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Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser...
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La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

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L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de...
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Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

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Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
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Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

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Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Préparation des demandes de financement

Le samedi 17 mars, le CÉCS présentera un atelier sur la préparation des demandes de financement. Veuillez vous inscrire avec @JeanDeDieu.Ndayahundwa@cecs-sk.ca. L’atelier se passera de 9h à 13h au Carrefour Horizon, 1440 9e Avenue N, Regina.   Venez en grand nombre! L’article Préparation des demandes de financement est apparu en premier sur CÉCS.

Formation « Diversité en milieu de travail »

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) offre une formation qui vise à augmenter les compétences interculturelles chez les employeur.euse.s et les employé.e.s, afin de tirer profit des bienfaits de la diversité en milieu du travail. 7 février 2018 Formation : 13h30 à 16h30 Hôtel Ramada Plaza de Regina (1818 avenue Victoria) Salle Maple Pour confirmer votre présence, svp envoyez un courriel à paul.leost@cecs-sk.ca et...

Muni pour passer au vert / Get Green, Get Empowered

Le forum économique « Muni pour passer au vert / Get Green, Get Empowered » se tiendra le 10 mars prochain, au Duck Lake Interpretive Centre à Duck Lake. Il offrira des présentations et informations pertinentes et pratiques sur l’économie verte. Vous avez jusqu’au 2 mars pour vous inscrire à l’événement! Pour plus de détails, svp cliquez sur le lien suivant pour voir l’annonce officielle. COMMUNIQUÉ DE PRESSE L’article Muni pour passer au...
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Actualité économique

Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le 27 mai, le Collège Mathieu de Gravelbourg a annoncé une forte baisse des frais de scolarité à l’intention des étudiants internationaux qui souhaitent accéder à son programme bilingue de soins infirmiers auxiliaires autorisés. Francis Kasongo, président et directeur général de l’institution, explique les tenants et les aboutissants de cette décision.

Les frais pour élèves internationaux ont été abaissés de 13 000 dollars pour la première année et de 12 000 dollars pour la seconde. Pourquoi cette baisse ?

Nous avons lancé ce programme en 2018 et, depuis son implantation, nous avons eu quelques défis au niveau du recrutement, tant au niveau des étudiants canadiens que des élèves internationaux.

Le laboratoire et les cours théoriques se donnaient à Gravelbourg sur le campus principal en milieu rural, à une heure quarante-cinq de Regina et à trois heures de Saskatoon. 

Nous avons pu former quelques étudiants canadiens, mais la question du coût [environ 43 000 dollars pour les étudiants internationaux] revenait souvent.

Avec la pénurie de main-d’œuvre du personnel médical au pays, nous nous sommes demandé comment nous pouvions contribuer à une formation bilingue dans la province. C'est comme ça que l'idée a cheminé pour arriver à la conclusion que nous devions réviser le coût pour les étudiants internationaux.

Quelle différence existait-il jusqu’à présent entre les élèves canadiens et internationaux au niveau des frais de scolarité ?

On était autour de 22 000 dollars de différence, ce qui était énorme. Et nous sommes arrivés à la conclusion qu'il fallait revoir ça drastiquement, sans pour autant courir le risque d'anticiper un déficit par rapport à cette réduction.

Recruter des étudiants pour ce programme est-il difficile ?

L'an passé, on avait quatre étudiants, deux en première année et deux en deuxième année. Mais en principe, on devait en avoir quatorze.

Nous avons accusé un déficit d'inscriptions ces cinq dernières années. On a donc décidé de délocaliser notre laboratoire de santé de Gravelbourg au campus de Regina pour favoriser la proximité du programme avec le grand public.

Il y avait quelques hésitations pour certains étudiants potentiels. Le conseil d'administration du Collège Mathieu a été amené à délocaliser tous les programmes à Regina.

Selon vous, quand les répercussions de ces décisions se feront-elles sentir ?

Nous estimons que toutes les mesures que nous avons pu mettre en place depuis deux ou trois ans vont faire une différence à la prochaine rentrée académique.

Mais le but, c'est de combler les déficits au niveau de la formation et de ramener à un niveau raisonnable en termes de coûts.

Nous avons encore un défi au niveau de la promotion du programme. Même notre bailleur de fonds est au courant des problèmes que nous avons rencontrés au niveau du recrutement, donc il fallait réaligner nos stratégies.

Une fois que les étudiants sortent de ce programme, ont-ils tendance à aller travailler dans le milieu médical fransaskois ou à partir ailleurs ?

À date, tous nos étudiants en soins infirmiers auxiliaires bilingues autorisés travaillent dans notre province, dont ma fille qui a aussi fait le programme.

Notre objectif est de former du personnel de santé bilingue francophone qui travaille au terme de leurs études dans la communauté et dans notre province.

Nous n'avons pas que le programme du personnel de santé bilingue, nous avons aussi un programme de préposés aux soins de santé. Les quatre finissants de ce programme sont tous rentrés à l'hôpital de Gravelbourg. Et les deux finissants en soins infirmiers auxiliaires ont déjà des offres d'emploi.

Nos programmes sont arrimés aux besoins du marché de l'emploi. C'est la raison pour laquelle nous voulons que ce programme soit bilingue, même si nous offrons 60 % de ce programme en anglais et 40 % en français.

Comptez-vous déjà des inscriptions pour la prochaine session en septembre ?

Nous sommes dans le processus des inscriptions qui se clôturera fin août. Ce serait très tôt de nous avancer sur un chiffre, mais nous avons déjà quelques demandes d'admission et nous souhaitons accroître ce nombre-là pour arriver à la rentrée académique avec une hausse.

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Hélène Lequitte – IJL-Réseau.PresseGhita Hanane

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