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Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 24781
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Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 19496
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Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre... 23 mars 2016 17731
Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa 18 février 2016 Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa REGINA - Le premier ministre de la Saskatchewan croit que si Ottawa songe à accorder une aide financière à Bombardier, il devrait soutenir de la même façon le transport des hydrocarbures _ en commençant par l'oléoduc Énergie Est.
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits 3 février 2016 La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de revenus", ce qui le forcera à aligner des budgets déficitaires
Laurent Desrosiers / 29 octobre 2015 / Catégories: 2015, Communautaire, Regina Un monument honore l’action des religieuses en Saskatchewan The Sisters Legacy Monument au Parc Wascana, à Regina. Ces statues de bronze représentant deux religieuses en taille réelle, commémorent le dévouement de plus de 5 500 religieuses de 41 congrégations de la province pendant plus de 160 ans. Photo : Archidiocèse de Regina REGINA - The Sisters Legacy Monument a été dévoilé au Parc Wascana, à Regina. Ces statues de bronze représentant deux religieuses en taille réelle, commémorent le dévouement de plus de 5 500 religieuses de 41 congrégations de la province pendant plus de 160 ans. L’une sonne une cloche pour convoquer des écoliers. L’autre est une infirmière en uniforme, allant prodiguer des soins de santé. The Sisters Legacy Monument ont été sculptées par Jack Jensen, un artiste de Prince Albert. Le projet a été lancé en 2011 lorsque Sandra Kary, directrice de l’Association catholique de la santé, a eu connaissance d’un projet semblable en Alberta. Un comité a été formé puis une campagne de prélèvements de fonds a été lancée. Une somme de 300 000 $ a pu être rassemblée pour mener le projet à bonne fin. Le rôle central des sœurs dans le maintien du fait français en Saskatchewan Pendant une bonne partie du XXe siècle, il était fort probable qu’une religieuse devienne la première institutrice des francophones. Elles enseignaient, autant en anglais qu’en français, la lecture, l’écriture, la catéchèse et les classiques de la littérature. Les religieuses faisaient connaître les chants patriotiques de la Bonne Chanson, glorifiaient les exploits héroïques des fondateurs de la Nouvelle-France. Elles ont supporté le fait français en Saskatchewan et soutenu les initiatives jugées nécessaires à «la survivance ». À partir des années 1930, elles se sont répandues dans plus de soixante-dix localités francophones. Les soeurs avaient la responsabilité d’épauler l’Église dans sa mission d’évangéliser. L’école demeurait l’outil de choix où l’esprit des jeunes pouvait être moulé. Les grands principes caractérisant alors l’Église francophone au Canada se définissaient par le nationalisme canadien-français et la capacité de résister à l’assimilation. Malgré le pluralisme omniprésent en Saskatchewan, cette idéologie se transmettait à l’école par le biais du clergé et des associations nationales. Avec les religieuses, l’heure de français permise par la loi avait une place de choix à l’intérieur du curriculum et recevait une attention privilégiée. Elle permettait d’enseigner l’histoire nationale, la grammaire, la diction, la composition et la littérature en français. Les religieuses misaient sur la fierté de la réussite et le sens de l’accomplissement des élèves pour inspirer une ferveur de la langue française. Il existait un souci particulier envers le développement chez l’élève d’une «mentalité française». Les religieuses incorporaient des débats oratoires, des représentations théâtrales, des journées patriotiques, des voyages ou encore la participation aux festivals de la chanson française. Le couvent et les écoles des religieuses francophones possédaient une atmosphère française par le fait que c’était la langue utilisée par ces congrégations. À la recréation, pendant les activités parascolaires, à l’heure du midi, le français dominait même si l’anglais était la langue d’enseignement cinq heures sur six. Imprimer 19196 Laurent DesrosiersLaurent Desrosiers Autres messages par Laurent Desrosiers Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.