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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

18 août 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39656)/Commentaires ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

22 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25735)/Commentaires ()/
Catégories: 2016Éducation
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

18 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25496)/Commentaires ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
13 juillet 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33806)/Commentaires ()/
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Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents

Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux élections et demander du changement.
12 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31638)/Commentaires ()/
Balises: Bernard Roy
L’école francophone et les Néo-Canadiens

L’école francophone et les Néo-Canadiens

De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue française vogue imperceptiblement vers des eaux troubles et des ciels obscurs.

7 juillet 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (30712)/Commentaires ()/
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Exposition d’arts de l’École Ducharme

Exposition d’arts de l’École Ducharme

Les artistes en herbe font belle impression

« Wow! » semble avoir été l’exclamation la plus utilisée lorsque la galerie d’art organisée par le conseil de l’École Ducharme a ouvert ses portes en soirée le 20 juin dernier.

4 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33383)/Commentaires ()/
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Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101

La période électorale du Conseil scolaire fransaskois (CSF) approche à grands pas. Nous sommes les électeurs. Nous sommes des payeurs de taxes (les contribuables).  Nous demandons une éducation de qualité pour nos enfants. Nous demandons l’excellence au niveau du français dans nos espaces scolaires. Nous voulons une gestion responsable de nos écoles.

30 juin 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24733)/Commentaires ()/
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Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Mon enfant ne veut manger que des pâtes !

Même si notre enfant semble être déterminé à ne pas manger les « choses vertes » qui osent envahir son assiette, rien n’est perdu. Voici quelques trucs et astuces pour aider votre enfant dans sa découverte alimentaire.

 

30 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39439)/Commentaires ()/
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Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Le président du CSF s’engage à refléter la volonté de la communauté

Rencontre avec le président du Conseil scolaire fransaskois

Alpha Barry estime que le temps est désormais à la reconstruction pour le CSF dont la situation ne fait pas l’unanimité actuellement.
16 juin 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (33740)/Commentaires ()/
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Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Parcours de l’unique finissant de l’école Valois

Entre autonomie, discipline et motivation

PRINCE ALBERT - Vivre son secondaire comme étant le seul élève de la classe peut sembler être un défi pour bien des élèves. Cependant, pour Bao Tuong An Chau, la situation ne lui a pas semblé incongrue. Il a su s’en accommoder et même s’en satisfaire pleinement.

 

16 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (24662)/Commentaires ()/
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C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

C’est gros, c’est amusant, c’est le nouveau meuble de jeu à l’École de Bellegarde

Il y avait beaucoup de gros sourires le 9 mai 2016 à l’École de Bellegarde pendant les récréations, grâce au nouveau meuble de jeu qui a été installé la semaine précédente par des parents bénévoles.
2 juin 2016/Auteur: Aimée Poirier (ACFB)/Nombre de vues (26188)/Commentaires ()/
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De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu

Le jeudi 19 mai dernier le Collège Mathieu a inauguré ses nouveaux espaces du campus de Saskatoon.

2 juin 2016/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (31789)/Commentaires ()/
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Ranger, un plaisir partagé ?

Ranger, un plaisir partagé ?

Demander à un enfant de ranger sa chambre peut devenir un jeu

Amener son enfant à devenir grand soulève toujours son lot de soucis pour les parents ; particulièrement pour les parents qui travaillent et qui pensent ne pas avoir assez de temps à leur consacrer. 

2 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (39846)/Commentaires ()/
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Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Découvrir la puissance du groupe

ZENON Park - Les élèves étaient très fiers de voir les images qu’ils avaient soumises aux artistes dans la mosaïque. Cette murale est le produit de leur imagination, de leur culture, de leur vécu.
19 mai 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36342)/Commentaires ()/
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La région de la Trinité : un bastion de la francophonie en Saskatchewan

Portrait des régions fransaskoises

Auteur: Simb Simb/1 février 2019/Catégories: Archives, 2019, Communautaire, La Trinité

La région de la Trinité est située à une trentaine de kilomètres à l’est de Saskatoon

La région de la Trinité est située à une trentaine de kilomètres à l’est de Saskatoon

ST-DENIS - Quand on mentionne la région de la Trinité en Saskatchewan, on fait allusion à trois communautés pionnières de la francophonie de la province, soit Prud’homme, Vonda et Saint-Denis. Très tôt, celles-ci ont constitué un bastion de la francophonie dans la province. Ce dossier présente les principaux jalons de l’histoire de cette région, mais aussi, et surtout, les défis actuels auxquels les francophones doivent faire face pour assurer la pérennité de cette région si riche d’histoire.


Prud'homme, Saskatchewan

Prud'homme, Saskatchewan

Photo : Yvan Lebel
Le village de Prud’homme

Situé à 45 minutes au nord-est de Saskatoon sur l’autoroute 27, le village changea de nom cinq fois entre 1897 et 1922 : Bluebell Ranch, Marcotte’s Crossing, Lally’s Siding, Howell et deviendra officiellement Prud’homme en 1922 en l’honneur de l’évêque francophone du diocèse, Mgr Joseph Henri Prud’homme. Même si le statut administratif de Prud’homme lui confère l’appellation de « village », il est tout de même reconnu comme étant une municipalité dotée d’une mairie, dont le responsable est Jarrod Lachapelle. Selon les données de l’année 2016 de Statistiques Canada, le village compte 170 habitants, avec une population composée de Fransaskois, ainsi que de plusieurs familles de cultures hongroises, ukrainiennes et polonaises ; le français et l’anglais étant les langues d’usage.

La présence de la langue française à Prud’homme est saluée grâce à l’arrivée de monseigneur Constant Jean-Baptiste Bourdel en 1904, venant directement de la France.


La communauté de Vonda

Vonda, Saskatchewan

Vonda, Saskatchewan

Photo : Yvan Lebel

Dotée d’un statut administratif de ville rurale (Vonda Town Council), Vonda est gérée par une mairie dont le responsable est Jim Mikituk. La petite ville de près de 400 habitants (384 habitants selon Statistiques Canada en 2016) est située sur l’autoroute 27, à une demi-heure de route au nord-est de Saskatoon et à environ 20 kilomètres à l’ouest de Prud’homme. La communauté ne voit le jour qu’en 1902, lorsque les ingénieurs de la compagnie des chemins de fer (Canadian Northern) choisissent le nom de Vonda pour la nouvelle gare en l’honneur de la fille de Cyr Warman, un officier de la compagnie. Peuplée majoritairement de Fransaskois et de colons venus d’Ukraine, Vonda est un centre communautaire francophone comprenant la seule école francophone de la région. Elle est également le siège de la paroisse de Saint-Philippe-de-Néri.

Toutefois, l’avènement de la langue française à Vonda se fera grâce à Joseph Marcotte, un jeune Canadien français de Saint-Félix-de-Kinsey au Québec, qui arrive en 1897 avec un troupeau de vaches et de chevaux.


Le hameau de Saint-Denis

Saint-Denis est une petite communauté située à 40 kilomètres à l’est de Saskatoon, appartenant à la municipalité rurale de Grant, qui comptait elle-même 470 habitants en 2016. C’est en 1905, année de fondation de la province de la Saskatchewan, qu’est née la petite communauté de Saint-Denis. Clotaire Denis, le père, est un des premiers Français à venir s’établir dans la région, à l’âge de 18 ans. Il sera suivi par les familles de Jacques Chevalier, Jean Mével et les frères Jean-Marie, Laurent et Pierre Le Naour, etc.

Saint-Denis, à titre de hameau, se verra doté d’un bureau de poste à partir de 1907 et abritera plus tard, dans les années 80, le centre communautaire fransaskois de la Trinité (CCFT), qui deviendra par la suite l’Association communautaire fransaskoise de la Trinité (ACFT).


Église de St-Denis, Saskatchewan

Église de St-Denis, Saskatchewan

Photo : Yvan Lebel
Les défis du district de la Trinité

De l’avis de Paul Hounjet, député de l’ACF pour la région de la Trinité, « le premier gros défi auquel fait face le district de la Trinité est un manque de plus en plus criant de bénévoles pour assurer la relève au sein de la communauté, et notamment de l’ACFT ». Cela pourrait s’expliquer par un manque de disponibilité chez les jeunes membres et sympathisants, ou encore laisser entrevoir une absence d’intérêt de leur part pour l’association. Toujours est-il que bon nombre de jeunes de la Trinité, nés de parents francophones, semblent avoir d’autres priorités que de s’impliquer dans le développement de ce qui a été, au début du 20e siècle, un vivier de la francophonie en Saskatchewan. C’est ce qui expliquerait le fait que Prud’homme n’ait aucun représentant ayant droit de vote au sein du comité de gestion de l’ACFT.

Les nombreuses vagues d’émigration des fils et filles de certains pionniers vers les grandes villes (Prud’homme en a beaucoup souffert), ainsi que l’arrivée de familles unilingues anglophones à la Trinité, en plus du caractère exogame de plusieurs familles au sein desquelles le français n’est pas dominant et l’école comme seul milieu où les enfants s’exprimeront à 80 % en français, sont quelques-uns des défis linguistiques que rencontrent les trois communautés francophones.

En outre, on constate que l’absence d’une communication harmonieuse entre de petits groupes communautaires crée des intrigues qui pourraient ternir l’image et le bon fonctionnement d’initiatives louables. Le fait que la principale route de Saint-Denis soit non bitumée serait un prétexte pour certains pour éviter de s’y rendre et prendre part aux activités communautaires francophones, d’autant plus qu’il y existe une perception, véhiculée depuis des années, selon laquelle l’ACFT serait une propriété de Saint-Denis. Cette perception perdure malgré les efforts de l’ACFT pour organiser quelques activités hors de Saint-Denis, par exemple en collaboration avec l’école Providence et dans ses locaux. Ce qui pourrait interpeller le comité exécutif de l’association à en faire davantage pour décentraliser ses activités.

Un autre grand défi que connait la municipalité rurale de Vonda est la stagnation de la croissance démographique. La présence d’une école dotée d’une bonne réputation, la construction d’une nouvelle autoroute et les possibilités d’emploi devraient inciter plusieurs personnes à venir s’installer à Vonda. Ce qui est impossible pour l’instant à cause d’une pénurie de logements. Cette dernière s’explique par la caducité du système de gestion des eaux usées qui ne supporterait pas plus d’habitations. L’espoir repose sur les programmes de financement des infrastructures, afin de construire, d’ici cinq ans, un nouveau système de gestion des égouts doté d’une plus grande capacité et permettant de viabiliser 14 lots sur le côté est de Vonda.

Culture

Sur le plan culturel, la communauté de Saint-Denis abrite depuis longtemps les bureaux de l’Association communautaire de la Trinité. L’association reçoit une subvention annuelle de Patrimoine canadien, ce qui donne lieu à l’élaboration et à la réalisation d’une programmation d’activités et au recrutement d’un employé. Mario Lepage est natif de la communauté, il travaille  à temps partiel à la gestion de l’ACFT et à l’animation communautaire pour la région.

Le musée de Prud’homme est un point d’attraction majeur dans le domaine culturel. Il contient le récit et les artefacts de plusieurs personnages importants qui sont au cœur de l’histoire de la Fransaskoisie. On y trouve des objets ayant appartenu à Mgr Bourdel, qui a fondé la paroisse catholique de la communauté, et aux Filles de la Providence, dont le couvent a été établi en 1905. On y apprend aussi l’histoire de Mgr Baudoux, le père de la radio française dans l’Ouest. Le musée a connu une période sombre pendant laquelle il a été fermé et menacé de voir ses richesses dispersées. Mais un comité local a réussi à trouver un financement de 100 000 $ tout dernièrement pour sa rénovation. En 2022, le musée compte célébrer le 100e anniversaire de la naissance de Jeanne Sauvé et l’adoption du nom de « Prud’homme ».

Vie religieuse

Quant à la vie religieuse, les messes culturelles se déroulent totalement en français à Saint-Denis, tandis qu’à Vonda et Prud’homme la communauté a droit aux messes en français un dimanche sur deux, selon une variation horaire bien établie. Chaque communauté de la Trinité est dotée d’une paroisse catholique romaine à laquelle s’ajoute, à Vonda, une paroisse ukrainienne.

Économie

Côté économique, le principal employeur du district de la Trinité est Highline, une entreprise de fabrication et de montage d’appareils et de machines agricoles qui voit le jour au début des années 60. Le fondateur, Raymond Bussière (un Fransaskois), vendra l’entreprise en 2006 à Bourgault, une autre entreprise familiale de Saint-Brieux. Cette dernière a pu se faire un nom en Amérique du Nord grâce à la qualité de ses produits. Elle emploie actuellement plus de cent personnes issues de la sous-région, dont Saskatoon.« La présence de Highline à Vonda a énormément contribué à la stabilité économique de la petite ville rurale », selon Gisèle Dagenais.

Éducation

En éducation, l’école Providence de Vonda fait la fierté de tous. Il s’agit d’une école francophone qui accueille en moyenne près de 30 employés chaque année et assure l’enseignement de la prématernelle à douzième année. Il serait intéressant de souligner que l’école Providence de Vonda voit le jour dans un contexte pour le moins tendu. Le surintendant de la division scolaire de Saskatoon East à l’époque avait affirmé lors d’une audience publique à laquelle prenaient part quelques francophones : « vous n’aurez jamais d’école à Vonda parce qu’il y en a une à Prud’homme et à Aberdeen ». Il faudrait rappeler que lesdites écoles de Prud’homme et Aberdeen étaient toutes anglophones. Mais c’est à la suite de la détermination des francophones de la région que finalement Vonda sera dotée d’une école francophone.

On pourrait ajouter quelques points positifs qui continuent à faire rayonner les communautés de la Trinité soit un bureau de poste qui offre un service en anglais et en français, une bibliothèque et un bureau de la Société Générale d’assurances. Il y a aussi des espaces récréatifs tels qu’une salle de fête et une patinoire avec une surface de glace naturelle.

En conclusion, malgré sa richesse et son héritage culturels et linguistiques, la région de la Trinité a subi le sort qui semble être celui des communautés linguistiques francophones en milieu minoritaire au Canada, celui de « la crise de l’assimilation des minorités francophones », selon l’écrivain Raymond Morris. Mais que pourrait faire la Trinité pour poursuivre son développement ? Une réflexion autour du postulat sociologique selon lequel on ne naît pas francophone, anglophone ou bilingue, mais on le devient selon le degré et la qualité de socialisation dans chacune des langues est à prendre en considération (Landry, Allard, Deveau, et Bourgeois, 2005). Et l’État en tant que maître d’orchestre devrait battre la mesure de la sauvegarde du patrimoine linguistique. Cela y va de la survie du patrimoine fransaskois et de la vitalité de ce véritable bastion de la francophonie de l’Ouest canadien.

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 - dimanche 24 novembre 2024