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Festival fransaskois 2024
Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (32592)/Commentaires ()/
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Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27629)/Commentaires ()/
Balises: Jason Wandy
De l’huile sur un feu presque éteint?

De l’huile sur un feu presque éteint?

Un cadre du CÉF devient président de l'APF

L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté. 

27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (35392)/Commentaires ()/
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Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (20831)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (30751)/Commentaires ()/
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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (30745)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30145)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33844)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30861)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (42850)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (30255)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (28057)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27629)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31270)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31747)/Commentaires ()/
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Les éditeurs franco-canadiens ont su tirer profit de la pandémie

Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse/12 mars 2022/Catégories: Arts et culture, Littérature

PHOTOS  Salon livre Hearst 2019
Crédit : Courtoisie du REFC

Les ventes de livres d’éditeurs québécois et franco-canadiens ont augmenté de 18,3 % en 2021 comparativement à 2020, a révélé en janvier la Société de gestion de la Banque de titres de langue française. 

Si les maisons d’édition du Regroupement des éditeurs franco-canadiens (REFC) rapportent plutôt une augmentation de 5 à 10 %, il n’en demeure pas moins qu’elles ont réussi à se garder la tête hors de l’eau depuis le début de la pandémie, certaines ayant même utilisé cette période pour se renouveler.

« Il faut prendre ce résultat avec un grain de sel », tempère le président du REFC, Stéphane Cormier. « Dans l’ensemble, les maisons d’édition ont quand même connu une légère augmentation des ventes en période de pandémie », se réjouit-il.

Stéphane Cormier
Stéphane Cormier, président du Regroupement des éditeurs franco-canadiens (REFC)
Crédit : Myriam Caron Belzile

Cette hausse n’est pas aussi élevée que celle relevée par Gaspard, le système d’information de la Société de gestion de la Banque de titres de langue française (BTLF), mais Stéphane Cormier note que l’année 2021-2022 s’annonce très bonne : « Je trouve ça réjouissant », s’enthousiasme-t-il.

Le REFC a d’ailleurs accueilli trois nouvelles maisons d’édition depuis le début de la pandémie : les éditions du Pacifique Nord-Ouest en Colombie-Britannique, Vidacom Publications au Manitoba et les Éditions Terre d’accueil dans l’Est ontarien.

« Ça démontre un souhait et un intérêt pour que des maisons d’édition s’installent dans des régions périphériques, parce qu’il y a des francophones et des gens qui ont des choses à dire, à raconter, et des gens qui ont envie de les publier », conclut Stéphane Cormier.

Le présentiel, entre espoir et incertitude

Au Manitoba, la directrice générale des Éditions du Blé, Vanessa Gaillard, observe pour sa part une hausse des ventes d’environ 7 % entre 2019 et 2021. Le nombre de publications y est demeuré stable dans les deux dernières années, variant entre six et huit.

La nouvelle directrice, qui est entrée en poste en novembre 2021, espère tout de même que l’année 2022 sera synonyme de reprise des événements en personne, l’annulation de ces derniers ou leur tenue en mode virtuel constituant l’un des plus grands défis pour les maisons d’édition.

« Festivals, salons du livre, lancements et causeries : on y fait quand même une certaine part de nos ventes, souligne Stéphane Cormier. […] En virtuel, c’est plus difficile de vendre des livres », constate-t-il.

« Les gens sont revenus aux livres »

Serge Patrice Thibodeau
Serge Patrice Thibodeau, poète et directeur général des Éditions Perce-Neige à Moncton.
Crédit : Sylvie Mousseau – Acadie Nouvelle

Pour le président du REFC, la légère augmentation des ventes témoigne que la perte de revenus liée à l’annulation de deux ans d’événements a été contrebalancée par des ventes supplémentaires en librairie ou en ligne.

« Sachant que c’était difficile d’aller voir un spectacle de théâtre, d’aller au cinéma ou d’aller voir un show de danse, une des activités culturelles disponibles, c’était la lecture », lance le codirecteur de la maison Prise de parole de Sudbury.

C’est également l’hypothèse de Serge Patrice Thibodeau, poète et directeur général des Éditions Perce-Neige à Moncton : « Les gens sont revenus aux livres. Ils se sont tannés des écrans […] et je pense qu’ils ont repris l’habitude d’acheter des livres et de lire, et ça ne devrait pas s’atténuer dans les années à venir. »

Si l’écriture est une activité solitaire, Stéphane Cormier note que l’isolement résultant de la pandémie a tout de même été pesant pour plusieurs auteurs : « À partir du moment où le livre est publié, tu peux voir l’impact que ça a sur les lecteurs et lectrices. Mais quand pendant deux ans tu n’as pas cette opportunité-là, ça peut être difficile. » 

Ce qui manque le plus à Serge Patrice Thibodeau, ce sont les lancements-spectacles traditionnellement organisés par les Éditions Perce-Neige : « Ça fait deux ans qu’on n’a rien pu faire et ça, c’est triste […] On a quand même des idées pour retrouver notre public et en développer d’autres », assure-t-il.

La maison d’édition a fait le choix à la fin 2020 de ne plus s’investir dans les salons du livre virtuels, parce que « ça nous demandait autant de temps [que les salons du livre en personne] et ça n’avait absolument aucun impact – du moins pour nous », indique le directeur. 

Rien n’égale les librairies

Quant à lui, Stéphane Cormier souligne l’importance des librairies, « une salle où les gens voient un paquet de livres en français ». Et d’ajouter : « C’est sûr qu’on peut commander des livres sur Internet facilement aujourd’hui, mais c’est une offre en anglais qu’on voit beaucoup. »

Le porte-parole des éditeurs franco-canadiens estime qu’avoir des points de vente de livres en français, comme la future librairie de la Place des Arts du Grand Sudbury, peut avoir un grand effet sur les habitudes de lecture et, ainsi, sur la pérennité des maisons d’édition de langue française.

« Entouré de livres, c’est là que tu fais des découvertes. Le simple fait de se mettre à lire, ça bénéficie à tout le monde », conclut Stéphane Cormier.

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 - lundi 1 juillet 2024