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Foire Locale du Patrimoine 2015

Foire Locale du Patrimoine 2015

Le lundi 30 mars dernier avait lieu, dans le gymnase du Pavillon secondaire des Quatre-Vents è Regina, la traditionnelle foire locale du Patrimoine. Il y avait environ 43 beaux projets illustrant notre patrimoine canadien, saskatchewannais et surtout,  fransaskois.

 

8 avril 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (33217)/Commentaires ()/
Le Conseil scolaire Centre-Nord récupère l’école de Lloydminster

Le Conseil scolaire Centre-Nord récupère l’école de Lloydminster

Le CÉF transfèrera l'école le 2 juillet 2015

Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) a décidé de transférer l’école Sans-Frontières de Lloydminster au Conseil scolaire Centre-Nord le 2 juillet prochain. Lors de la rencontre organisée en novembre dernier, le CEF avait évoqué des problèmes financiers liés à la contribution moindre de l’Alberta pour chacun de ‘‘ses’’ élèves (par rapport à la Saskatchewan). Or plus de trois quarts des enfants de cette école viennent de l’Alberta

2 avril 2015/Auteur: Arthur Bayon (Le Franco)/Nombre de vues (23533)/Commentaires ()/
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Un CÉFOU amusant, instructif et dynamique

Un CÉFOU amusant, instructif et dynamique

Plus de 200 jeunes des écoles fransaskoises se sont rencontrés à Regina

Le CÉFOU, organisé par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), a  permis de rassembler plus de 200 élèves de la 9e à la 12e année des écoles fransaskoises des quatre coins de la province. 

Visitez la galerie photo et vidéo du CÉFOU

2 avril 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (29663)/Commentaires ()/
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Forum local du Français pour l’Avenir à Saskatoon

Forum local du Français pour l’Avenir à Saskatoon

De la réflexion et de l’action!

Plus de 200 jeunes élèves des écoles secondaires d’immersion de Saskatoon se sont réunis le vendredi 27 mars pour discuter du bilinguisme et de l’avenir du français dans notre province.

 

2 avril 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (32538)/Commentaires ()/
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Premier concours d’affiches scientifiques organisé par l’Institut français et l’ACFAS-SK

Premier concours d’affiches scientifiques organisé par l’Institut français et l’ACFAS-SK

REGINA - Premier concours d’affiches scientifiques organisé par le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) de l’Institut français à l’Université de Regina et l’Association francophone pour le savoir de la Saskatchewan (ACFAS-SK)

2 avril 2015/Auteur: CRFM (Institut français)/Nombre de vues (28511)/Commentaires ()/
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Les Lions de Laval se démarquent à Regina

Les Lions de Laval se démarquent à Regina

L'équipe de ballon-panier des garçons de la 7e et 8e  des Lions de Laval a remporté le championnat de la ville du conseil des écoles publiques de Regina jeudi soir dernier soit le 27 mars.

1 avril 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (30326)/Commentaires ()/
Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Pour la première fois, une équipe francophone  a atteint la finale du championnat provincial de basketball HOOPLA en catégorie 2A. 

1 avril 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (35928)/Commentaires ()/

Situation inquiétante au Conseil scolaire fransaskois

Lettre signée par 5 parents et envoyée aux élus du Conseil scolaire fransaskois le 18 mars 2015

Nous voulons aujourd’hui attirer votre attention sur 3 éléments qui nous préoccupent. Premièrement à la veille d'une succession, à la tête du Conseil des écoles (CÉF), nous (parents et sympathisants) souhaiterions attirer votre attention sur une des requêtes qui avait été formulée par un regroupement de parents; laquelle requête  avait été accompagnée d'une pétition à l'appuie, soient 35 signatures. En guise de rappel, ces derniers réclamaient du sang neuf à la tête du CÉF : 

31 mars 2015/Auteur: Jean-Marie Allard (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (23079)/Commentaires ()/
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Le Grand  Quiz, un jack pot pour la communauté ?

Le Grand Quiz, un jack pot pour la communauté ?

Réflexion d'un lectrice sur la formule du Grand Quiz qui a remplacé la Grande dictée.

26 mars 2015/Auteur: Céline Magnon (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (32124)/Commentaires ()/
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Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF

Des personnes honorées lors de l’Assemblée annuelle de l’ALEF

En marge de son congrès annuel, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) a honoré diverses personnes lors de son banquet.

21 mars 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (51855)/Commentaires ()/
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La finale du Grand Quiz 2015: un succès!

La finale du Grand Quiz 2015: un succès!

C'est dans la chaleureuse ambiance d'une fin de semaine ensoleillée, le samedi 14 mars dernier, que le Collège Mathieu, en partenariat avec Radio-Canada Saskatchewan, a fêté les Rendez-vous de la Francophonie d'une façon innovatrice. 

18 mars 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (33661)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz

La petite histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan

L’histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan ne date pas d’hier. Déjà en 1918, le Collège Mathieu de Gravelbourg offrait un programme d’études classiques.

17 mars 2015/Auteur: Michèle Fortin(EV)/Nombre de vues (29237)/Commentaires ()/
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La Cité universitaire francophone et le postsecondaire fransaskois

Un peu tôt pour sabrer le champagne

Même si l’ACF se montre très enthousiaste, il faudra attendre un peu pour sabrer le champagne dans le dossier de la Cité universitaire francophone.

17 mars 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27467)/Commentaires ()/

Les Amis de l’Institut français se prononcent: l’ACF mise sur des acquis fragiles

Les Amis de l’Institut français expriment leur profonde déception et désaccord avec la façon dont l’Université de Regina s’est acquittée de ses responsabilités à l’endroit de l’éducation universitaire de langue française. 

17 mars 2015/Auteur: Michel Dubé (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (26842)/Commentaires ()/
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Un atelier d'Edith Jolicoeur: brancher la fransaskoisie

Un atelier d'Edith Jolicoeur: brancher la fransaskoisie

Facebook, Instagram, LinkedIn, Pinterest; il existe tellement de plateformes qu’il est parfois difficile de suivre le rythme. 

11 mars 2015/Auteur: Maggy Bougie (EV)/Nombre de vues (36540)/Commentaires ()/
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Cyberharcèlement : un fléau à combattre sur plusieurs fronts

Cyberharcèlement : un fléau à combattre sur plusieurs fronts

Auteur: Emmanuel Masson/10 décembre 2020/Catégories: 2020, Société

Le cyberharcèlement est devenu un sujet chaud dans la fransaskoisie d’aujourd’hui, endommageant des vies et empêchant les gens de s’impliquer pleinement dans la communauté. Pour maintenir une vie communautaire saine, les organismes fransaskois proposent ainsi à leurs membres de prendre pleinement conscience du phénomène afin de mieux le combattre.

Le 24 novembre dernier, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), en collaboration avec PGF Consultants, a organisé une formation en ligne au sujet du cyberharcèlement ouverte au public dans le cadre du Rendez-vous fransaskois. L’activité faisait suite à une autre rencontre sur le même sujet organisée le 13 novembre pour les directions d’organismes cette fois.

La formation était offerte par Guy Théroux, détenant d’un baccalauréat en psychologie ainsi qu’une maîtrise en sociologie, et qui donne des ateliers de résolution des conflits pour PGF. Selon l’expert, la crise du cyberharcèlement fransaskois ne sort pas de l’ordinaire. « Ce n’est pas unique à la Saskatchewan, ni au Canada. Ce sont des situations qui perdurent et qui, parfois, s’amplifient. »

Mais qu’est-ce que le cyberharcèlement ?

L’Office québécois de la langue française le définit ainsi : « Actes répétés d’agression psychologique commis par un individu, ou par un groupe d’individus, qui rejoint ses victimes par l’intermédiaire du réseau Internet, du courriel, de la messagerie instantanée ou textuelle. »

Guy Théroux explique que son impact est démultiplié par les réseaux sociaux du fait que les commentaires sont vus par plus de personnes. Les internautes peuvent aussi soutenir l’intimidateur avec des « J’aime » et renchérir dans les commentaires. Plus il y a de réactions et de partages, plus les publications blessantes circulent, attirant d’autres commentaires désobligeants.

Pour les victimes de cyberharcèlement, l’impact est dévastateur. Leur estime de soi et leur confiance se retrouvent entamées. « Être blessé par un mot fait autant de douleur et laisse autant de séquelles qu’être frappé par un poing », souligne le consultant. Au travail, le cyberharcèlement rend la vie professionnelle toxique et empêche, voire force la victime à démissionner.

Comment réagir ?

Guy Théroux recommande aux victimes de ne pas réagir, sauf pour demander à la personne d’arrêter après de multiples charges. Il recommande de prendre des captures d’écran des commentaires pour constituer des preuves avant de les signaler aux sites web hôtes pour les faire disparaître.

L’édition 2017 de Est-ce légal ?, un livret sur ce que dit la loi au sujet du harcèlement et de l’abus en ligne, explique comment les victimes de cyberharcèlement devraient réagir dans différentes circonstances. En cas de danger imminent, appeler le 911. Ou encore ne pas confronter l’abuseur à moins d’être sûr que cela ne mettra pas la victime à risque de davantage de violence physique ou psychologique.

Si le harcèlement se fait au travail, les victimes devraient en parler avec leur superviseur. Si cela ne fonctionne pas, il faut monter plus haut en allant parler au conseil d’administration de l’organisme. Si rien n’est fait, Guy Théroux suggère d’aller parler directement aux bailleurs de fonds de l’organisme, car ceux-ci peuvent menacer son financement si la plainte n’a pas été traitée correctement.

C’est d’ailleurs ce qui est arrivé au Centre d’accueil et d’établissement (CAÉ) de l’Alberta, qui a vu sa subvention coupée par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) après que des questions au sujet d’une plainte de harcèlement sont restées sans réponse de la part de l’organisme.

Se battre contre la cyberintimidation

Guy Théroux recommande aux organismes fransaskois de prendre au sérieux le cyberharcèlement. « Cela implique de se doter de politiques internes relatives aux plaintes de harcèlement pour ne pas être pris de court. » De telles politiques n’existent pas encore au sein de la plupart des organismes qui prennent tout juste conscience de l’ampleur du phénomène.

Le consultant signale que les gens qui font du cyberharcèlement cherchent en général une réaction de leur victime. « Ils vont continuer tant qu’ils continueront à avoir des réactions, et quand la personne ne réagit plus, ils dirigent leur attention vers une nouvelle victime », explique-t-il.

De tels agissements ne cessent que lorsque des pairs, des gens de la communauté ou en position d’autorité, affirment clairement que ce comportement n’est pas acceptable et pourrait mener à des conséquences fâcheuses selon Guy Théroux. « On a tous la responsabilité d’être un exemple de respect et d’intervenir contre la cyberintimidation », insiste-t-il.

Un effort conjoint

Plusieurs organismes fransaskois emboitent le pas de l’ACF dans le dossier. En novembre, le Conseil culturel fransaskois (CCF), la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS) et le Conseil scolaire fransaskois (CSF) ont ainsi lancé un sondage pour recueillir des témoignages anonymes de harcèlement.

En parallèle, l’Association des juristes d’expression française de la Saskatchewan (AJEFS) a lancé un sondage sur le harcèlement sexuel au travail. Céline Desrosiers, directrice générale de l’organisme, explique que les résultats seront analysés et utilisés pour développer des ressources interactives en collaboration avec les autres associations de juristes francophones en situation minoritaire au pays.

La cyberintimidation fransaskoise n’est pas unique et doit être vue dans le contexte plus large de la culture du bannissement (cancel culture) et de l’humiliation en ligne (online shaming) qui font débat de nos jours. Avec ces discussions récentes, la communauté « sort de l’innocence », ponctue Guy Théroux.

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Emmanuel Masson

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 - vendredi 27 décembre 2024