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Festival fransaskois 2024
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
4 février 2015/Auteur: Michèle Fortin (EV)/Nombre de vues (28098)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois depuis le dépôt d’un rapport sévère de la vérificatrice provinciale et la fermeture annoncée de l’école Sans-frontières de Lloydminster.

4 février 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (33465)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la Commission scolaire francophone du Yukon (CSFY) au gouvernement du Yukon. Le litige repose sur les droits de gestion scolaire en contexte minoritaire.

29 janvier 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31416)/Commentaires ()/
Balises: CSFY
Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise:  Comment se porte le français dans nos écoles?

Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles?

Rencontre avec un parent inquiet, mais optimiste

La Saskatchewan a bien changé depuis l’obtention de la gestion scolaire il y a 20 ans. Depuis deux décennies, l’épanouissement du Conseil des écoles fransakoises (CÉF) est évident. La gestion scolaire est-elle garante de la qualité de l'éducation française? Nous en avons discuté avec un parent de Regina qui a accepté de répondre à nos questions mais qui a préféré garder l'anonymat.

29 janvier 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (100865)/Commentaires ()/
Balises:
Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

La Commission scolaire francophone du Yukon devant la Cour suprême

J’ai appris avec stupéfaction la position du gouvernement du Québec devant la Cour suprême en ce qui concerne la gestion des écoles par les minorités francophones du reste du pays. En effet, par l’entremise de sa ministre de la justice, Stéphanie Vallée, Québec a signifié son refus d’appuyer des communautés francophones hors Québec. 

29 janvier 2015/Auteur: Jean-François Larose/Nombre de vues (30942)/Commentaires ()/
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Turbulences dans les conseils scolaires francophones

Turbulences dans les conseils scolaires francophones

La CSFTNO se tourne vers la Cour suprême

La Commission scolaire francophone des Territoires du Nord-Ouest (CSFTNO) et l'Association des parents ayant droit de Yellowknife (APADY) viennent de subir un cuisant revers devant la Cour d’appel des TNO.

20 janvier 2015/Auteur: Denis Lord (L’Aquilon) et Paul Mengoumou (Francopresse)/Nombre de vues (31489)/Commentaires ()/
Balises:
Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Bilan d'un stage de de l'ACELF de six semaines par deux étudiants de l'Université de Sherbrooke à l'école fransaskoise Mgr de Laval à Regina.
15 janvier 2015/Auteur: (ACELF)/Nombre de vues (21812)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Lancement du Grand Quiz

Lancement du Grand Quiz

La Grande Dictée fait peau neuve!

REGINA - C’est le 7 janvier 2015 que le Collège Mathieu et Radio-Canada ont tenu une conférence de presse dans le but de présenter leur nouveau concept tant attendu, Le Grand Quiz.
15 janvier 2015/Auteur: Marie-Pier Boilard (EV)/Nombre de vues (37443)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz

Rapport de la vérificatrice sur la gestion scolaire : Un besoin de rigueur

On attendait de pied ferme le rapport de la vérificatrice provinciale sur la gestion du Conseil scolaire fransaskois (CSF) et l’administration du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Jetons un coup d’œil sur certains éléments clé de ce document qui démontrent que les déboires financiers n’étaient pas dus qu’à un manque de financement. 

11 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (28047)/Commentaires ()/
Symposium des parents 2014

Symposium des parents 2014

REGINA - Plus de 100 personnes se sont retrouvées au Symposium des parents ce samedi 29 novembre à Regina. Sous le thème Trouver son équilibre!, l’Association des parents fransaskois (APF) présentait son évènement annuel.

4 décembre 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (27093)/Commentaires ()/

Une ouverture qui pourrait devenir une brèche

Je vois la dominance de l’anglais à une rencontre aussi importante que celle de Lloydminster comme un signal d’alarme. Qu’on se rappelle l’exemple de la Coopérative d’habitation Villa Bonheur à Saskatoon. Par souci de rentabilité, elle avait accepté d’accueillir des anglophones. Aujourd’hui, les rencontres de son conseil d’administration se déroulent en anglais uniquement.

3 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (24910)/Commentaires ()/
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Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

 Il y a plus d’un an, le Conseil scolaire fransaskois a entamé un long processus de redressement, nécessitant la mise en place de pratiques de gestion financière et de gouvernance améliorées. Selon le CSF, ces pratiques vont dans le sens des recommandations exprimées dans le rapport qui a été rendu public aujourd’hui.

3 décembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (30223)/Commentaires ()/
Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

L'attrait des anglophones pour l'école fransaskoise est-il uniquement culturel et linguistique?

Grâce à la nouvelle stratégie numérique de la Société Radio-Canada, le grand public a pu assister par Webdiffusion à la rencontre qu’a organisée le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les parents dont les enfants fréquentent l’école fransaskoise Sans-Frontières de Lloydminster. La direction du CÉF et le président du Conseil scolaire fransaskois ont voulu faire le point avec la vingtaine de participants sur la situation du financement de cette école dont la fermeture est sur l’écran radar avec son déficit annuel de 650 000$. 

27 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (25648)/Commentaires ()/
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Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise?

Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise?

La participation électorale a chuté et des conseils scolaires en milieu minoritaire gouvernent sans l’intérêt du public. Un défi de légitimité s’annonce.

27 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (21691)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Le 6 novembre dernier, des représentants du Collège Mathieu se sont rendus à Regina où ils ont rencontré le Ministre de l’Enseignement supérieur, Kevin Doherty, à son bureau du Palais législatif. La délégation était composée du président Réal Forest, du vice président René Archambault ainsi que du directeur général Francis Kasongo.

27 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27506)/Commentaires ()/
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Le français, un atout de taille en affaires

Le RDÉE à Winnipeg

Auteur: Danny Joncas (Francopresse)/26 juin 2015/Catégories: Économie

Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de son assemblée générale annuelle à Winnipeg, à la mi-juin, pour organiser un colloque portant  sur la francophonie économique.

Se déroulant sous le thème « La francophonie économique de demain... Je m’engage! », le colloque en question réunissait des conférenciers et participants de partout au pays et d’ailleurs dans le monde.

Parmi ces conférenciers, on retrouvait entre autres Étienne Alingué, directeur de la Francophonie économique au sein de l’Organisation internationale de la francophonie, Gil Rémillard, président-fondateur du Forum économique international des Amériques, Mariette Mulaire, présidente-directrice générale du World Trade Centre Winnipeg, et Stéphane Dion, député à la Chambre des communes et porte-parole libéral en matière de langues officielles. Même le premier ministre du Manitoba, Greg Selinger, est venu s’adresser aux participants.

Au terme des trois journées de conférences, on retient entre autres qu’un peu comme on le répète depuis maintenant quelques années au sein de la francophonie canadienne, le développement futur et la vitalité des communautés francophones vivant en situation minoritaire passeront inévitablement par l’immigration. Mais surtout, les conférenciers ont insisté sur le fait que la langue française constitue une valeur ajoutée inestimable lorsqu’il est question d’affaires et d’économie, et ce, tant au Canada qu’à l’étranger.

« La maîtrise des deux langues est un incitatif important pour un employeur, car une personne qui parle deux langues en vaut deux », a résumé Ibrahima Diallo, un ancien doyen de l’Université de Saint-Boniface qui agit maintenant comme consul honoraire du Sénégal à Winnipeg. 

Faire passer le message

Statistiques à l’appui, le député Stéphane Dion, qui a été en quelque sorte le père fondateur du défunt Plan d’action pour les langues officielles, une initiative qui a précédé la Feuille de route pour la dualité linguistique des conservateurs, a pour sa part insisté sur l’importance de l’enseignement du français.

L’ex-ministre libéral a notamment dit s’inquiéter du fait que de 1996 à 2011, la proportion de jeunes francophones hors Québec pouvant soutenir une conversation dans les deux langues officielles est passée de 15,2 % à 11,2 %. Par ailleurs, de 1991 à 2011, le pourcentage de jeunes Canadiens vivant à l’extérieur du Québec et exposés à l’enseignement du français langue seconde est passé de 53,3 % à 44,0 %.

Pour Stéphane Dion, la maîtrise de la langue française comporte son lot d’avantages, un aspect sur lequel il est primordial d’insister.

« Le français exerce plus d’attrait sur les Canadiens anglophones que toute autre langue parce qu’il s’agit d’une langue internationale. Le français est un atout pour tous les Canadiens, y compris ceux qui ne le parlent pas », a-t-il plaidé.

Quant au RDÉE Canada, l’organisme compte tirer profit de ces trois journées pour mettre en place des mesures qui permettront notamment de favoriser l’immigration économique et l’intégration des nouveaux arrivants sur le marché du travail.

« Depuis quelques années, nos communautés font face à des contraintes. Ces contraintes sont certes différentes selon les provinces et territoires, mais elles sont néanmoins bien présentes », estime le président du RDÉE Canada, Denis Laframboise, citant en exemple le déclin démographique, l’absence de relève entrepreneuriale, l’exode des jeunes et les barrières interprovinciales.

« Il nous a donc semblé opportun de faire un pas plus loin encore, tous ensemble, pour faire le point sur nos analyses respectives, pour explorer de nouvelles avenues et pour prendre des mesures concertées », enchaîne Denis Laframboise au sujet de la tenue du colloque.

Malgré la bonne volonté des diverses parties impliquées, le président du RDÉE Canada est cependant conscient du fait qu’il ne s’agit pas là d’une mince tâche et que tous les intervenants devront mettre l’épaule à la roue afin que la francophonie économique gagne du terrain. 

« Nous allons devoir nous serrer les coudes et poursuivre nos efforts en bâtissant des ponts entre les entrepreneurs et la main-d’oeuvre, les entrepreneurs entre eux, les communautés et les décideurs politiques et ainsi continuer à faire valoir les avantages pour notre pays de prospérer économiquement dans les deux langues », conclut Denis Laframboise.


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Danny Joncas (Francopresse)

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 - vendredi 28 juin 2024