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Sandra Hassan Farah / 23 novembre 2016 / Catégories: 2016, Éducation, Petite enfance, Grandir, un jeu d'enfant Créer une relation complice avec son enfant Comment bâtir un lien durable « Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers. La journée d’école demande beaucoup d’effort et d’énergie à l’enfant et le retour à la maison signifie pour lui le retour au confort, à un temps plus calme et plus agréable. Mais avec notre envie parentale de voir notre enfant participer à des activités sportives et/ou culturelles, les fins de journée sont souvent aussi tumultueuses que l’école. Tout ce temps à courir après différentes activités, aussi plaisantes et récréatives soient elles, c’est aussi du temps en moins à partager avec son enfant. Même si nous restons présents durant les activités et que nous admirons notre progéniture patiner, nager ou frapper une balle, ce n’est pas un temps de partage global, d’échanges verbaux. La relation complice se crée aussi et surtout durant des temps informels, sans pression, ou le temps s’arrête, ou la parole peut s’étirer et ou l’esprit et le corps se relaxent. Ces temps peuvent s’articuler autour d’un jeu de société, d’une discussion, d’un partage d’un livre, d’un bricolage et bien d’autres choses encore. Ces petites activités n’ont pas besoin de durer indéfiniment. Il est d’ailleurs beaucoup plus important qu’elles soient régulières, fréquentes et courtes, qu’espacées, peu courantes et longues. Ces temps partagés, dénués de toute pression, permettent d’enrichir la relation avec son enfant et de la fortifier. Notre vie trépidante durant la semaine peut influer sur notre relation avec notre enfant. Prenons-en conscience et agissons lorsque cela est possible. La simple volonté et la décision de stopper le trop plein d’activités peut aboutir sur ce possible. Ces temps de pause, de bien-être sont comme une note de musique suspendue lors d’une symphonie : une bulle de bonheur dans une semaine harassante, qui contribue à une relation parents/enfants basée sur une confiance mutuelle. Imprimer 47700 Sandra Hassan Farah Sandra Hassan Farah Autres messages par Sandra Hassan Farah Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.