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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Banque de candidatures – postes en employabilité et immigration

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan désire consolider une banque de candidatures pour divers postes dans le domaine de l’employabilité et de l’immigration qui seront situés à Regina et/ou Saskatoon. Nous avons donc mis à disposition cette page pour vous permettre d’envoyer votre curriculum vitæ à un des postes ci-dessous, et de faire partie de notre banque de candidats. Les banques sont utilisées par notre équipe de...

Poste à combler: Conseiller/ère en développement économique

Le Conseil Économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un/e Conseiller/ère en développement économique (CDE) pour la région de Moose Jaw et les environs. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en développement économique communautaire et /ou en développement d’entreprise; Expérience et/ou connaissance du processus de développement économique...

Proposez des lieux de géocaches!

Récemment a eu lieu l’annonce officielle des projets communautaires financés pour le Canada 150, durant laquelle le projet « Découvrons nos communautés avec le 150e du Canada » a été annoncé. En effet, le CÉCS s’est donné comme objectif de créer 150 géocaches bilingues à travers la province. Cependant, nous ne pouvons réaliser cet objectif sans l’aide des communautés francophones de la province. Pour ce faire, nous avons développé un...
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Actualité économique

Les secrets simples du jardinage

Vidéoconférence dans le cadre de Résot'âges

Lisette Marchildon a la main verte et n’est pas avare de conseils. Le 6 mai dernier, en collaboration avec la Fédération des aînés (FAF), la Fransaskoise a partagé via vidéoconférence quelques-uns de ses secrets dans le cadre du projet Résot’âges, un partenariat avec la Cité universitaire francophone de Regina.

Née à Zenon Park dans une famille de neuf enfants, Lisette Marchildon est une passionnée de jardinage. Du haut de ses 40 ans d’expérience, elle a voulu offrir aux participants l’occasion de renouer avec la nature avant la longue fin de semaine de la fête de la Reine.

Selon Lisette, « jardiner est synonyme d’espoir : on met quelques graines sous terre et on vérifie tous les jours pour voir le progrès. On s’émerveille de voir des fleurs et ensuite les fruits. » Une philosophie bienvenue en ces temps difficiles de confinement.

Le bonheur est dans le pré

La jardinière ajoute que le jardinage procure des bienfaits physiques, parce qu’on marche, creuse et se penche. Abordant l’aspect du bien-être psychologique, Lisette a attiré l’attention sur le calme qu’on trouve dans un jardin, lequel permet de faire le vide en soi et d’être serein. « On peut parler à ses plantes, insiste-t-elle, mais il faudra être attentionné à leur égard car elles communiqueront avec nous à travers des indices sur leurs besoins. »

Outre cette connexion avec la nature, le jardinage donne aussi à Lisette l’occasion de consommer ses propres cultures, des produits de qualité. C’est donc avec plaisir qu’elle passe en moyenne 12 heures par semaine dans son jardin en été et en automne.

Les conseils de Lisette

Un jardin peut tout aussi bien se limiter à des pots sur un balcon, dans des bacs, ou bien se trouver en terre dans une cour plus ou moins large.  Peu importe l’espace, on pourra se permettre un jardin de fleurs, de fruits ou encore de légumes.

Tout d’abord, il faudra définir la superficie de son espace cultivable, son accès au soleil et les semences à faire pousser. Le choix de la graine ou de la plante à cultiver dépend de l’espace et de la disponibilité du soleil. De plus, « il faut planter des choses qu’on aime afin d’avoir du plaisir à les consommer », conseille l’experte.

Si l’intérêt est porté vers la culture dans des pots ou bacs, il sera préférable de bien choisir son contenant et sa semence afin de s’assurer que cette dernière est adaptée à l’espace réservé. « Pour une plante de tomate, on pourra se munir d’un pot de 12 pouces à peu près », précise Lisette. Il faudra également vérifier l’accès au soleil et se munir d’une terre appropriée, car la qualité de la terre est très importante.

Quant au jardin en terre, il est important de préparer en premier lieu le sol. Ensuite, il faudra s’assurer d’avoir en sa possession les graines et les plantes à ensemencer. « Moi, je n’arrose pas mon jardin, c’est la nature qui l’arrose. C’est l’avantage de jardiner sur une grande surface », concède Lisette. « En ville, en revanche, parce qu’on jardinera sur de très petites surfaces, on pourra arroser, surtout quand on a affaire aux pots ou bacs, mais pas beaucoup », poursuit-elle.

La saison démarre

Lisette propose d’attendre la longue fin de semaine de la fête de la Reine pour pouvoir commencer à jardiner. Pour les plus pressés, on pourra démarrer avec des pois, de la laitue et des oignons. Les premières pousses pourront êtres visibles au bout d’une semaine, à l’instar des épinards.

Pour ceux qui hésitent encore à se salir les mains, Lisette Marchildon recommande les cours ouverts au grand public et offerts à moindre coût de l’Université de la Saskatchewan. « Si tu n’essayes pas, tu ne sauras pas », tel est le dernier conseil fourni par la jardinière aguerrie.

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