la nation crie Mikisew a contacté l’UNESCO pour signaler à cette organisation leurs craintes issues de leurs observations qui annoncent le déclin rapide du parc. En effet, les membres de la communauté ne boivent plus l’eau des lacs et rivières du parc par crainte de contamination, ils ne peuvent plus accéder à certaines régions du parc en raison de la baisse du niveau des rivières, et ont rapporté des goûts et des difformités anormales dans les poissons et le gibier sauvage prélevés.

Un rapport de l’UNESCO produit en 2016 lançait un signal d’alarme au sujet du parc : « des preuves de longue date, concevables et cohérentes de graves problèmes environnementaux et de santé humaine ». Le tout est empiré par l’absence d’organismes indépendants pour analyser et résoudre ces problèmes. Ce rapport présentait aussi 17 recommandations pour améliorer la situation du PNWB et donnait au Canada jusqu’en décembre 2018 pour déterminer comment les efforts de conservation pouvaient être ajustés. Un rapport de Parcs Canada, paru cet été en réponse à ces demandes, a démontré que le parc était en déclin selon 15 des 17 indicateurs. Si des mesures ne sont pas prises pour renverser rapidement ces tendances, le site pourrait être placé sur la liste grandissante de Sites du Patrimoine en Danger.

La complexité et la sévérité des facteurs affectant le PNWB sont exceptionnelles et l’absence de mécanismes appropriés pour bien étudier leurs impacts complique encore plus la chose. Cependant, les principales causes du déclin du PNBW, identifiées par les scientifiques qui ont rédigé le rapport fédéral, sont le développement industriel intense (le parc se trouve en aval de zones d’exploitation de sables bitumineux), la construction de barrages hydroélectriques, les changements climatiques et les cycles naturels. Et l’un des éléments clés responsables des problèmes observés dans le parc est la baisse du débit des rivières de la Paix (déclin de 9 %) et Athabasca (déclin de 26 %), ce qui provoque un assèchement du delta. Les raisons qui expliquent cette baisse sont la construction du barrage Bennett sur la rivière de la Paix en Colombie-Britannique, les changements climatiques des 50 dernières années qui ont réduit l’approvisionnement des rivières et les opérations gazières et pétrolières au nord de l’Alberta. Ces dernières pompent d’énormes quantités d’eau de la rivière Athabasca afin de soutenir, notamment, l’extraction du pétrole des sables bitumineux. De futurs projets de barrage (site C sur la rivière de la Paix) et de développement pétrolier (Teck Resources, 30 km au sud du PNWB) risquent de réduire les niveaux d’eau encore plus.

La baisse des débits d’eau a entrainé toute une cascade de conséquences : une réduction de l’habitat du bison, de plus en plus de plantes envahissantes remplacent la végétation indigène, la baisse du nombre d’oiseaux migrateurs, la disparition des rats-musqués autrefois trappés par les premières nations, et la mortalité de poissons dans une eau stagnante avec peu d’oxygène dissous. Les bas niveaux d’eau concentrent aussi des polluants chimiques : les œufs d’oiseaux contiennent des métaux lourds et des hydrocarbures, alors que la concentration de mercure dans les poissons augmente. On ne peut pas, pour l’instant, attribuer une source certaine à ces polluants tout comme nous l’avions fait à ceux produits par l’extraction des sables bitumineux. En effet, les feux de forêt, l’agriculture et les activités forestières en amont pourraient également être en cause. Le risque de déversement de polluants dans les cours d’eau en provenance des nombreuses installations minières le long des rivières demeure néanmoins présent.

Le gouvernement fédéral a engagé un budget de 27 millions de dollars pour la préservation du PNWB, mais le développement industriel, municipal et agricole en amont du parc continue à augmenter. L’écosystème du PNWB et ses facteurs de perturbation sont très complexes. Cependant, cette complexité ne devrait pas empêcher les actions selon le principe de précaution. Selon le rapport de l’UNESCO, il est important que le gouvernement du Canada et l’industrie trouvent des solutions de gestion et de conservation du parc qui incluent, de manière significative, les peuples autochtones et leur savoir traditionnel. La décision finale de l’UNESCO sera prise après décembre 2018.


Pour en savoir plus…

https://www.pc.gc.ca/fr/pn-np/nt/woodbuffalo/info/SEA_EES/bulletin
https://www.theglobeandmail.com/politics/article-canadian-provincial-federal-governments-must-meet-conservation/
https://www.theguardian.com/world/2018/jun/26/canada-wood-buffalo-national-park-report-climate-change
https://globalnews.ca/news/4296968/wood-buffalo-national-park-environmental-assessment/
https://www.thestar.com/news/canada/2018/07/15/almost-every-part-of-canadas-largest-national-park-is-deteriorating-study-says.html

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Balises: Wood Buffalo
Mélanie Jean

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 - mardi 25 juin 2024