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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Poste à combler: Conseiller/ère en développement économique

Le Conseil Économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un/e Conseiller/ère en développement économique (CDE) pour la région de Moose Jaw et les environs. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en développement économique communautaire et /ou en développement d’entreprise; Expérience et/ou connaissance du processus de développement économique...

Poste à combler: Coordination – Projet 150e du Canada

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’une personne pour combler un poste de Coordination – Projet « Découvrons nos communautés avec le 150e du Canada ». Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en gestion de projets ; Avoir des connaissances approfondies du fonctionnement de la géo-cachette (geocaching); Pouvoir...

L’entreprise 7Shifts, lauréate de l’entreprise de service aux Lauriers de la PME

Le samedi 22 octobre dernier se déroulait les Lauriers de la PME du RDÉE Canada, événement qui vise à souligner les petites et moyennes entreprises francophones à l’extérieur du Québec. L’entreprise saskatchewannaise 7Shifts, exæquo avec une entreprise du Nouveau-Brunswick, s’est vue remettre le prix pour la catégorie « Entreprise de services ». 7Shifts une entreprise axée sur la gestion du personnel dans le secteur de la...
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Actualité économique

Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans!

Le Mardi gras a lieu le 25 février et La Nouvelle-Orléans s’attend à accueillir environ 1 million de touristes. Ce festival annuel attire des visiteurs qui aiment festoyer, mais La Nouvelle-Orléans offre bien plus qu’une simple foire. Elle nous séduit aussi grâce au panache de sa musique et l’éclat de sa nourriture.

Né de souches françaises et catholiques, le Mardi gras est la dernière journée d’une période de festivités qui commence le 6 janvier, le jour de l’Épiphanie. Chaque semaine, et parfois chaque jour, des parades et des fanfares défilent dans les rues du Vieux Carré, aussi appelé « French Quarter », le quartier le plus célèbre de la ville. La rue Bourbon se veut le centre des célébrations. Les spectateurs, souvent costumés, sont libres de se joindre à certaines parades.

Le soir du Mardi gras, une immense foule de fêtards se tasse dans la rue Bourbon. Mais à minuit, c’est le mercredi des Cendres, le carême commence et, selon la tradition, on ne doit plus faire la fête. La police municipale, à cheval, forme une ligne de trottoir en trottoir et descend la rue Bourbon afin d’écarter la foule et mettre fin aux célébrations.  

Au rythme de la musique néo-orléanaise

En plus de ses traditions, La Nouvelle-Orléans est empreinte de musique. Il est pratiquement impossible de ne pas entendre les concerts émaner des multiples clubs et bars sur la rue Bourbon. Ailleurs au Vieux Carré, des musiciens ambulants jouent sur les coins de rue ou devant la cathédrale Saint-Louis.

Dotée d’un héritage européen et africain, La Nouvelle-Orléans a donné naissance au jazz. Les résidents valorisent à la fois la musique et les musiciens : on y trouve de grands noms comme Louis Armstrong, Antoine « Fats » Domino et Dr. John, ou encore les chanteurs contemporains Harry Connick, Jr. et Lil Wayne. Un voyage à La Nouvelle-Orléans devient facilement un cours d’histoire de la musique américaine et, pour les plus passionnés, un pèlerinage.

Un charme culinaire indéniable

La ville dispose aussi d’un grand nombre de restaurants exquis, trop nombreux pour être tous nommés. Concentrons-nous donc sur le plus vieux, Chez Antoine. Fondé en 1840 par le chef français Antoine Alciatore, le restaurant célèbre cette année son 180e anniversaire. Les membres de la famille gèrent Chez Antoine depuis cinq générations. Le menu s’inspire des traditions culinaires françaises et créoles. On y trouve par exemple des fruits de mer, du coq au vin et même de l’alligator. Le plat le plus célèbre, les huîtres Rockefeller, a été inventé ici. De nombreux présidents américains ont mangé Chez Antoine, et même le pape Jean-Paul II.

Des restaurants tels que Chez Antoine démontrent que la culture française a influencé La Nouvelle-Orléans. De plus, les noms de rue et certains noms de famille témoignent de l’héritage francophone, mais ces noms donnent la fausse impression qu’il s’agit d’une ville où les citoyens parlent encore français. Ce n’est plus le cas. Pour rencontrer la culture cajun et les francophones, il vaut mieux explorer les communautés louisianaises comme Lafayette, Arnaudville ou Ville Platte.

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Dominique LiboironDominique Liboiron

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