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Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Nouvelles du CÉCS

Appel d’offres – Audit externe

Le CÉCS est à la recherche des services d’une firme comptable dûment accréditée qui aura le mandat de procéder à l’audit externe annuel de l’organisme.  Les services de la firme seront requis pour les trois (3) exercices financiers suivants :  2021-2022  2022-2023  2023-2024  PLUS DE DÉTAILS The post Appel d’offres – Audit externe appeared first on CÉCS.

AGA du CÉCS 2021

La 74e Assemblée générale annuelle (AGA) du CÉCS aura lieu le mercredi 15 septembre 2021, en format virtuel. INFORMATION / CONVOCATION The post AGA du CÉCS 2021 appeared first on CÉCS.

Communiqué FDEFO : 3 mai 2021

Ouest Canadien – Le lundi, 03 mai 2021 – Les quatre organisations francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien (CDÉA, SDECB, CDEM et CÉCS) sont heureuses d’annoncer les projets retenus pour recevoir du financement dans le cadre du second appel de propositions de projets du programme « Fonds de développement économique francophone de l’Ouest canadien – FDÉFO ». Communiqué de presse FDÉFO – 3 mai 2021 The post Communiqué FDEFO...
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Actualité économique

Cible presque atteinte en immigration francophone
Inès Lombardo — Francopresse
/ Catégories: Société, Immigration

Cible presque atteinte en immigration francophone

FRANCOPRESSE — Le Canada aurait presque atteint sa cible de 4,4 % en immigration francophone à l’extérieur du Québec, selon le ministre de l’Immigration. Invité à comparaitre devant le Comité permanent des langues officielles mardi, il a saisi l’occasion pour annoncer que son ministère établira de nouvelles cibles pour les francophones sous peu.

Après avoir réitéré que l’immigration francophone était «essentielle» pour toutes les communautés, Sean Fraser, ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), a annoncé devant le Comité que le taux d’immigrants francophones à l’extérieur du Québec venait tout juste d’atteindre les 4 % et que de nouvelles cibles seront bientôt annoncées.

«Confiant» d’atteindre la cible de 4,4 %, établie il y a 20 ans et qui n’a jamais été atteinte, il a assuré que pour correspondre à sa vision à long terme, il se penchait sur l’adoption d’un programme spécial d’immigration francophone hors Québec. 

«Avant d’établir des cibles pour l’avenir, je dois prouver qu’on atteint la cible actuelle [de 4,4 %, NDLR]», a-t-il tempéré. Il a par ailleurs affirmé qu’établir une cible de «réparation» à 20 % d’ici 2036, comme demandé par la Fédération des communautés francophones et acadiennes (FCFA), n’était «pas possible aujourd’hui». Cette cible «n’est pas dans l’inventaire. Mais c’est essentiel de continuer de faire des investissements dans la promotion et le recrutement [de l’immigration francophone hors Québec, NDLR]. Il n’y a pas de solution magique», a répondu le ministre au Comité.

Liane Roy, présidente de la FCFA, a réagi : «Ma compréhension, c’est que le ministre ne peut atteindre les 20 % d’immigration francophone hors Québec avec le bassin actuel de candidats. Pour qu’on arrive à 20 %, il faut des mesures de recrutement et de promotion, on le répète depuis des années.»

La présidente a par ailleurs assuré qu’elle était heureuse que le ministre réalise l’importance d’augmenter la prochaine cible. «Nous serons peut-être déçus, affirme-t-elle en souriant, mais c’est la première fois qu’un ministre le dit clairement.»

Une politique migratoire francophone, une responsabilité de «chaque ministère»

Le ministre a rappelé que des initiatives comme le Parcours d’intégration francophone ou l’Initiative des communautés francophones accueillantes font partie des solutions pour atteindre la cible.

Mais les conservateurs ont fait savoir que, dans le projet de loi C-13 modernisant la Loi sur les langues officielles, aucun outil n’obligeait le ministre à livrer des résultats sur la mise en œuvre de la politique d’immigration francophone.

«Chaque ministère à l’avenir devra appuyer l’immigration francophone», a répondu Sean Fraser, rappelant fréquemment que son ministère ne devrait pas être le seul à gérer la question. Une affirmation également reprise par la ministre du Conseil du Trésor, Mona Fortier, qui a aussi comparu devant le Comité.  

Pas de cours en français offerts par le fédéral
Sur la possibilité que des cours de francisation puissent être offerts aux nouveaux arrivants francophones, quelle que soit la région du Canada où ils s’établissent, le ministre Fraser a répondu que le gouvernement fédéral ne fournissait pas ces services, mais qu’il «soutenait les services d’établissement dans les communautés. […] Ce n’est pas possible dans chaque communauté», a-t-il précisé.

 

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Inès Lombardo — FrancopresseMarie-Lou Bernatchez

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