Catégories
Culture
Éducation
Société
Chroniques
L’immigration n’est pas l’unique solution pour rétablir le poids démographique des francophones hors Québec.
Ottawa a annoncé jeudi une baisse significative du nombre de places pour des résidents permanents pour les trois prochaines années au pays.
Dans un rapport rendu le 9 octobre, le commissaire aux langues officielles souligne les défis dans les domaines de l’éducation et de l’immigration francophone.
Pour les organismes francophones, le mois de septembre est particulièrement propice aux journées d’accueil des nouveaux arrivants en Saskatchewan.
Grâce à un nouveau programme pilote, des étudiants étrangers francophones hors Québec pourront accéder plus rapidement à la résidence permanente.
Vivre et s’épanouir en français en Saskatchewan est le nom de la rencontre virtuelle qui a eu lieu le 17 juillet pour faire valoir l’attractivité de la province.
Plusieurs parents nouveaux arrivants se sont retrouvés le 1er décembre dans les locaux de l’Association des parents fransaskois (APF) à Saskatoon pour une conversation informelle dans un cadre détendu. Au menu de la rencontre : un partage d’expériences quant à leur adaptation sur le sol canadien et quelques conseils prodigués.
La Communauté francophone accueillante (CFA) de Moose Jaw-Gravelbourg et l’Association communautaire fransaskoise de Moose Jaw (ACFMJ) ont rassemblé quelque 75 membres lors de l’événement Terre d’accueil le 11 novembre. La rencontre chaleureuse au sein du gymnase de l’école Ducharme est venue souligner la Semaine de l’immigration francophone.
Le court métrage Le tunnel et la fortune, réalisé par Weiye Su et disponible depuis peu sur le site de l’Office national du film (ONF), rétablit la vérité au sujet de la communauté chinoise de Moose Jaw, établie depuis maintenant 150 ans. Loin de vivre dans les tunnels, cette dernière a ouvertement contribué au développement de la province. Jon Montes, l’un des producteurs du film, revient sur l’intérêt du documentaire.
Les francophones qui veulent immigrer hors Québec ont désormais une catégorie qui leur est réservée dans le système Entrée express : la « compétence linguistique en français ». Avec davantage de points attribués, ces candidats auront donc plus de chances d’obtenir la résidence permanente.
La Communauté francophone accueillante (CFA) de la Saskatchewan a offert un atelier en ligne le 17 mai afin de donner des pistes pour réussir son immigration au Canada. Une dizaine de participants ont pris part à la session, issus des quatre coins du monde : Allemagne, Île Maurice, Maroc, ou encore Cameroun.
Fin avril, une délégation du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) s’est rendue au Burundi et au Niger sous la houlette de son directeur général Ronald Ajavon en vue d’établir des partenariats avec les autorités locales. Certaines personnes de la communauté ont critiqué les dépenses encourues, estimant que le CÉF devrait se focaliser sur d’autres priorités plus locales. Monsieur Ajavon clarifie sa démarche.
L’Observatoire de l’immigration francophone au Canada (OIFC) est un projet issu d’une réflexion entre plusieurs chercheurs spécialisés en immigration. Amin Moghadam, chercheur de l’Université métropolitaine de Toronto, membre de la Chaire d’excellence en recherche du Canada (CERC), explique les objectifs du futur observatoire, dont il a été question lors du Symposium annuel sur l’immigration francophone, le 20 mars à Ottawa.
C’est la promesse que les différentes parties prenantes ont avancé à plusieurs reprises lors du Sommet provincial en établissement organisé le 13 mars par le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK). Entre présentations, témoignages et travaux de groupe, la rencontre a permis de faire part des stratégies d’attraction, d’accueil et de rétention des immigrants francophones.
Afin de faciliter l’inclusion des nouveaux arrivants et de réchauffer les cœurs, le Service d’accueil et d’inclusion francophone de la Saskatchewan (SAIF-SK) propose tout au long de l’hiver le projet Tricotage +. Une façon de souhaiter la bienvenue et de renforcer les liens au sein de la fransaskoisie.
Après sept années de mandat, Alpha Barry a laissé sa place à Geneviève Binette au poste de présidente du Conseil scolaire fransaskois.
Par manque de ressources en français, surtout pour parler des sujets autochtones, une enseignante décide d’outiller elle-même les autres via son compte Instagram frenchiemetisteaches.
Quand les conseils scolaires et les établissements postsecondaires francophones s’engagent sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones…
Le gouvernement de la Saskatchewan a dévoilé le 25 septembre les sites qui accueilleront les deux nouvelles écoles francophones de Saskatoon et Prince Albert.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement décidé d’annuler l’imposition d’un loyer mensuel aux Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE).
Nouvelles charges financières… Les Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE) en pleine consultation avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) !
En cette rentrée scolaire, les enseignants des écoles fransaskoises et d’immersion peuvent se réjouir d’apprendre que le programme LIVE Arts est de retour.
Un article publié dans l’Eau vive en 1983 nous rappelle que la lutte pour l’éducation francophone reste un dossier prioritaire pour les Fransaskois.
En cette rentrée 2024, les enseignants francophones se font de plus en plus rares et la pénurie touche désormais les villes.
En milieu francophone, certains établissements postsecondaires peinent à trouver les fonds pour financer l’entretien de leurs installations et de leurs équipements.
Le retour en classe n’est pas bien vécu par tous les jeunes, victimes de violence et harcèlement dans les cours d’école et sur les réseaux sociaux. Quelles solutions ?
Le 1er juillet 2024 est la date officielle du 50e anniversaire de l’Université de Regina et marque le commencement d’une année remplie d’événements spéciaux.
Les nouvelles charges financières annoncées par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) pour la petite enfance créent polémique au sein de la communauté fransaskoise.
La construction de la nouvelle école élémentaire francophone de Regina avance à grands pas. Les travaux ont commencé en juin 2023 mais l’établissement n’ouvrira ses portes qu’en janvier 2025.
Accueil | Contacts | L'Eau vive en PDF | Galeries de photos | Bottin | |
- mercredi 18 décembre 2024