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Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27338)/Commentaires ()/
Balises: Jason Wandy
De l’huile sur un feu presque éteint?

De l’huile sur un feu presque éteint?

Un cadre du CÉF devient président de l'APF

L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté. 

27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (35161)/Commentaires ()/
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Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (20705)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (30272)/Commentaires ()/
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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (30470)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (29825)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33243)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30592)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (42494)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (29790)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (27951)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27420)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31038)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31559)/Commentaires ()/
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Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

18 août 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (24948)/Commentaires ()/
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Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert

Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert

Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/8 octobre 2020/Catégories: 2020, Politique

FRANCOPRESSE – En entrevue avec Francopresse, Annamie Paul souligne que «nous avons seulement une dizaine d’années pour nous attaquer à la crise climatique». Francopresse a pu aborder, avec la nouvelle cheffe des verts, de nombreuses thématiques dont le revenu minimum garanti, la place du Parti vert sur la scène fédérale et la situation du français en milieu minoritaire. Le tout, dans la langue de Molière.

Francopresse : Félicitations pour votre victoire. Elizabeth May a été à la tête du Parti vert pendant près de 15 ans, comment envisagez-vous reprendre le flambeau?
Annamie Paul : D’abord je dois remercier Elizabeth pour tout son excellent travail, et j’ai vraiment hâte de travailler avec elle. Elle est une membre de notre caucus et je suis vraiment ravie. Moi, je suis là pour reprendre le flambeau et essayer de rassembler plus de Canadiens et plus de membres vers notre parti pour soutenir nos idées et contribuer à élire plus de verts pour que nos politiques puissent entrer dans notre vie politique et aider les Canadiens.

Elizabeth May

Elizabeth May

Elizabeth May a été à la tête du Parti vert pendant près de 15 ans. Réélue le 21 octobre 2019 dans sa circonscription de Saanich-Gulf Islands, elle a annoncé sa démission comme cheffe de parti le 4 novembre alors que les Verts sont arrivés en cinquième position quant aux votes exprimés.

Crédit : Archives Francopresse

La priorité des verts a toujours été la sauvegarde de l’environnement. Cependant, les autres partis politiques prennent aussi un virage écologique sous la pression populaire. Comment comptez-vous positionner le parti dans ce paysage?

Je vais continuer de résister à l’idée que tout est réglé, que tous les partis politiques ont leur plan pour l’environnement et pour le climat. Le fait reste que le Parti vert est le seul parti, parmi les partis majeurs au Canada, qui a proposé un plan et des cibles qui correspondent à la science. Et nous avons seulement une dizaine d’années pour nous attaquer à la crise climatique.

Votre discours inaugural a mis l’accent sur l’importance de la diversité. Comment est-ce que le Parti vert compte faire la promotion de la diversité?

En élisant la première personne, pas même [seulement la première] femme, la première personne noire au Canada, et la première femme juive au Canada [à la tête d’un parti politique fédéral, NDLR]. Ce sont deux choses historiques. C’est un signal de nos membres qu’ils veulent prioriser la diversité et qu’ils comprennent bien que c’était une grande lacune aux plus hauts niveaux de notre vie politique.

Le public place souvent le Nouveau Parti démocratique et le Parti vert dans le même espace politique. Comment est-ce que le Parti vert se distingue du NPD?

Notre parti est le plus progressiste parmi les partis majeurs, qui incluent le NPD. J’étais candidate lors de la dernière élection et notre parti était le seul de parler d’une décriminalisation des drogues, d’une éducation postsecondaire universelle, d’un revenu minimum garanti. On veut coopérer avec eux et les autres partis sur ces enjeux, mais on était les premiers et on reste les plus progressistes.

Quelle est la perspective du Parti vert sur le français en situation minoritaire? 

Mes deux enfants font partie de la francophonie, ils ont fait leur éducation ici et à l’étranger en français. J’ai été très fière d’inscrire mon fils dans le système public français, ici en Ontario.

Mais en matière de politiques publiques, comment est-ce que le Parti vert va supporter le français en situation minoritaire?

Ça commence par s’assurer que nous sommes complètement bilingues et travailler avec notre caucus francophone au Québec et hors du Québec pour créer des politiques pour soutenir ces communautés minoritaires. 

Nous avons parlé de ça dans notre programme de 2019 [il y a une clause sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles dans la plateforme de 2019 du Parti vert, NDLR]. Et nous allons avoir une convention en 2021 pour renouveler nos politiques, je sais que c’est un des enjeux dont nous allons discuter l’année prochaine.

Un des enjeux avec l’éducation en français en milieu minoritaire est la pénurie d’enseignants. Est-ce que vous croyez qu’il devrait y avoir un plus grand rôle pour le gouvernement fédéral dans l’éducation postsecondaire?

C’est très intéressant comme idée. Je sais que nous avons besoin de solutions, parce que l’éducation dans la langue seconde est une énorme barrière pour les francophones qui veulent apprendre l’anglais et l’inverse pour les anglophones, et ça devient un grand souci pour moi parce que ça revient à marginaliser des personnes qui sont déjà marginalisées, et ça devient un luxe d’apprendre notre langue seconde.

Donc j’aimerais bien voir les gouvernements provinciaux et le gouvernement fédéral coopérer sur la création d’un vrai plan d’action pour former des professeurs et avoir une société qui soit vraiment bilingue.

Vous êtes candidate à l’élection partielle dans Toronto-Centre, une circonscription où vous avez terminé 4e lors de la dernière élection. Quelle est votre stratégie pour l’emporter cette fois?

Maintenant que je suis cheffe d’un parti majeur fédéral, j’espère que ça va attirer plus d’intérêt parmi les résidents et dans la presse. Aussi, nous sommes en plein milieu d’une crise sans précédent. La pandémie a changé beaucoup de choses dans cette circonscription, et pour le pire. Donc les gens ont besoin vraiment d’une représentation vraie et concrète, et ça fait plusieurs années qu’ils n’ont pas reçu ça du Parti libéral.

Finalement, je crois que les gens cherchent quelque chose d’autre. Ils voient que ce qu’ils ont ne marche pas, que les politiques ne marchent pas, donc ils souhaiteront peut-être faire un choix différent dans cette élection.

Scénario hypothétique : vous devenez première ministre du Canada, avec un gouvernement majoritaire. Quelles seraient vos trois priorités?

Il faut créer des cibles et un plan pour attaquer la crise climatique.

Il faut saisir cette opportunité dans les prochains mois et années de prendre tout l’argent que nous allons investir dans notre économie pour accélérer une transition vers une économie verte, qui est une économie soutenable, juste et équitable.

Et finalement, il faut compléter notre filet social pour que la prochaine fois que nous serons en crise, nous ayons une valve afin d’être plus résilients et d’éviter le pire pour les citoyens canadiens.

Le Parti vert préconise une transition vers une économie verte. Comment s’assurer de ne pas plonger certaines provinces économiquement dépendantes du pétrole, comme l’Alberta et la Saskatchewan, dans une crise économique?

C’est une excellente question. Notre but doit être de faire la transition de manière juste et équitable. La réponse, c’est que nous pouvons investir dans l’économie du futur.

C’est extrêmement irresponsable des gouvernements successifs en Alberta, en Saskatchewan et à Terre-Neuve-et-Labrador de ne pas avoir diversifié leur économie. Là, c’est le moment, nous sommes en train de planifier un investissement sans précédent dans notre économie.

Si on investit sagement dans les infrastructures vertes, dans les technologies propres et dans les énergies renouvelables, ce sont des secteurs où les travailleurs peuvent transférer leurs compétences actuelles directement à ces emplois, et on sait que les emplois dans l’économie verte produisent presque huit emplois par million de dollars investis. En comparaison, un investissement d’un million dans le secteur pétrolier en produit moins de trois.

Alors c’est une bonne nouvelle pour le futur de ces provinces, et j’espère que leurs premiers ministres vont saisir cette opportunité pour finalement diversifier leur économie.

Est-ce qu’une transition économique de cette ampleur peut être réalisée sous les échéances très courtes qu’imposent les changements climatiques?

C’est un processus qui va prendre du temps. Il y a des choses que nous pouvons faire immédiatement, mais il y a des choses qui vont prendre plus d’années.

Mais nous avons l’opportunité d’accélérer cette transition en ce moment, parce qu’il y a un consensus parmi les partis fédéraux, il y a un consensus international parmi les grandes économies, qu’il va être nécessaire de dépenser des centaines de milliards de dollars pour réanimer nos économies [à la suite de la COVID-19]. Si on investit dans les secteurs dont je viens de parler, on peut dramatiquement accélérer notre transition.

Plusieurs politiques du Parti vert s’appuient sur des négociations avec d’autres paliers gouvernementaux. Qu’est-ce qui arrive si les gouvernements provinciaux ne sont pas intéressés par les politiques que vous proposez?

C’est vrai, notre approche c’est toujours de coopérer et de collaborer. Et ça va être nécessaire d’avoir une bonne collaboration pour créer toutes ces politiques et pour les mettre en œuvre.

Moi, je vois que les Canadiens ont beaucoup aimé la coopération qui existe en ce moment entre les différents niveaux de gouvernement pour lutter contre la pandémie. Et je crois qu’ils vont insister de plus en plus dans le futur pour que leurs représentants collaborent et coopèrent.

Mais sinon, il faut trouver d’autres moyens de faire ce qui est nécessaire. Parce quand on parle de la crise climatique, de l’accès aux médicaments ou d’un revenu minimum garanti pour les Canadiens, ce sont des questions nationales, dans certains cas de sécurité nationale, donc ce n’est pas uniquement la juridiction d’une province ou l’autre.

À noter que les propos ont été réorganisés pour des raisons de longueur et de cohérence.

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Francopresse

Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)

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 - samedi 1 juin 2024