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Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 24737
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Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 22607
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 19441
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Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre... 23 mars 2016 17664
Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa 18 février 2016 Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa REGINA - Le premier ministre de la Saskatchewan croit que si Ottawa songe à accorder une aide financière à Bombardier, il devrait soutenir de la même façon le transport des hydrocarbures _ en commençant par l'oléoduc Énergie Est.
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits 3 février 2016 La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de revenus", ce qui le forcera à aligner des budgets déficitaires
Alexandra Drame (EV) / 6 mars 2014 / Catégories: 2014, Éducation Non à l’intimidation Conférence de Nancy Doyon, Coach familial Les émissions de téléréalité comme Super Nanny – qui vient au secours des parents dépassés par leur progéniture, telle une Mary Poppins des temps modernes – ont révélé au grand jour le besoin des parents d’être soutenus et guidés d’une façon plus concrète dans leur quotidien. Consciente de ce besoin et forte d’une expérience de terrain auprès des enfants et des familles en difficulté, Nancy Doyon, éducatrice spécialisée depuis plus d’une vingtaine d’années, a décidé de monter son école de coaching familial, SOS Nancy. Et ça marche! Ce phénomène, qui connait un engouement à travers le monde entier, n’a pas épargné la belle province, où Mme Doyon est à la tête d’une équipe d’une douzaine de personnes qui offrent des services de soutien parental à domicile dans la ville de Québec. Mi-Super Nanny / Mi-Wonder Woman, Nancy Doyon est aussi auteure de deux best sellers, chroniqueuse familiale à la radio et la télé québecoise, formatrice et conférencière. Comment tout a commencé... Nancy aide les enfants dans leur famille, mais aussi à l’école. Lorsqu’elle travaillait en Centre Jeunesse, elle a été confrontée à de nombreux cas de jeunes victimes d’intimidation. C’est alors qu’elle s’est rendue compte qu’on outillait peu les jeunes à savoir comment réagir et s’affirmer. « En défendant les victimes, elles se sentent encore plus vulnérables et pensent que si un adulte doit les aider, c’est parce qu’elles ne sont pas capables. Et l’intimidateur déteste ensuite encore plus la victime parce qu’il se fait punir à cause d’elle ». C’est de ce constat qu’est née la trilogie « Non à l’intimidation », avec un ouvrage destiné aux parents, un autre pour les intervenants des centres jeunesse ou les écoles, et surtout un ouvrage qui s’adresse directement aux jeunes, pour les aider à s’affirmer et nourrir leur confiance en eux. S’il n’y a pas d’intimidé, il n’y a pas d’intimidation La conférence « Non à l’intimidation » a été proposée en clôture du Symposium des parents de l’APF à Saskatoon, le samedi 1er mars. Les parents présents ont pu découvrir les différences entre intimidation et simple querelle d’enfants, mais aussi découvrir toutes les formes de pression psychologique que peuvent subir leurs enfants. En effet, l’intimidation peut se présenter sous plusieurs formes de violence : physique, verbale, sexuelle, directe, indirecte, que Mme Doyon a illustré d’exemples concrets, souvent inspirés par les cas de jeunes victimes qu’elle a pu aider lors de ses interventions. « Je tiens à ce que les enfants sachent ce qu’est l’intimidation : c’est un rapport de force dominant-dominé, c’est quand une personne ou un groupe s’acharne sur toi tous les jours de façon à ce que tu te sentes petit et vulnérable. Mon objectif est de redonner du pouvoir aux intimidés. Il semblerait que les enfants qui démontrent de la confiance en eux et qui savent s’affirmer de façon saine sont beaucoup moins sujets à l’intimidation. S’il n’y a pas d’intimidé, il n’y a pas d’intimidation ». À une époque où de tragiques faits divers impliquant des adolescents qui se suicident suite à de l’intimidation sur Internet et les réseaux sociaux se multiplient, Madame Doyon a aussi traité du phénomène croissant de cyber intimidation. « Avant, l’intimidation s’arrêtait quand l’enfant rentrait chez lui, mais maintenant, ça le suit jour et nuit, par des messages sur l’ordinateur ou le téléphone. Partout. Tout le temps. » Cette conférence de deux heures a également été proposée à Prince Albert, Regina et Moose Jaw, pour que, dans ces communautés, parents et enfants soient mieux outillés pour dire non à l’intimidation ensemble. Imprimer 26543 Balises: ÉducationintimidationNancy Doyon Alexandra Drame (EV)Alexandra Drame (EV) Autres messages par Alexandra Drame (EV) Contacter l'auteur Articles connexes Cyberintimidation : les directions d’organisme s’outillent La communauté fransaskoise appelée au dialogue et à la collaboration Non à l’intimidation L’intimidation dans la cour des grands Comments are only visible to subscribers.