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Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Faut-il (encore) avoir peur de la finance sociale ? Une première annonce de 3,4 millions $ à mi-parcours de la Feuille de route pour les langues officielles vient relancer quatre... 13 mai 2016 26826
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Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Immigration: retour à l’Avantage significatif francophone Les minorités francophones du pays applaudissent l’annonce du gouvernement fédéral qui rétablit des mesures... 7 avril 2016 24768
Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Un financement stable réclamé pour les médias en milieu minoritaire Les journaux et radios en milieu minoritaire sonnent l’alarme et réclament l'aide du gouvernement fédéral. 24 mars 2016 21179
Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada 23 mars 2016 Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec d’importants investissements qui plongeraient le Canada dans le rouge. On ne peut l’accuser de ne pas avoir tenu sa promesse.
Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans 23 mars 2016 Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans quatre ans OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre rouge _ foncée _ et rompt son engagement de revenir à l'équilibre budgétaire dans quatre ans.
Société Historique de la Saskatchewan / 13 novembre 2014 / Catégories: 2014, Société, Guerre et enjeux militaires Enrôlez-vous, qu'ils disaient! Retour sur l'entrée en guerre du Canada 95e régiment de Regina - 1917 Photo: Musée canadien de la guerre Le dominion du Canada et la colonie de Terre-Neuve entrent en guerre le 4 août 1914, par obligation pour la métropole britannique. Ils s’illustreront dans plusieurs batailles, dont voici les plus marquantes pour le pays. C’est le 22 avril 1915 que les soldats canadiens, tous des volontaires, participent à leur première grande bataille, la Deuxième bataille d’Ypres. Ils sont confrontés pour la première fois aux gaz mortels. C’est en humectant des mouchoirs imbibés d’urine que les Canadiens résistent et le Terre-Neuviens Cluny Macpherson invente un premier masque à gaz grâce à un casque muni d’une cagoule enduite de produits chimiques, de lunettes et d’un tube pour respirer. Ce prototype sera utilisé par l’armée britannique par la suite. Le régiment de Terre-Neuve, qui ne fait alors pas partie du Canada, fait sa première bataille à Beaumont-Hamel, à la Somme. Une erreur de calcul est responsable de cette hécatombe : du petit groupe de 801 soldats, 324 trouvent la mort et 386 sont blessés. Le régiment a chargé sur des fils barbelés sous les tirs de mitrailleuses ennemies. Le lendemain, seuls 68 soldats répondent à l’appel. La bataille la plus mémorable pour le Canada est celle de la crête de Vimy. Réputée imprenable, cette fortification en hauteur avait résisté à plusieurs attaques alliées, faisant déjà 100 000 morts. Pour la première fois, les 4 divisions canadiennes sont réunies dans la même campagne. C’est en creusant un tunnel sous le no man’s land pour s’approcher des lignes ennemies à l’abri des mitrailleuses et grâce à des préparations minutieuses et à un mur d’artillerie qui ouvre le passage devant les soldats que les Canadiens remportent la victoire. L’avancée se fait sous la neige et la pluie. Aujourd’hui, la bataille de la crête de Vimy est le symbole du sacrifice du Dominion, raison pour laquelle un immense mémorial y est dressé et une part du territoire a été léguée au Canada, à titre honorifique. Passchendale était déjà un champ de boue lorsque les troupes canadiennes ont mené l’attaque. C’est sous les tirs allemands que les préparatifs se font. Après quatre mois de combats dans un bourbier où le sang et les cadavres se mêlent à la boue, les Alliés remportent une victoire futile, car les Allemands reprendront le terrain l’année suivante. C’est 15 600 Canadiens qui y trouvent la mort ou sortent blessés. Passchendale restera pour toujours le symbole de l’horreur de la guerre dans les tranchées. Finalement, les Canadiens participent à la campagne des cent jours, du 8 août 1918 au 11 novembre de la même année. L’armée allemande est défaite et l’armistice est signé. La victoire sera célébrée avec un arrière-goût d’amertume : tous ont un proche qui a trouvé la mort sur le champs de bataille. Au total, sur une population canadienne d’environ 8 millions d’habitants, 619 639 hommes et femmes participèrent à la guerre, dont 66 655 trouvèrent la mort et 172 950 furent blessés. Le courage des soldats canadiens, leur sacrifice, leur détermination et leurs victoires arrachées sur des places réputées imprenables ont permis au Dominion de sortir de l’ombre britannique et de se démarquer. Le Canada appose sa signature sur le traité de paix : il est désormais une nation. Pour plus d’informations sur la crise de la conscription, les camps d’internement, les objecteurs de conscience et la participation fransaskoise dans la guerre, nous vous invitons à consulter la dernière édition de la Revue historique. ••• Le Canada et la guerre : Quelques statistiques • 8 millions d’habitants • 620 000 enrôlés • 424 000 envoyés outre-mer • 267 813 rapatriés après la guerre • 67 000 morts • 5348 Saskatchewannais tués au combat • 172 000 soldats blessés, dont • 3461 amputés et • 9000 traumatisés dus aux bombardements (traumatisme psychologique) • 22 812 soldats dans l’aviation britannique • 3000 infirmières de guerre, dont • 53 furent tuées • 21 à 38 ans : l’âge des infirmières • 4000 soldats d’origine autochtone • 1000 soldats noirs • 222 soldats japonais et d’autres nationalités • 1/8 des employés d’usines de guerre sont des femmes • 2/3 des obus britanniques sont fabriqués au Canada • 8579 Canadiens enfermés dans des camps d’internement, dont • 3138 sont prisonniers de guerre • 80 ans : l’âge du plus vieux soldat • 10 ans : l’âge du plus jeune soldat • 26 ans : l’âge moyen des soldats • 80% des soldats sont des hommes célibataires • 1963 morts dans l’explosion du port d’Halifax Imprimer 30447 Balises: SHS guerreJour du souvenir Société Historique de la SaskatchewanSociété Historique de la Saskatchewan Autres messages par Société Historique de la Saskatchewan Contacter l'auteur Articles connexes La guerre : un échec de l’humanité ! Le jour du Souvenir, mais le souvenir de qui ? Une journée de souvenirs à Gravelbourg Les élèves fransaskois honorent la mémoire des anciens combattants Jour du souvenir : le grand rapatriement Jour du souvenir « La guerre résout très peu », John Babcock Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg « C'est une victoire, parce que j'en suis sorti vivant » Roland Dorgelès (1885-1973), Les Croix de bois (1919) De guerre lasse! Comments are only visible to subscribers.