Close
Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
4090
La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
5559
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

Le CÉCS dresse le portrait des régions

Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
4956
Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
4991

Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
RSS
245678910Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

Appel d’offres – Audit externe

Le CÉCS est à la recherche des services d’une firme comptable dûment accréditée qui aura le mandat de procéder à l’audit externe annuel de l’organisme.  Les services de la firme seront requis pour les trois (3) exercices financiers suivants :  2021-2022  2022-2023  2023-2024  PLUS DE DÉTAILS The post Appel d’offres – Audit externe appeared first on CÉCS.

AGA du CÉCS 2021

La 74e Assemblée générale annuelle (AGA) du CÉCS aura lieu le mercredi 15 septembre 2021, en format virtuel. INFORMATION / CONVOCATION The post AGA du CÉCS 2021 appeared first on CÉCS.

Communiqué FDEFO : 3 mai 2021

Ouest Canadien – Le lundi, 03 mai 2021 – Les quatre organisations francophones à vocation économique (OFVE) de l’Ouest canadien (CDÉA, SDECB, CDEM et CÉCS) sont heureuses d’annoncer les projets retenus pour recevoir du financement dans le cadre du second appel de propositions de projets du programme « Fonds de développement économique francophone de l’Ouest canadien – FDÉFO ». Communiqué de presse FDÉFO – 3 mai 2021 The post Communiqué FDEFO...
RSS
245678910Dernière

Actualité économique

Les secrets simples du jardinage

Vidéoconférence dans le cadre de Résot'âges

Lisette Marchildon a la main verte et n’est pas avare de conseils. Le 6 mai dernier, en collaboration avec la Fédération des aînés (FAF), la Fransaskoise a partagé via vidéoconférence quelques-uns de ses secrets dans le cadre du projet Résot’âges, un partenariat avec la Cité universitaire francophone de Regina.

Née à Zenon Park dans une famille de neuf enfants, Lisette Marchildon est une passionnée de jardinage. Du haut de ses 40 ans d’expérience, elle a voulu offrir aux participants l’occasion de renouer avec la nature avant la longue fin de semaine de la fête de la Reine.

Selon Lisette, « jardiner est synonyme d’espoir : on met quelques graines sous terre et on vérifie tous les jours pour voir le progrès. On s’émerveille de voir des fleurs et ensuite les fruits. » Une philosophie bienvenue en ces temps difficiles de confinement.

Le bonheur est dans le pré

La jardinière ajoute que le jardinage procure des bienfaits physiques, parce qu’on marche, creuse et se penche. Abordant l’aspect du bien-être psychologique, Lisette a attiré l’attention sur le calme qu’on trouve dans un jardin, lequel permet de faire le vide en soi et d’être serein. « On peut parler à ses plantes, insiste-t-elle, mais il faudra être attentionné à leur égard car elles communiqueront avec nous à travers des indices sur leurs besoins. »

Outre cette connexion avec la nature, le jardinage donne aussi à Lisette l’occasion de consommer ses propres cultures, des produits de qualité. C’est donc avec plaisir qu’elle passe en moyenne 12 heures par semaine dans son jardin en été et en automne.

Les conseils de Lisette

Un jardin peut tout aussi bien se limiter à des pots sur un balcon, dans des bacs, ou bien se trouver en terre dans une cour plus ou moins large.  Peu importe l’espace, on pourra se permettre un jardin de fleurs, de fruits ou encore de légumes.

Tout d’abord, il faudra définir la superficie de son espace cultivable, son accès au soleil et les semences à faire pousser. Le choix de la graine ou de la plante à cultiver dépend de l’espace et de la disponibilité du soleil. De plus, « il faut planter des choses qu’on aime afin d’avoir du plaisir à les consommer », conseille l’experte.

Si l’intérêt est porté vers la culture dans des pots ou bacs, il sera préférable de bien choisir son contenant et sa semence afin de s’assurer que cette dernière est adaptée à l’espace réservé. « Pour une plante de tomate, on pourra se munir d’un pot de 12 pouces à peu près », précise Lisette. Il faudra également vérifier l’accès au soleil et se munir d’une terre appropriée, car la qualité de la terre est très importante.

Quant au jardin en terre, il est important de préparer en premier lieu le sol. Ensuite, il faudra s’assurer d’avoir en sa possession les graines et les plantes à ensemencer. « Moi, je n’arrose pas mon jardin, c’est la nature qui l’arrose. C’est l’avantage de jardiner sur une grande surface », concède Lisette. « En ville, en revanche, parce qu’on jardinera sur de très petites surfaces, on pourra arroser, surtout quand on a affaire aux pots ou bacs, mais pas beaucoup », poursuit-elle.

La saison démarre

Lisette propose d’attendre la longue fin de semaine de la fête de la Reine pour pouvoir commencer à jardiner. Pour les plus pressés, on pourra démarrer avec des pois, de la laitue et des oignons. Les premières pousses pourront êtres visibles au bout d’une semaine, à l’instar des épinards.

Pour ceux qui hésitent encore à se salir les mains, Lisette Marchildon recommande les cours ouverts au grand public et offerts à moindre coût de l’Université de la Saskatchewan. « Si tu n’essayes pas, tu ne sauras pas », tel est le dernier conseil fourni par la jardinière aguerrie.

Imprimer
26296

Simb SimbSimb Simb

Autres messages par Simb Simb
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top