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Programme Mobilité francophone Programme Mobilité francophone Un avantage important pour la communauté fransaskoise 7 juillet 2016 28173 Le ministère Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a annoncé l'arrivée du programme Mobilité francophone à compter du 1er juin 2016. Ce programme avantage les francophones qui reçoivent une offre d'emploi au Canada hors du Québec.
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Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 26826
Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Le Réseau de développement économique et employabilité (RDÉE) Canada a rendu public le 21 mars un plan de... 5 mai 2016 22585
Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 24768
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 21179
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada 23 mars 2016 Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec d’importants investissements qui plongeraient le Canada dans le rouge. On ne peut l’accuser de ne pas avoir tenu sa promesse.
Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans 23 mars 2016 Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre rouge _ foncée _ et rompt son engagement de revenir à l'équilibre budgétaire dans quatre ans.
Emeline Riffenach – Radio-Canada / 7 novembre 2021 / Catégories: Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises L’Eau vive à l’ère du numérique L’Eau vive est imprimée à quelque 1 000 exemplaires toutes les deux semaines. Crédits : Radio-Canada Saskatchewan Les cinquante dernières années ont vu L’Eau vive s’adapter aux nouvelles technologies pour diffuser ses histoires sur de nouveaux supports. Une informatisation qui a modifié le contenu, mais aussi la manière de travailler pour la petite équipe du journal. L’Eau vive d’aujourd’hui s’est davantage professionnalisée et structurée grâce à une petite équipe disséminée à travers le pays. Son rédacteur en chef, Lucas Pilleri, basé à Vancouver, en est le premier exemple. Lucas Pilleri, rédacteur en chef de L’Eau vive « J’ai été contacté en mars ou avril 2019 par Marie-France Kenny pour travailler d’abord de manière temporaire. Elle m’avait dit au départ que ce serait simplement pour s’occuper de deux ou trois éditions, le temps de trouver une rédaction en chef en Saskatchewan », explique Lucas Pilleri qui, plus de deux ans plus tard, occupe toujours le poste. L’Eau vive compte ainsi deux employés : Lucas Pilleri et Erik Tremblay, directeur général qui, lui, habite à Regina. Mais l’équipe ne s’arrête pas là. Le journal s’appuie aussi sur Jean-Pierre Picard, ancien directeur de publication devenu responsable du site web, établi près de Saskatoon, sur une graphiste installée au Manitoba, sur un service de comptabilité basé en Alberta et sur son réseau de pigistes éparpillés un peu partout dans la province pour couvrir l’actualité fransaskoise. « On est un peu précurseurs en la matière, car quand on m’a proposé le rôle de rédacteur en chef à distance, je me suis dit que ça pouvait marcher pour deux ou trois numéros, mais qu’il faudrait ensuite trouver quelqu’un sur place, se rappelle Lucas Pilleri. Et finalement, la pandémie est arrivée et elle a démontré qu’on pouvait faire du très bon travail n’importe où sur la planète. » De l’actualité communautaire Erik Tremblay, directeur général de L’Eau vive À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée fidèle à la communauté fransaskoise. Le journal est parvenu à trouver son rythme de croisière et paraît, depuis l’arrivée d’Erik Tremblay en 2019, toutes les deux semaines. Un millier de copies papier sont imprimées, sans compter l’édition virtuelle et les articles mis en ligne sur le site web. Il y a une liberté qu’on n’a pas ailleurs. « Il y a deux sources de sujets qui alimentent notre journal. La première, c’est l’actualité des organismes de la Fransaskoisie. Ce sont quand même eux qui font l’actualité et qui font vivre la communauté. On suit de près ce qu’ils font, on est attentifs à toute leur communication en gardant de bonnes relations et en ayant un œil objectif », souligne le rédacteur en chef de L’Eau vive. La seconde source d'informations provient directement du réseau de pigistes. « Certains sont là depuis plusieurs années, poursuit Lucas Pilleri. Ils rencontrent des gens, entendent parler de choses, de sujets qui sont importants pour les Fransaskois et ils nous font remonter ces informations-là. » De petits moyens L’Eau vive prévoit de changer son site web et de lancer une application mobile dans l’année à venir. Crédits : Radio-Canada Saskatchewan S’il y a une constante dans l’histoire de L’Eau vive, c’est la problématique financière. La publication doit toujours faire attention à ses dépenses et survit notamment grâce au financement fédéral. « Le défi du journal, c’est d’être un petit journal. Ce ne sont pas de gros budgets, il faut faire attention », explique le directeur général Erik Tremblay. « En même temps, il y a quand même une liberté qu’on n’a pas ailleurs. C’est un défi, je dirais, où l’on n’a pas beaucoup de moyens pour faire beaucoup et l’on est presque constamment en débordement, alors c’est vraiment de la gestion par priorités », poursuit le responsable. On n’a pas beaucoup de moyens pour faire beaucoup. Le financement du gouvernement fédéral reste une base importante pour la publication fransaskoise, mais aussi pour d’autres journaux francophones hors Québec. « Sans le gouvernement fédéral, on ne pourrait pas vraiment exister dans un univers seulement de vente de publicités. Sa contribution permet, non seulement à L’Eau vive, mais aussi à une vingtaine de journaux en milieu minoritaire à travers le pays de vivre et parfois de survivre », ajoute Erik Tremblay. Nouveau site web et application mobile à venir Depuis 2019, L’Eau vive offre en moyenne 16 à 20 pages de contenu inédit à chaque numéro. Crédits : Radio-Canada Saskatchewan Après avoir revu son identité visuelle et son logo en 2019, L’Eau vive se prépare maintenant à expérimenter de nouvelles évolutions technologiques. « Cette année, on passe à la nouvelle étape qui va être de retaper notre site web, dévoile le directeur général. Et nous sommes en train de faire les demandes de subventions pour développer une application mobile. » Le cinquantième anniversaire de L’Eau vive s’ouvre donc sur de nouveaux projets, le tout dans un contexte plutôt positif. « On dit que la communauté [fransaskoise] apprécie davantage son journal parce que les sujets sont intemporels, ce sont des sujets qu’on ne verrait pas ailleurs », observe l’ancien président de Réseau.Presse, Francis Sonier. « La communauté s’est resserrée autour du journal ainsi que des partenaires, et ça, c’est tout à fait remarquable. » Imprimer 8659 Balises: 50 ans de l'Eau vive Emeline Riffenach – Radio-CanadaEmmanuel Masson Autres messages par Emeline Riffenach – Radio-Canada Contacter l'auteur Articles connexes Album de l'histoire de l'Eau vive L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise L’Eau vive, un reflet de la communauté Cinquante ans de défis et de combats Les bons coups de L’Eau vive Les premières pages d’histoire de L’Eau vive Comments are only visible to subscribers.