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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Banque de candidatures – postes en employabilité et immigration

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan désire consolider une banque de candidatures pour divers postes dans le domaine de l’employabilité et de l’immigration qui seront situés à Regina et/ou Saskatoon. Nous avons donc mis à disposition cette page pour vous permettre d’envoyer votre curriculum vitæ à un des postes ci-dessous, et de faire partie de notre banque de candidats. Les banques sont utilisées par notre équipe de...

Poste à combler: Conseiller/ère en développement économique

Le Conseil Économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un/e Conseiller/ère en développement économique (CDE) pour la région de Moose Jaw et les environs. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en développement économique communautaire et /ou en développement d’entreprise; Expérience et/ou connaissance du processus de développement économique...

Proposez des lieux de géocaches!

Récemment a eu lieu l’annonce officielle des projets communautaires financés pour le Canada 150, durant laquelle le projet « Découvrons nos communautés avec le 150e du Canada » a été annoncé. En effet, le CÉCS s’est donné comme objectif de créer 150 géocaches bilingues à travers la province. Cependant, nous ne pouvons réaliser cet objectif sans l’aide des communautés francophones de la province. Pour ce faire, nous avons développé un...
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Actualité économique

C’est la faute de Wilf Perreault
Dominique Liboiron

C’est la faute de Wilf Perreault

Je me suis trouvé un nouveau passe-temps qui me permet d’être dehors et de faire de la photo : j’explore des ruelles à la recherche de vieilles voitures.

En me promenant, je pense souvent au peintre fransaskois Wilf Perreault qui est connu pour les scènes de ruelles de Regina.

Originaire d’Albertville, un hameau situé à 30 minutes au nord-est de Prince Albert, Wilf Perreault a grandi à Saskatoon. Son œuvre capte la beauté des quatre saisons et l’ambiance paisible des ruelles.

J’aime les ruelles parce qu’elles sont le côté un peu caché d’une communauté. C’est comme si elles m’invitaient à les explorer.

On y retrouve souvent des automobiles délaissées. Le soleil, le temps et l’érosion les transforment, mais je ne dirais pas qu’ils les dégradent. Plutôt, ils leur donnent une patine.

Je m’intéresse au plein air, aux autos et à la photographie depuis longtemps. J’ai pris conscience de l’art de Wilf Perreault durant mon adolescence. Il a confirmé à mes yeux que la beauté existe même dans les coins délaissés.

En plus de son influence, je ressens dernièrement l’influence des réseaux sociaux. J’ai trouvé sur Instagram des photographes qui affichent des images de vieilles autos. Parfois, je me joins à eux et je partage mes clichés. Chacun a son style. Pour ma part, je me concentre sur les petits détails, tels que les emblèmes en chrome et les autocollants.

Bien que j’aime découvrir des autos que je n’ai jamais prises en photo, je ne me tanne pas de certaines voitures. Par exemple, il y a une Mercury Meteor de 1960 qui me plaît en raison de son autocollant du centenaire de notre pays. Je me suis rendu à quelques reprises pour la prendre en photo, mais la dernière fois s’est moins bien passée.

Avant de prendre la photo, j’ai tenté de mettre un filtre sur ma lentille, mais il est tombé à terre. Étant rond, il a roulé sous la voiture pour ensuite se perdre dans un tas de feuilles sèches. J’étais prêt à me faufiler sous la voiture pour le retrouver. Cependant, les pneus étaient tous dégonflés, alors je n’avais pas assez d’espace. En raison du soleil, le dessous de la voiture était plongé dans l’ombre et je n’arrivais pas à voir le filtre en verre et en métal noir.

J’ai dû y retourner en soirée, cette fois équipé d’un râteau et d’une lampe de poche. Je n’arrivais pas à tenir la lampe en même temps que je tassais les feuilles avec le râteau. Heureusement, un couple dans la vingtaine marchait non loin de la voiture et je les ai recrutés pour m’aider. Le jeune homme a tenu la lampe de poche et nous avons tout de suite vu le filtre. J’ai réussi à le tirer vers nous avec le râteau. Pour remercier le jeune homme, j’ai dit à sa blonde qu’il ferait un bon mari. Elle est restée silencieuse. Je ne sais pas comment interpréter son silence, mais j’en ris encore.

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