Close
Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles

Le CÉCS souligne la contribution des bénévoles

Roger Lepage, gagnant de la 5e édition du Bravo Bénévoles !

30232

Roger Lepage est le gagnant du prix Castor de la 5e édition du prix Bravo Bénévoles. Le banquet Bravo Bénévoles s'est déroulé le samedi 11 juin dernier, à l’hôtel Delta Bessborough à Saskatoon.

Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $ Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $

Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $

Les écoles fransaskoises reçoivent 193 000$ de plus

19848
Le gouvernement de la Saskatchewan augmente les frais de médicaments d'ordonnance pour les enfants et les personnes âgées, réduit les fonds pour les parcs en zone urbaine et élimine un crédit d'impôt pour les familles avec des enfants inscrits dans des activités récréatives,...
Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ?

Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre...
24584
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada

OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec...
16402
RSS
Première34568101112Dernière
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
123456810Dernière

Actualité économique

Trump: lendemain d'élection

Trump et Spence
Il ne gagnera pas, que je disais. Que se passera-t-il s'il ne reconnaît pas sa défaite, que je demandais. La question était légitime mais la prémisse était fausse. Il a gagné. C'est peut-être parce qu'un Américain sur deux n'a pas voté, mais Trump a gagné. Nombreux sont ceux qui se sont réveillés en état de choc le 9 novembre dernier. Ou ceux qui, comme moi, ont passé une très mauvaise nuit après avoir attendu et espéré jusqu'à la toute fin.   

Dès l'annonce des premiers résultats, le site d’Immigration Canada s’est effondré, les bourses ont chuté, le malaise s'est répandu sur la planète. Pas partout, il faut le dire. Les tenants d’extrême droite jubilaient. Marine Le Pen du Front national (France) a été la première à féliciter M. Trump, bien avant que sa victoire ne soit officielle.

Alors que le KKK secoue ses plumes et annonce un défilé le 3 décembre pour célébrer la victoire, bon nombre d'Américains sont descendus dans la rue pour exprimer leur indignation. Francopresse a obtenu des réactions. En voici quelques-unes.

 


Alexis Lagimodière-Grisé, assistant d’artistes, New York.

 

Je croyais que nous étions dans une progression. Que nous allions avoir des soins de santé universels, que les femmes auraient plus d’options et les minorités plus de pouvoir. Je suis bouleversé et je me sens dépaysé. Je ne suis pas Américain, mais ceci ne concerne pas seulement les Américains. »

 


Naila E. Jones, coach de carrière, Cleveland.

 

«Le cauchemar va durer quatre ans. Je passe à travers des étapes du deuil — la colère est ravageuse en ce moment. Je ne peux pas croire que mes voisines, ma famille par alliance, mes amies du quartier aient pu voter pour un homme qui veut faire reculer l’humanité. La société américaine se leurre devant la promesse de changement. Ce qui changera certainement, c’est l’acceptation ouverte du racisme, du sexisme et de la violence dans les relations humaines de tous les jours. J’ai vraiment peur. »

 


Tayeb Meridji, modérateur pour Passage to Canada, Winnipeg.

 

« Si le système politique laisse faire Trump, les minorités vont payer le prix de la démocratie. Les organisations des droits humains, le système juridique américain, la liberté de presse, les pressions internationales, les intérêts économiques et militaires ne lui permettront pas d’avoir ses petites mains libres. Mais s’il ne livre pas ses promesses, on peut s’attendre à une tempête politique, sociale et à un marasme économique. »

 


Marie Hélène Eddie, doctorante en sociologie à l’Université d’Ottawa.

 

« La victoire de Trump montre que les opinions misogynes et sexistes sont tolérées, admises, acceptées aux États-Unis. Nous vivons dans un monde où un candidat à la présidence d’un pays qui se vante de harcèlement et d’agression sexuelle, et qui est ouvertement raciste et homophobe, n’est pas disqualifié automatiquement ni rejeté en bloc par la population.

La chose à faire maintenant, c’est de rester plus vigilants que jamais. Se rappeler les erreurs du passé et ne pas tomber dans le piège de l’intolérance.  Continuer de lutter pour la justice sociale et de remédier aux inégalités. Maintenir le cap jusqu’aux prochaines élections. » 

 


Désiré Nyela, professeur à l’Université Sainte-Anne, Pointe-de-l’Église (NE)

 

« L’Amérique est fortement polarisée entre les élites, favorables à la mondialisation, et le peuple, encore à l’aise dans un ancrage identitaire. On a vu cette ligne de faille entre les zones urbaines et rurales. C’est en cela que l’élection a un écho auprès de certaines communautés, comme en milieu rural en Acadie, où les enjeux identitaires se vivent avec une réelle acuité.

L’élection s’est jouée sur des enjeux identitaires (...) Nos hommes et femmes politiques devraient être à l’écoute des angoisses identitaires pour mieux y apporter des réponses au risque de livrer les populations à tous les populismes. »

 

Imprimer
32201

Mychèle FortinMychèle Fortin

Autres messages par Mychèle Fortin
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top