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Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Nos élèves qui façonnent le monde : Les Perreaux

Nos élèves qui façonnent le monde : Les Perreaux

Correspondant du Globe and Mail à Montréal

Je suis allé à l'école de Bellegarde jusqu'en 1989, avant l'avènement de la gestion scolaire francophone. Mon père était francophone et ma mère était anglophone. Je suis Fransaskois. À l'époque, la moitié des cours étaient donnés en français et le reste en anglais. Cela n'était pas cool de parler français. Les religieuses ont tout de même bien réussi à nous faire entrer la grammaire dans la tête. Cela m'a aidé énormément. J'ai poursuivi mes études en anglais. J'ai décroché un emploi de journaliste au StarPhoenix à Saskatoon, puis je suis passé au National Post à Winnipeg. J'ai passé une douzaine d'années sans vraiment parler français, jusqu'en 2003. Après les compressions au journal qui ont mené à des mises à pied, j'ai accepté un poste comme correspondant de l'agence Canadian Press à Québec. C'était la première fois que j'allais travailler dans un milieu majoritairement francophone.

Quand on couvre l'Assemblée nationale, on rencontre des députés de toutes les régions du Québec qui parlent avec différents accents. Je me suis adapté, un peu comme en immersion française. Même si j'avais parfois un français hésitant, mon cerveau avait encore suffisamment de circuits francophones. J'étais un peu étrange aux yeux des politiciens et de mes collègues. On me disait: « tu as un nom francophone », mais tu viens de l'Ouest. Je leur répondais : « On n'est pas beaucoup, mais on est là ».

Aujourd'hui, je suis correspondant du Globe and Mail à Montréal et j'ai trois enfants. Mon plus vieux a dix ans et corrige mes erreurs d'accords en français régulièrement. Il parle même anglais avec un très léger accent français. Dans mon esprit, c'est assez incroyable. Quand je regarde mon parcours scolaire et le compare à celui des jeunes de l'école de Bellegarde aujourd'hui, je ne peux faire autrement que d'admirer leur fierté d'être francophones. Je me dis que le système scolaire a vraiment sauvé les Fransaskois.

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