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Festival fransaskois 2024
Gerer un OSBL : ça s’apprend !

Gerer un OSBL : ça s’apprend !

Parfois, un cours 101 sur la gestion d’un OSBL est de mise.

15 mars 2017/Auteur: André Magny (Francopresse)/Nombre de vues (29228)/Commentaires ()/
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L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

Les premiers mois de l’arrivée de notre bébé nous transportent de joie. Puis, arrive le temps fatidique de cet apprentissage qui nous semble insurmontable : la propreté !

12 mars 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (40658)/Commentaires ()/
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Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Gravelbourg se mobilise pour sauver un joyau de notre patrimoine

GRAVELBOURG - L’avenir de l’édifice se joue en ce moment.  Est-ce que ce monument à un pan de l’histoire fransaskoise ne survivra qu’en photos?  

7 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28467)/Commentaires ()/
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Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Décès de la première enseignante de l’École canadienne-française de Saskatoon

SASKATOON - Le 5 février dernier, des centaines de personnes se sont rendues au pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon pour rendre hommage à Monique Rousseau, la première enseignante de l’école, décédée le 20 janvier 2017. 
1 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (34591)/Commentaires ()/
« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

Voyager avec un enfant

Voyager en voiture, en avion ou en train pour un long trajet représente toujours un défi pour les parents. 
2 février 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (42024)/Commentaires ()/
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Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

La signature d’un protocole d’entente entre la Faculté de sciences infirmières de l’Université de Regina et La Cité universitaire francophone a eu lieu le 9 décembre 2016. Ce protocole vise à offrir un programme postsecondaire bilingue en sciences infirmières dès 2018. 

21 janvier 2017/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (35277)/Commentaires ()/
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Des graphistes en herbe à l’École Valois

Des graphistes en herbe à l’École Valois

La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."

2 janvier 2017/Auteur: ENDV/Nombre de vues (41910)/Commentaires ()/
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Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

GRAVELBOURG - C’est le 9 novembre dernier que les jeunes des écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg, le personnel des deux institutions scolaires et des membres de la communauté fransaskoise se sont donné rendez-vous pour la célébration du Jour du Souvenir sous le thème « Nous nous souviendrons ».

2 décembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (33642)/Commentaires ()/
Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Il y a dix ans, la Table nationale en petite enfance devait faire des choix critiques. Ses membres ont décidé de continuer à se réseauter et à développer des modèles de lieux de service pour stimuler un mouvement national. Et ils ont écarté la stratégie juridique, qui aurait consisté à monter une cause solide quelque part au pays.

24 novembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (42394)/Commentaires ()/
Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

"Je veux aider la communauté à guérir"

 

Christiane Guérette a été élue pour représenter le district de Saskatoon au sein du Conseil scolaire fransaskois (CSF) lors des élections scolaires du 26 octobre 2016. Elle a été choisie par une majorité de conseillers pour occuper la présidence du CSF succédant ainsi à Alpha Barry. L’Eau vive l’a rencontrée.


 

24 novembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32987)/Commentaires ()/
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Créer une relation complice avec son enfant

Créer une relation complice avec son enfant

Comment bâtir un lien durable

« Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers.

23 novembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (47524)/Commentaires ()/
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Le devoir des écoles sans ressources

Le devoir des écoles sans ressources

Il faut enseigner la langue et la culture en même temps

« Il faut enseigner la langue et la culture en même temps. Si on ne le fait pas, on est voué à disparaître. »

21 novembre 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (34396)/Commentaires ()/
Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
4 novembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (31510)/Commentaires ()/
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L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30900)/Commentaires ()/
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Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (32553)/Commentaires ()/
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Des tambours royaux au cœur de la fransaskoisie

Auteur: Marie-Lou Bernatchez/13 juillet 2022/Catégories: Arts et culture, Musique, Spectacle

Le groupe percussionniste réginois Abahebera, terme qui signifie « dévoué au tambour » en kirundi, une langue du Burundi, a fait résonner toute sa dévotion lors d’une prestation pour le moins rythmée et colorée le 9 juillet en soirée au Festival fransaskois.

Le groupe est composé d’une dizaine de percussionnistes originaires du Burundi. Présenté par la Communauté burundaise de Regina, le groupe avait hâte de retrouver la scène du festival après plus de deux ans de pandémie.

« Ça donne un spectacle assez différent et c’est quelque chose de traditionnel chez nous », explique Jean de Dieu Ndayahundwa, membre responsable de Abahebera depuis cette année.

Un groupe en demande

La prestation, d’une durée d’une trentaine de minutes, a apporté une ambiance électrisante au festival. Elle précédait le spectacle sur la grande scène qui débutait à 19 heures.

Le talent d’Abahebera est de plus en plus reconnu dans l’Ouest canadien, et le groupe est désormais installé dans la vie culturelle en Saskatchewan.

Les tambourinaires sont régulièrement invités à de grands événements tels que la fête du Canada, le Festival fransaskois, le Festival folk de Regina, le Festival culturel d’Assiniboia, ou encore l’Africa Fest de Victoria en Colombie-Britannique.

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L’UNESCO a inscrit le tambour burundais au patrimoine mondial de l'humanité en 2014. Crédits: Marie-Lou Bernatchez

Ce n’est qu’en 2018 que les membres du groupe ont commencé à pratiquer ensemble. « Je me souviens de regarder les tambourinaires au Burundi quand j’étais enfant, mais je n’avais jamais joué », se remémore Jean de Dieu Ndayahundwa.

« C’est Rénord Nsekera, le responsable technique du groupe, qui m’a appris à jouer », ajoute le musicien. Afin de garder le tempo, le groupe se rencontre chaque samedi pour pratiquer.

Du rythme et de l’effort

« C’est quand même demandant physiquement, explique Jean de Dieu Ndayahundwa, car on fait trois choses en même temps : on joue du tambour, on danse et on chante en kirundi. »

Pour se déplacer, les artistes portent leur tambour sur la tête. « Les tambours sont très lourds, entre 23kgs et 30 kgs, ajoute le percussionniste. Au début, tu peux avoir des douleurs au cou car en plus du poids il faut garder l’équilibre. »

Ces instruments de musique traditionnels occupent une place importante dans la culture burundaise. En tant qu’objets sacrés, ils sont réservés aux grands événements. L’UNESCO a d’ailleurs inscrit le tambour burundais au patrimoine mondial de l'humanité en 2014. « Ce qui veut dire que l’on doit jouer en vêtement traditionnel, et qu’on ne porte pas de souliers non plus », ponctue Jean de Dieu Ndayahundwa.

Plusieurs organismes de la Fransaskoisie ont contribué à l’achat de tambours burundais, dont la Fondation fransaskoise et le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui, pour sa part, a dépensé 10 000 dollars pour acheter des tambours et les faire venir depuis l’Afrique.

« C’est dans le souci d’inclure une activité multiculturelle au Pavillon secondaire des Quatre-Vents [de l’école Monseigneur de Laval à Regina] que l’achat s’est fait », indique Jean de Dieu Ndayahundwa, également impliqué au sein du Collectif des parents inquiets et préoccupés (CPIP).

La Communauté burundaise de Regina détient maintenant 18 tambours traditionnels.

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Marie-Lou Bernatchez

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 - jeudi 27 juin 2024