Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
3964
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
5464
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
4854
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
4883

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
124678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ)

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Conseiller/Conseillère en développement économique (CDÉ).   DÉTAILS The post Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ) appeared first on CÉCS.

Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO

Ouest canadien, le 30 novembre 2020 – Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (CDEA, SDECB, CDEM et CÉCS) sont heureux de lancer conjointement le second appel de propositions au FDÉFO pour des projets qui vont débuter le 1er avril 2021. Communiqué de presse FDEFO The post Ouverture des appels de propositions de projets pour l’année 2021-2022 au FDÉFO appeared first on CÉCS.

Communiqué FDEFO : 21 septembre 2020

Les quatre Organismes francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien  (Conseil de développement économique de l’Alberta – CDEA,  Société de développement économique de la Colombie-Britannique – SDECB,  Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba – CDEM et Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan – CÉCS) sont heureux d’annoncer les projets qui ont été retenus pour recevoir un...
RSS
124678910Dernière

Actualité économique

Les choses bougent à l’Institut français

Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

La nouvelle directrice a profité de cet été pour créer des liens avec les organismes communautaires telle que l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), apprendre à connaître les enjeux de l’Institut pour réagir comme une entité universitaire, et pour faire la promotion de l’Institut auprès de ses collègues.

« La question du bilinguisme n’est pas évidente, mais les collègues doyens sont très ouverts. Il faut être pédagogue même avec les collègues. Je leur dit qu’on peut être à l’avant-garde en offre de services. On avance déjà l’idée de formations bilingues dans des domaines qu’il reste encore à déterminer. Le programme des sciences infirmières est déjà lancé. Nous avons des contacts avec la faculté d’administration et d’autres sont à venir. L’Institut a la capacité interne d’offrir des cours bilingues. C’est un travail de longue haleine. »

L’Institut est une entité hybride avec des programmes crédités et d’autres non-crédités et il faut déterminer son rôle. Sur le point de la gouvernance, plusieurs modèles sont à l’étude mais Mme Bouffard doit développer un modèle original qui permette de répondre aux besoins spécifiques de la population francophone en éducation post-secondaire en français en Saskatchewan.

« Les élèves des écoles du CÉF, des écoles d’immersion et ceux du programme de français de base, qui sont de fiers francophones, sont concernés. », explique Mme Bouffard. « Il faut faire un sondage auprès de cette population pour savoir quelles sont leurs aspirations et offrir précisément ce dont ils ont besoin car l’Institut ne peut pas tout faire. Il faut viser la viabilité. Il s’agit d’un projet de société car tout ce qui se fait en francophonie minoritaire a un impact. Il s’agit d’un projet noble et humaniste, c’est ce qu’est l’éducation.»

Mme Bouffard devra développer une vision de quatre ans, de 2014 à 2018, revoir et améliorer certaines choses et en développer d’autres. Le tutorat public en ligne, par exemple, permettra de soutenir l’étudiant et contribuera à lui créer un milieu de vie indique Mme Bouffard. Le mentorat, qui consistera à faire accompagner les élèves de 1re année par des étudiants de 3e ou 4e année, devrait également être mis en place ainsi que le mentorat professionnel (nous reviendrons sur ces points dans une édition ultérieure).

Pour Sophie Bouffard, les choses avancent vite. On réfléchit à un organigramme et on étudie les options budgétaires pour la nouvelle entité qui réunirait l’Institut français et le Département de français. Toutes ces décisions devront être validées par le Sénat de l’Université et le Conseil des gouverneurs et cela prend du temps mais la décision d’accepter le nouveau modèle devrait intervenir le 1er juillet 2015 au plus tard.

Très prochainement, l’Institut français sollicitera l’engagement de la communauté, essentiel pour la nouvelle direction, pour l’aider à trouver un nom pour la nouvelle entité académique francophone sur le campus de l’Université de Regina.

Pour plus d’informations : institutfrancais.uregina.ca

Imprimer
29000

Alexandre Daubisse (EV)Alexandre Daubisse (EV)

Autres messages par Alexandre Daubisse (EV)
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top