Nouveau système d'abonnement Fonds l'Eau vive banniere
Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
6188
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
7646
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
6863
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
6818

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

RSS
12345678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Annual Report 2013-2014

Rapport annuel en-lo res from conseilcoopsk

Une première présence remarquée du RDÉE Canada à Rendez-vous Canada à Vancouver

Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) est très heureux de sa première participation à Rendez-vous Canada (RVC), le plus important salon touristique au Canada s’adressant aux voyagistes internationaux. Cette participation a été rendue possible grâce à une collaboration étroite avec la Commission canadienne du Tourisme (CCT) à la suite de la […]
RSS
Première4546474849505254

Actualité économique

Wanabi Farmeur : assumer la joie de vivre

Wanabi Farmeur : assumer la joie de vivre

Au début des années 2000, Mathieu D’Astous et Ginette Ahier étaient les têtes d’affiche d’une nouvelle mouvance d’artistes issus de l’Acadie du Nouveau-Brunswick. Les deux auteurs-compositeurs-interprètes avaient les oreilles tournées vers la grande planète musicale francophone; le premier explorait les musiques africaines avec une intention chansonnière tandis que la deuxième livrait de jolis bijoux de pop indé via le disque La Tribu. Ces jours-ci, ce couple dans la vie lance un premier album en duo, sous le nom Wanabi Farmeur. 

En cette époque de rock indépendant glauque, la proposition ensoleillée de Wanabi Farmeur est la bienvenue. D’Astous et Ahier livrent une pop chaleureuse aux airs rétro, mais qui se distingue avec aisance grâce aux couleurs qui débordent et prennent vie sous différentes formes. Le résultat est fort sympathique, mais la relation musicale du duo a préséance sur la nature romantique de projet. Au bout de l’écoute, ce choix artistique est un des bons coups du duo.

Ce disque homonyme n’a rien d’une introduction pour le duo. Cela n’a rien d’étonnant, étant donné les escapades précédentes des deux membres de Wanabi Farmeur, mais le tandem est en plein contrôle de son offre. Les régionalismes occupent une place importante à l’écrit, mais cet élément est efficace et subtil (Blowé Ma Cage). À l’avant-plan, on retient les images mémorables (El Dorado) et la justesse des arrangements (Bingo), témoignant d’une audace musicale rarissime en Acadie. C’est particulièrement vrai, car Wanabi Farmeur arrive à opérer quelque part entre une intention chansonnière et un contexte vif et ambré.

Une grande critique s’impose toutefois au bout de l’écoute. Étant donné la nature artisanale des sessions d’enregistrement, le produit manque parfois de fini et de lustre. Si cela offre une certaine spontanéité, parfois les bonnes intentions sont livrées dans le désordre. Une dernière remarque; Jon Anderson du groupe Yes a prêté sa voix à Floating Shack. Toutefois, cet élément a plus d’importance à la lecture du livret qu’à l’écoute du disque, tant ce titre incarne d’abord et avant tout l’esprit étincelant de Wanabi Farmeur.

Imprimer
28643

Jean-Étienne Sheehy (Francopresse)Jean-Étienne Sheehy (Francopresse)

Autres messages par Jean-Étienne Sheehy (Francopresse)
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top