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La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? La COVID-19 fera-t-elle bondir les prix des aliments? 25 avril 2020 24817 FRANCOPRESSE – Quels seront les effets à moyen et long terme de la crise de la COVID-19 sur les prix des aliments? Même les experts ont de la difficulté à répondre avec précision à cette question, tellement il y a d’éléments qui entrent en jeu.
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La fransaskoisie adopte le télétravail La fransaskoisie adopte le télétravail Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles,... 2 avril 2020 21247
Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Vers un circuit touristique francophone en Saskatchewan Depuis leur adhésion au Réseau des villes francophones et francophiles d’Amérique (RVFFA), les villes de Prince Albert et Saskatoon... 15 mars 2020 19930
La Saskatchewan accueille son premier économusée La Saskatchewan accueille son premier économusée LUMSDEN - Le 17 septembre, le premier économusée de la province a ouvert ses portes à Lumsden sur le site enchanteur des vergers Over the... 18 octobre 2019 22164
Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale Le revenu de base garanti se faufile dans la campagne électorale L’Institut Cooper et le PEI Working Group for a Livable Income (WGLI) veulent faire du revenu de base garanti (RBG) un enjeu électoral. 12 octobre 2019 33576
La dégénérescence des produits La dégénérescence des produits Avez-vous déjà remarqué que les produits d’aujourd’hui n’ont pas la même qualité ou ne durent pas aussi longtemps que ceux de... 21 juin 2019 26556
SENA : Une participation francophone modeste 28 mai 2019 SENA : Une participation francophone modeste REGINA - Le volet francophone a eu peu de participants lors de la Semaine pour l’emploi des nouveaux arrivants (SENA) du 6 au 10 mai à Regina,
Le Francothon fait le plein ! 10 mai 2019 Le Francothon fait le plein ! REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars ont été récoltés.
Anonym / 16 mars 2017 / Catégories: 2017, Agriculture et environnement L’inondation nous met face à nos responsabilités 24e journée mondiale de l'eau Étudiants en environnement à Sudbury Les étudiants Brahim Mahamat Assef et Mathieu Gauthier, du bac en Études de l'environnement, accompagnés de la professeure Anne Watelet, mesurent la vitesse du courant dans le ruisseau Junction à Sudbury. Photo : Christian Bouchard On prend l’eau pour acquis jusqu’à ce qu’on en soit privé ou inondé. L’inondation nous pousse à prendre acte de sa présence et de son langage. Elle nous force à reconnaître que notre façon de considérer l’eau a dépassé les limites. Sa journée mondiale, le 22 mars, est une occasion de regarder dans le miroir de l’eau. « Pour moi, l’inondation est l’interface de l’eau avec les humains », explique la professeure Anne Watelet de l’Université Laurentienne à Sudbury. Tout à coup, ça devient un problème et il faut se battre contre. C’est à ce moment-là, dans des circonstances négatives, que le contact se fait. » L’urgence a poussé les administrations publiques à contrôler l’eau avec beaucoup de béton et de digues, mais les systèmes d’égouts ne sont plus adaptés à la menace actuelle. On cherche alors comment aménager le territoire pour être plus résilient, note la chercheuse en matière d’environnement. « Pendant longtemps, c’était le tout à l’égout : l’eau devait s’écouler rapidement vers les cours d’eau utilisés comme drainage. Mais il faut laisser plus de place à l’eau en ville. On ne doit pas coller les résidences sur les rivières, mais libérer les berges pour éviter les catastrophes. La nature a besoin de ces espaces. » Plusieurs villes du pays ont vécu de grandes pluies dévastatrices. Voilà pourquoi, selon la docteure en géographie, les zones urbaines sont les premières au front. Elles développent des aménagements à faible impact écologique sur l’ensemble du bassin versant. L’idée est de retenir l’eau, par exemple, avec des marécages, au lieu de transformer les cours d’eau naturels. « On peut régler toutes sortes de problèmes en stockant l’eau au lieu de l’évacuer. On peut transformer les stationnements traditionnels en stationnements verts. En laissant des places aux voitures, on peut ralentir l’écoulement en aménageant un fossé végété et joli, avec des quenouilles. L’eau est oxygénée, transpirée par la végétation qui retient ce qui est pollué, et renvoyée dans l’atmosphère. » La tendance dans l’aménagement urbain consiste à retenir la pluie là où elle tombe, avec des toits verts, des surfaces poreuses et des étangs. « Ça a l’air d’une goutte dans l’océan, reconnaît Anne Watelet, mais si chacun le fait, ça finit par s’accumuler. » Elle souligne que Sudbury a récemment consulté la population sur trois options de transformation du paysage et qu’un nombre d’associations citoyennes se sont mobilisées pour témoigner. « Les citoyens ont tendance à baisser les bras. La participation devient une façon de donner du sens à ce qui se passe dans nos villes. Faire face à l’eau comme communauté, ça donne du sens à la vie. » La professeure ne croit pas que les efforts d’adaptation au Canada doivent être tempérés par les décisions des États-Unis, le 2e plus important émetteur de gaz à effet de serre au monde. « Si on perd du pouvoir à l’échelle mondiale, notons que ce qui se passe au municipal est plus important. » Quant au financement pour les réaménagements, Anne Watelet reconnaît le délestage du provincial au local. Elle soutient toutefois que les nouvelles façons de faire ne sont pas nécessairement coûteuses et elles permettent de régler des problèmes qui, eux, sont très coûteux. En 2017, la Journée mondiale de l'eau met en lumière les eaux usées, propose l’ONU, et « comment nous pouvons réduire et réutiliser pour atteindre l'objectif de développement durable. » Imprimer 15743 Étudiants en environnement à Sudbury Les étudiants Brahim Mahamat Assef et Mathieu Gauthier, du bac en Études de l'environnement, accompagnés de la professeure Anne Watelet, mesurent la vitesse du courant dans le ruisseau Junction à Sudbury. Photo : Christian Bouchard Comments are only visible to subscribers.