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Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $ Le budget de la Saskatchewan affiche un déficit de 434 millions $ Les écoles fransaskoises reçoivent 193 000$ de plus 4 juin 2016 19968 Le gouvernement de la Saskatchewan augmente les frais de médicaments d'ordonnance pour les enfants et les personnes âgées, réduit les fonds pour les parcs en zone urbaine et élimine un crédit d'impôt pour les familles avec des enfants inscrits dans des activités récréatives,...
Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 24711
Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Livre blanc du RDÉE Canada sur le développement économique dans la... Le Réseau de développement économique et employabilité (RDÉE) Canada a rendu public le 21 mars un plan de... 5 mai 2016 20429
Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 22583
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 19413
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Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre... 23 mars 2016 17636
Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa 18 février 2016 Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa REGINA - Le premier ministre de la Saskatchewan croit que si Ottawa songe à accorder une aide financière à Bombardier, il devrait soutenir de la même façon le transport des hydrocarbures _ en commençant par l'oléoduc Énergie Est.
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits 3 février 2016 La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de revenus", ce qui le forcera à aligner des budgets déficitaires
Michèle Fortin(EV) / 17 mars 2015 / Catégories: 2015, Cité universitaire francophone, Éducation, Postsecondaire La petite histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan L’histoire du postsecondaire francophone en Saskatchewan ne date pas d’hier. Déjà en 1918, le Collège Mathieu de Gravelbourg offrait un programme d’études classiques. Les cours de lettres et de philosophie couronnés du baccalauréat ès art étaient offerts sous l'affiliation, d'abord avec l'Université Laval, puis avec l'Université d'Ottawa. À cela s'ajoutèrent deux cours d'une durée de trois ans, l’un en commerce et l’autre en agriculture. La crise économique des années 30 aura malheureusement raison de ces deux programmes. En 1968, le campus de Regina de l’Université de la Saskatchewan (ce n’est qu’en 1974 que l’Université de Regina deviendra autonome) met sur pied le Centre d’études bilingues pour encadrer la formation universitaire en français dans la province. L’université commence à offrir des cours bilingues et en français et le Collège Mathieu abandonne sa formation postsecondaire. En 1986, le Collège Mathieu met sur pied le Service fransaskois d’éducation aux adultes (SFEA) pour offrir diverses formations ponctuelles. En février 1988, la Cour suprême rend son verdict dans la cause Mercure (la cause Caron des années 80) et reconnaît le statut officiel du français en Saskatchewan. En avril de la même année, le gouvernement saskatchewannais de Grant Devine « corrige » la situation en présentant le projet de loi 2 qui confirme l’anglais comme seule langue officielle en Saskatchewan. La nouvelle tombe mal dans un pays qui est déjà est en pleine tourmente constitutionnelle. Nous ne sommes alors qu’à 4 ans d’un référendum national sur l’Accord de Charlettetown qui doit décider de l’avenir constitutionnel du pays. Pour aider à faire passer la pilule, le gouvernement de Brian Mulroney ouvre les vannes et majore considérablement le financement des institutions et organismes fransaskois qui recevront 17 millions sur cinq ans de Patrimoine canadien. Une entente est signée avec le gouvernement provincial qui recevra 63 millions d’Ottawa pour appuyer le fait français en Saskatchewan. Ce financement permet la création de l’Institut de formation linguistique, qui deviendra l’Institut français en 2003, et la construction d’un édifice sur le campus de l’Université de Regina. Les relations sont tendues entre les autorités universitaires et l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan (ACFC) – l’ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF). L’ACFC dénonce le manque d’influence de la communauté fransaskoise dans la gestion de la future institution et refuse de combler les postes réservés à la francophonie sur le comité pour la mise sur pied de l’Institut. L’université recrute alors deux anciens présidents de l’ACFC pour combler ces postes. Entre l’IFL et l’ACFC, les relations seront toujours distantes et polies. En 2003-2004, une entente survient entre le Collège Mathieu et le Conseil scolaire fransaskois pour que ce dernier assure la programmation scolaire de l’institution. Le collège consacrera ses efforts à l’éducation postsecondaire de niveau collégial. Au cours des années, il développera des partenariats avec le Collège Éducacentre, la Cité collégiale, Northern Lights College, le Consortium national de formation en santé et le Saskatchewan Institute of Applied Science and Technology (SIAST) pour offrir divers programmes crédités. C’est en 2003 également que l’Institut de formation linguistique devient l’Institut français avec un mandat redéfini. L’institution se concentre désormais sur l’enseignement et la recherche et se donne pour mission de créer des liens avec la communauté. En 2005, l’Institut met sur pied le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) qui travaillera étroitement avec la communauté dans ses projets de recherche. Au printemps 2013, un comité présidentiel de l’Université, sur lequel siègent trois représentants de la communauté fransaskoise, soumet un rapport contenant 35 recommandations pour donner un nouvel élan à l’Institut français. La communauté accepte l’ensemble de ces recommandations. Un groupe de travail reçoit le mandat de développer les termes de référence pour leur mise en œuvre. En janvier 2014, un protocole d’entente est signé par le gouvernement de la Saskatchewan, l’Université de Regina, l’Université de la Saskatchewan, le Collège Mathieu et SIAST pour “mettre en œuvre des programmes et des services d’éducation postsecondaires en français et les offrir aux étudiants francophones et aux autres étudiants qui souhaitent étudier en français.” En mars 2015, les députés de l’Assemblée communautaire approuvent à l’unanimité les termes de référence provisoires pour l’avenir de la Cité universitaire francophone. Imprimer 27508 Michèle Fortin(EV)Mychèle Fortin Autres messages par Michèle Fortin(EV) Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.