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Programme Mobilité francophone Programme Mobilité francophone Un avantage important pour la communauté fransaskoise 7 juillet 2016 27931 Le ministère Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a annoncé l'arrivée du programme Mobilité francophone à compter du 1er juin 2016. Ce programme avantage les francophones qui reçoivent une offre d'emploi au Canada hors du Québec.
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Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 26737
Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Le Réseau de développement économique et employabilité (RDÉE) Canada a rendu public le 21 mars un plan de... 5 mai 2016 22327
Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 24634
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 21040
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada 23 mars 2016 Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec d’importants investissements qui plongeraient le Canada dans le rouge. On ne peut l’accuser de ne pas avoir tenu sa promesse.
Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans 23 mars 2016 Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre rouge _ foncée _ et rompt son engagement de revenir à l'équilibre budgétaire dans quatre ans.
Lucas Pilleri / 14 février 2022 / Catégories: Organisme, ENP - Éditions de la nouvelle plume, Littérature Les ÉNP se dotent d’une direction générale Crédit : Courtoisie Pour la première fois en 38 ans, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) bénéficient d’une direction générale. C’est Martine Noël-Maw, auteure, dramaturge, éditrice et traductrice, membre du conseil d’administration depuis 2007, qui a pris les rênes de la maison d’édition depuis le 1er février. Elle partage avec L’Eau vive ses ambitions. Que va changer le fait d’avoir une direction générale pour les ÉNP ? Jusqu’ici, il y a seulement eu des coordonnateurs de façon périodique et les membres du conseil d’administration se partageaient les tâches. Le but, c’est vraiment de consolider ce qu’on a construit au fil des ans. On met l’accent sur la professionnalisation depuis quelques années, avec des comités de lecture pour choisir les manuscrits qu’on va publier, ou encore des politiques éditoriales. On veut vraiment se donner des assises plus solides. Il y a beaucoup de nouveaux projets, la maison prend pas mal d’expansion, et on a besoin de quelqu’un pour se concentrer là-dessus. J’ai déjà investi tant de temps et d’énergie dans la Nouvelle plume, qui m’a beaucoup donné en retour. C’est pour ça que je me suis dit qu’il fallait mettre l’épaule à la roue. Martine Noël-Maw est la nouvelle directrice générale des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP). Ici à la Foire du livre de Leipzig en 2019 Crédit : Courtoisie De quelle façon avez-vous été recrutée ? Il y a eu un appel à candidatures l’été dernier. Ça me titillait. Depuis 2007 que je suis au CA [conseil d’administration], je suis passée au travers de tous les processus de la publication d’un livre. Mais il y avait une crainte de mettre un fil à la patte, car je suis autonome depuis 20 ans. J’ai beaucoup résisté, et finalement des membres du CA m’ont convaincue en novembre. Qu’est-ce qui vous motive dans ce nouveau rôle ? Tous les progrès accomplis au fil des années m’encouragent, on a pris de l’envergure. Depuis trois ans, on fait des appels à manuscrits dans les provinces du Nord et de l’Ouest, on a élargi notre bassin d’auteurs, des gens nous font confiance avec leurs manuscrits. Un auteur m’a dit récemment que la Nouvelle plume serait le premier éditeur sur sa liste. C’est stimulant ! Quelle est votre vision pour les ÉNP ? Quelle évolution envisagez-vous pour la maison d’édition ? Je crois qu’on est vraiment sur une belle lancée. Ce qui me plaît beaucoup depuis quelques années, c’est l’esprit de transmission, notre implication au niveau scolaire, avec les romans de la collection jeunesse eSKapade, les ateliers qu’on donne dans les écoles, les ateliers donnés conjointement avec la Troupe du Jour pour les Mots d’ados [un concours d’écriture], la création du magazine en ligne gratuit Fantascript, les dramatiques radiophoniques enregistrées dans les écoles et diffusées sur CFRG [la radio communautaire de Gravelbourg]. Notre mandat est plus large que celui d’un éditeur traditionnel. Selon le président des ÉNP Laurier Gareau, votre expérience dans le domaine de l’édition faisait de vous la candidate idéale pour le poste de direction générale. Pourquoi ? Ça fait depuis 2004 que je connais l’édition en tant qu’autrice. J’ai collaboré aussi avec plusieurs maisons d’édition. Du manuscrit jusqu’à la production du livre, j’ai réalisé plusieurs projets. Je fais aussi de l’accompagnement d’auteurs. L’une des principales raisons pour lesquelles je m’étais impliquée au CA au départ, c’est que je n’ai pas toujours aimé la façon dont les auteurs sont traités dans les maisons d’édition. Souvent, ça m’est arrivé de me faire dire que le manuscrit était parti chez l’imprimeur sans avoir été consultée. Je me suis dit qu’avec les ÉNP je pourrais m’assurer que les auteurs soient mieux respectés. J’ai la vision et la sensibilité de l’auteur. Vous avez représenté les ÉNP lors de plusieurs salons du livre. C’est vous qui aviez d’ailleurs vendu les droits de traduction en allemand du livre Hommage au bison à la Foire du livre de Francfort en 2018. D’autres succès de ce genre sont-ils envisageables ? C’est quelque chose qui nous rend extrêmement fiers de voir que ce livre se promène dans plusieurs pays européens, c’est vraiment un gage d’honneur. On vise maintenant le côté jeunesse avec la Foire du livre de Bologne en Italie, avec des thèmes qui rejoignent la jeunesse, ou encore au Salon du livre de Guadalajara, au Mexique, avec des livres comme Corneille apporte la lumière de Brandy Hanna, Trois plumes de Richard Van Camp, ou Junk City de David Baudemont. Vous êtes également une auteure prolifique. Comment allez-vous concilier vos deux activités ? Je vais continuer d’écrire, mais probablement pas au même rythme. Ce côté-là va passer en deuxième. Je suis moins dans l’urgence de la création. J’ai deux romans en chantier et une pièce de théâtre, ça va se poursuivre, mais à un rythme différent. Je vais voler des heures en début et en fin de journée ! En terminant, que représente la maison d’édition à vos yeux et que lui souhaiteriez-vous pour 2022 ou les années à venir ? C’est la première porte qui s’est ouverte à moi. C’est le premier éditeur qui a accepté de me publier quand je ne connaissais rien au monde de la publication. En ayant collaboré depuis tant d’années à la Nouvelle plume, j’ai vu son développement extraordinaire, surtout depuis l’arrivée de Laurier Gareau qui a vraiment donné une impulsion incroyable. On est passés d’un bailleur de fonds unique, Patrimoine canadien, à une diversité de sources de financements. En 2024, la Nouvelle plume fêtera son 40e anniversaire, j’aimerais qu’on fasse quelque chose de spécial. Merci au CA de la Nouvelle plume de me faire confiance. Imprimer 7362 Lucas PilleriLucas Pilleri Autres messages par Lucas Pilleri Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.