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Des parents inquiets se rencontrent à huis clos

Un manque de services et de ressources dans les écoles fransaskoises est pointé du doigt

Des parents d'élèves inscrits dans le système scolaire fransaskois se sont réunis le samedi 25 avril dernier pour témoigner de leurs inquiétudes face aux nombreuses coupures de services aux élèves des écoles fransaskoises.

30 avril 2015/Auteur: Francis Gourde (EV)/Nombre de vues (24179)/Commentaires ()/
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La Cour suprême donne raison aux parents francophones de Colombie-Britannique

La Cour suprême donne raison aux parents francophones de Colombie-Britannique

 La Cour suprême a confirmé le 24 avril le droit des francophones à des établissements équivalents à ceux de la majorité, ce que cinq provinces et territoires refusent d’accorder.

26 avril 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32562)/Commentaires ()/
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Tisser des liens entre immersion et écoles fransaskoises

Il serait dans l’intérêt de la communauté fransaskoise d’établir des ponts entre les écoles fransaskoises et d’immersion et de resserrer les liens de collaboration dans l’organisation d’activités. 

16 avril 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (31737)/Commentaires ()/
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Un évêque vient parler d’agriculture à des élèves d’Edmonton

Un évêque vient parler d’agriculture à des élèves d’Edmonton

« On peut être heureux sans accumuler toujours plus »

EDMONTON - Le vendredi 13 mars, l’évêque belge Eugenio Rixen a rencontré des élèves de l’école J.H. Picard à Edmonton pour leur parler de ses 35 ans passés au Brésil auprès des petits agriculteurs. 

16 avril 2015/Auteur: Arthur Bayon (Le Franco)/Nombre de vues (23564)/Commentaires ()/
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Préposé(e) aux soins de santé : une carrière prometteuse

Préposé(e) aux soins de santé : une carrière prometteuse

On rapporte de plus de en plus de cas dans la province de personnes âgées et malades, vivant dans des résidences, qui ne reçoivent pas les soins nécessaires de manière adéquate,  suite à une carence de personnel qualifié. 

9 avril 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (29658)/Commentaires ()/
Collèges et universités francophones s’unissent

Collèges et universités francophones s’unissent

Désirant se doter d’une voix plus forte, les institutions d’enseignement postsecondaire de la francophonie canadienne ont décidé d’unir leurs forces, créant du même coup l’Association des collèges et universités de la francophonie canadienne (ACUFC).

9 avril 2015/Auteur: Danny Joncas (Francopresse)/Nombre de vues (30590)/Commentaires ()/
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L’immersion a la cote malgré ses lacunes

Dépassé, élitiste et source de division, le système d’immersion française en place dans les écoles canadiennes? C’est du moins ce qui ressort d’un récent article de la revue MacLean’s, l’une des principales publications du pays.

9 avril 2015/Auteur: Danny Joncas (Francopresse)/Nombre de vues (26666)/Commentaires ()/
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Foire Locale du Patrimoine 2015

Foire Locale du Patrimoine 2015

Le lundi 30 mars dernier avait lieu, dans le gymnase du Pavillon secondaire des Quatre-Vents è Regina, la traditionnelle foire locale du Patrimoine. Il y avait environ 43 beaux projets illustrant notre patrimoine canadien, saskatchewannais et surtout,  fransaskois.

 

8 avril 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (32433)/Commentaires ()/
Le Conseil scolaire Centre-Nord récupère l’école de Lloydminster

Le Conseil scolaire Centre-Nord récupère l’école de Lloydminster

Le CÉF transfèrera l'école le 2 juillet 2015

Le Conseil des écoles fransaskoises (CEF) a décidé de transférer l’école Sans-Frontières de Lloydminster au Conseil scolaire Centre-Nord le 2 juillet prochain. Lors de la rencontre organisée en novembre dernier, le CEF avait évoqué des problèmes financiers liés à la contribution moindre de l’Alberta pour chacun de ‘‘ses’’ élèves (par rapport à la Saskatchewan). Or plus de trois quarts des enfants de cette école viennent de l’Alberta

2 avril 2015/Auteur: Arthur Bayon (Le Franco)/Nombre de vues (22753)/Commentaires ()/
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Un CÉFOU amusant, instructif et dynamique

Un CÉFOU amusant, instructif et dynamique

Plus de 200 jeunes des écoles fransaskoises se sont rencontrés à Regina

Le CÉFOU, organisé par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), a  permis de rassembler plus de 200 élèves de la 9e à la 12e année des écoles fransaskoises des quatre coins de la province. 

Visitez la galerie photo et vidéo du CÉFOU

2 avril 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (27995)/Commentaires ()/
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Forum local du Français pour l’Avenir à Saskatoon

Forum local du Français pour l’Avenir à Saskatoon

De la réflexion et de l’action!

Plus de 200 jeunes élèves des écoles secondaires d’immersion de Saskatoon se sont réunis le vendredi 27 mars pour discuter du bilinguisme et de l’avenir du français dans notre province.

 

2 avril 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (31029)/Commentaires ()/
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Premier concours d’affiches scientifiques organisé par l’Institut français et l’ACFAS-SK

Premier concours d’affiches scientifiques organisé par l’Institut français et l’ACFAS-SK

REGINA - Premier concours d’affiches scientifiques organisé par le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) de l’Institut français à l’Université de Regina et l’Association francophone pour le savoir de la Saskatchewan (ACFAS-SK)

2 avril 2015/Auteur: CRFM (Institut français)/Nombre de vues (27549)/Commentaires ()/
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Les Lions de Laval se démarquent à Regina

Les Lions de Laval se démarquent à Regina

L'équipe de ballon-panier des garçons de la 7e et 8e  des Lions de Laval a remporté le championnat de la ville du conseil des écoles publiques de Regina jeudi soir dernier soit le 27 mars.

1 avril 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (29450)/Commentaires ()/
Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Les Patriotes de l’ÉCF remportent l’argent à la finale du tournoi de basketball Hoopla 2015

Pour la première fois, une équipe francophone  a atteint la finale du championnat provincial de basketball HOOPLA en catégorie 2A. 

1 avril 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (34874)/Commentaires ()/

Situation inquiétante au Conseil scolaire fransaskois

Lettre signée par 5 parents et envoyée aux élus du Conseil scolaire fransaskois le 18 mars 2015

Nous voulons aujourd’hui attirer votre attention sur 3 éléments qui nous préoccupent. Premièrement à la veille d'une succession, à la tête du Conseil des écoles (CÉF), nous (parents et sympathisants) souhaiterions attirer votre attention sur une des requêtes qui avait été formulée par un regroupement de parents; laquelle requête  avait été accompagnée d'une pétition à l'appuie, soient 35 signatures. En guise de rappel, ces derniers réclamaient du sang neuf à la tête du CÉF : 

31 mars 2015/Auteur: Jean-Marie Allard (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (22054)/Commentaires ()/
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Étienne Fletcher au Quai des brumes

Étienne remporte le Grand prix du jury au Cabaret festif! de la relève

Auteur: Max Alexis Fortin-Landry/29 mars 2018/Catégories: 2018, Arts et culture, Musique

Étienne Fletcher au Quai des brumes à Montréal

Étienne Fletcher au Quai des brumes à Montréal

De gauche à droite: Sean McCannell, Neil Robinson et Étienne Fletcher
Photo : Max Alexis Fortin-Landry

Le 12 mars dernier, au bistrot Quai des Brumes à Montréal, s’est produite la formation pop rock dirigée par le Fransaskois Étienne Fletcher, lauréat du concours Chant’Ouest en 2015 et finaliste au Festival international de la chanson de Granby, en 2016, où il s’est mérité le Prix de la presse. Au moment de notre entrevue, la chanson Chérie, chéri était au 22e rang du palmarès des chansons les plus jouées au Canada et le groupe se préparait à se rendre au Cabaret festif! de la relève, à Baie-St-Paul, où il allait remporter le Grand prix du jury de l'événement.

L’ambiance tamisée de la petite salle, au public dispersé mais ravi, contrastait avec l’énergie dégagée par Étienne et sa bande, soit Gaelan Malloy et Sean McCannell, ainsi que Neil Robinson, artiste montréalais invité pour l’occasion.

Les compositions de l’artiste sont à son image : des textes honnêtes et réfléchis mais sans prétention, sur une mélodie parfois entraînante, parfois mélancolique, mais surtout lumineuse, portée par les notes franches de la guitare et du clavier. Du genre qui donne envie de saluer les gens qu’on croise ou d’embrasser quelqu’un qu’on aime. Avant chaque morceau, et avec une simplicité toute naturelle, Étienne prend la peine d’en expliquer l’origine ou le contexte, racontant une histoire qui se terminera en musique.

Lors de notre entretien, suite à la représentation, il semble ambivalent quant au nom de son groupe, qui est aussi le sien. Il tient beaucoup à ne pas récolter le crédit qui revient à ses amis et partenaires permanents, Sean et Gaelan. « Ce sont peut-être mes compositions à la base, mais nous sommes un collectif. C’est avec eux que je crée et c’est avec eux que je joue. »

Étienne s’exprime avec la pertinence de celui qui a un sens de l’introspection aiguisé, s’excusant parfois de ses élans philosophiques qui transcendent la question posée. Même si tous les sujets ne sont pas faciles à aborder en écriture, Étienne estime qu’une pièce peut être bien servie par un texte simple si le thème est fort. Il a aussi le souci de ne pas dire n’importe quoi : « J’ai toujours eu plus de facilité à composer la musique qu’à écrire les paroles. Par exemple, sur le thème des Autochtones et de la Commision de vérité et réconciliation, je me trouvais dans un état de paralysie conversationnelle parce que je ne voulais offusquer personne ni poser les mauvaises questions. Je savais pourtant que je devais en parler, car c’est ma responsabilité de citoyen d’essayer d’améliorer mon entourage. » L’artiste a éventuellement collaboré à l’écriture d’une chanson sur le sujet avec le rappeur autochtone InfoRed.

Le groupe fait présentement la promotion de ses deux EP : Side A, qui regroupe six titres en anglais et Face A, avec six titres en français. D’une mère québécoise et d’un père anglophone francophile, Étienne a grandi surtout en français dans ce qu’il appelle une minorité non-visible, parlant français à la maison et fréquentant l’école Monseigneur de Laval, à Regina (où il travaille comme professeur suppléant), de la 1ère à la 12e année. Mais c’est en écrivant avec son ami Byrun Boutin-Maloney, alors qu’ils font partie de la formation Indigo Joseph et se partagent le micro, qu’Étienne réalise qu’il veut s’impliquer davantage en francophonie et que son œuvre soit bilingue.

S’il estime n’avoir pas vraiment souffert lui-même d’ostracisme par la majorité linguistique en grandissant, il raconte néanmoins l’histoire d’un voisin francophone qui, ayant entendu les parents d’Étienne lui parler français alors qu’il était encore enfant, leur a conseillé de ne pas utiliser cette langue avec leur fils à Regina, pour sa santé et son bien être. « Il avait été assimilé au point de refuser de prononcer un seul mot dans sa langue maternelle. Je ne comprenais pas. Il est décédé maintenant mais ça me touche. J’aurais eu envie de lui demander ce qui avait bien pu se passer. »

Bien qu’il dise se sentir un peu plus activiste avec l’âge, Étienne Fletcher ne se voit pas comme un ambassadeur de la francophonie. Quoi qu’il en soit, il était l’invité d’honneur de la Journée internationale de la Francophonie, le 20 mars dernier, soulignée par un rassemblement au palais législatif de Regina dans le cadre des Rendez-vous de la Francophonie. En entrevue à l’émission Point du jour, à Radio-Canada, le président de l’Assemblée communautaire fransaskoise, Roger Gauthier, a fait l’éloge de l’artiste: « Il a un talent incroyable […] c’est un modèle pour nos jeunes Fransaskois. »

Lorsque nous avons demandé à Étienne ce qu’il pensait du déclin statistique de la francophonie en Saskatchewan, il a spontanément débuté par la partie optimiste de sa réponse: « J’ai été le témoin d’un changement dans mes 27 ans de vie. Je trouve formidable d’appartenir à une communauté où [désormais] des cultures de partout à travers le monde se réunissent à Regina pour parler français. Formidable. Mais de perdre nos jeunes Fransaskois qui sont nés ici à Regina, ça me brise un peu le cœur. »

Étienne est père de deux enfants : Manu, pour lequel il a écrit une chanson, Me and Manu, qui se retrouve sur son EP anglais, ainsi que le petit dernier, Riel…

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Max Alexis Fortin-Landry

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