Concentration en accès à la justice
Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
4081
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
5532
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
4933
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
4949

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
12345678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

La candidature gagnante du prix BRAVO bénévoles 2014 sera connue dans moins d’un mois!

Il reste moins d’un mois avant le grand dévoilement de la candidature gagnante, qui aura lieu le samedi 14 juin prochain à l’Hôtel Hilton Garden Inn, à Saskatoon. Un total de cinq candidatures sera présent lors du dévoilement de la candidature gagnante, qui remportera ainsi le Castor, cette sculpture spécialement créée pour l’occasion par l’artiste […]

Ouverture officielle du gîte Chez Nous Tea & Guest House à Zenon Park

C’est le vendredi 2 mai, à midi, que Mme Yvonne  Smelt procédait à l’ouverture officielle de son gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House, situé au 720 rue Principale, à Zenon Park. En effet, Mme Smelt réalise un grand rêve, soit celui d’être son propre patron tout en offrant des services à des […]

Rapport financier vérifié au 31 mars 2014

Rapport vérifié au 31 mars 2014 from conseilcoopsk
RSS
Première4546474849505153

Actualité économique

Frédéric Dupré
/ Catégories: 2018, L'Apostrophe

Le développement perpétuel, c’est possible !

Il existe un mythe persistant comme quoi, après un certain âge, le développement physique et cognitif devient de plus en plus difficile, voire impossible. C’est l’idée inhérente au jeunisme, soit que les « vieux » ne savent plus innover ou qu’ils n’arrivent plus à être connectés avec l’actualité frénétique du monde contemporain. Les vieux sont dépassés et la jeunesse est d’avant-garde ! Ce mythe, rempli de jugements et de préjugés, demeure pourtant encore latent dans l’esprit de bien des gens et contribue à freiner l’avancement global de la société.

Certes, la jeunesse à ses avantages, mais la sagesse de l’expérience en a tout autant, sinon plus. La différence importante ici est d’adopter des pratiques de développement perpétuel, quels que soient notre âge ou nos origines sociales. La science cognitive a prouvé au cours de la dernière décennie la plasticité du cerveau et des habitudes comportementales, c’est-à-dire qu’il est TOUJOURS possible de se transformer et d’évoluer, rien n’est figé à jamais. L’âge peut évidemment altérer la force physique, mais certains jeunes sont aussi moins en forme que des aînés. Donc l’âge n’est pas le problème, mais ce sont les habitudes de vie qui vont contribuer à modeler notre présent et surtout notre avenir, tant sur le plan physique qu’intellectuel.

J’aimerais ici vous partager trois pratiques qui nous assurent un développement perpétuel afin que nous demeurions tous des acteurs créatifs et dynamiques du tissu social tout en contribuant à notre santé physique et mentale.

Une vérité de Lapalisse, mais trop peu respectée : l’activité physique quotidienne. L’activité physique a des effets sur le moral, la motivation, le calme et la détermination comme aucune autre activité. L’activité physique doit inclure, paradoxalement, un sommeil entre six et huit heures par jour. Éviter de rester assis trop longtemps est donc essentiel.

La deuxième pratique est l’éducation. Garder l’esprit éveillé et actif en s’engageant dans l’acquisition de nouvelles connaissances devrait aussi faire partie de notre développement perpétuel. L’apprentissage devrait aussi se faire sous plusieurs formes. La lecture ne suffit pas. L’apprentissage peut se faire par des expériences, par l’immersion dans un milieu, par des conversations, par des pratiques manuelles telle qu’apprendre un instrument de musique. Bref, un esprit toujours en alerte, prêt à apprendre et à expérimenter des nouveautés, est un esprit jeune et porteur d’avenir.

Finalement, la troisième pratique, et celle-ci a un impact direct sur le développement communautaire, c’est l’engagement social. Le fait de rester actif socialement, que ce soit sur le plan professionnel ou personnel, est déterminant à la santé mentale et même à la longévité. Avoir un réseau social diversifié permet à chacun de mettre en valeur ses qualités et de contribuer à des objectifs impersonnels donnant un sens plus significatif à sa vie. L’humilité et l’écoute que requiert l’engagement sont source de sagesse et de croissance. L’engagement social est à la baisse chez bien des jeunes qui délaissent les interactions sociales au profit des réseaux sociaux. Encore une fois, la science est claire à ce sujet : la solitude prolongée et le manque de liens sociaux sont des facteurs nocifs pour la santé.

Ces trois activités sont les piliers de la fontaine de jouvence et vont permettre aux communautés et aux individus d’être plus résilients et plus créatifs face aux nombreux défis que la vie nous amène.

Imprimer
17816

Frédéric DupréFrédéric Dupré

Autres messages par Frédéric Dupré
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top