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Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne Smelt procédait le 2 mai... 8 mai 2014 29900
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014 Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour... 7 mai 2014 28379
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS! C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les... 1 mai 2014 35013
23 avril 2014 Financement Patrimoine canadien 2014-15 À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement pour l’année qui débute.
Grand rassemblement de l’éducation en français 23 avril 2014 Grand rassemblement de l’éducation en français Faire de la francophonie un levier puissant dans l’économie canadienne a été le grand sujet de discussion du 3e Grand rassemblement de l’éducation en français (GREF) qui s’est déroulé à Ottawa les 11 et 12 avril. Selon un expert, « chaque dollar provenant de l’espace économique francophone...
Inès Lombardo – Francopresse / 20 novembre 2024 / Catégories: Société, Francophonie, Immigration Marc Miller : « La cible de 10 % d’immigrants francophones, c’est beaucoup demander à mon ministère. » Alors que la Semaine nationale de l’immigration francophone s’est achevée le 9 novembre, les cibles fédérales ne sont pas, pour le ministre Marc Miller, la solution à tous les maux. L’immigration n’est pas l’unique solution pour rétablir le poids démographique des francophones hors Québec, a affirmé le ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada Marc Miller devant le Comité permanent des langues officielles du Sénat le 4 novembre. S’il pense que la cible de 6 % d’immigrants francophones pour 2024 sera « largement atteinte, à moins d’un revirement majeur », le porte-parole avance que l’immigration n’est pas la « solution à tout ». Le gouvernement fédéral a récemment annoncé des cibles progressives afin d’atteindre 10 % d’immigration francophone à l’extérieur du Québec en 2027. Mais un tel objectif, « c’est beaucoup demander à mon ministère, mais aussi aux communautés qui ne sont pas nécessairement habituées à voir de nouveaux arrivants, surtout dans un petit village », souligne le ministre. Et d’ajouter : « Ça peut poser des problèmes d’intégration et de migration vers les grands centres. » Le responsable appelle ainsi au pragmatisme : « Il faut regarder ce qui est réalisable. En politique, le pire est d’entretenir le faux espoir », fait-il valoir. Un meilleur accompagnement Pour Marc Miller, une autre solution serait d’assurer une meilleure intégration des immigrants déjà présents avec l’assurance d’obtenir des services en français, en éducation et en santé. Des gains qui ne pourront se faire sans un engagement des provinces en la matière. Engagement « souvent mitigé » selon le ministre. « Ça dépend de la mouture politique. La collaboration dépend de la province en question », reconnaît-il. Marc Miller plaide aussi pour un processus d’accompagnement des immigrants, condition nécessaire à leur rétention : « C’est très important, sinon on manque notre coup. » L’accompagnement commencerait « par les maires ou les organisations qui les entourent », maintient le ministre. « Il faut un engagement politique de tous les partis, peu importe à quel palier. » Le postsecondaire pointé du doigt Le ministre a également souligné « le manque flagrant de responsabilité des provinces » quant à la gestion du nombre de permis d’étude délivrés aux étudiants étrangers, plafonné en début d’année par le gouvernement fédéral. En comité, le ministre Miller a accusé « beaucoup d’institutions » postsecondaires d’avoir privilégié « la quantité sur la qualité » pour faire plus d’argent. Il a répondu avec vigueur sur la question des étudiants étrangers : « La modernisation de la Loi sur les langues officielles ne donnait pas un passe-droit à toutes les institutions francophones d’aller se payer n’importe qui, n’importe comment avec les vannes ouvertes, simplement par prétexte qu’ils ont à cœur le fait français. » « Je tends la main à ces institutions pour qu’on assume notre responsabilité de bien accueillir ces jeunes adultes dans des communautés qui leur sont nouvelles, quitte à pouvoir les accompagner dans la résidence permanente par la suite. » Et d’ajouter : « Je n’ai jamais demandé aux institutions de facturer quatre fois le prix qu’un étudiant canadien pourrait payer dans les universités. Il y a eu un manque de responsabilité flagrant à certains égards. Le gouvernement fédéral se devait d’agir », a-t-il insisté. Le ministre a annoncé cet été le lancement du Programme pilote pour les étudiants dans les communautés francophones en situation minoritaire (PPECFSM), qui soustraira des étudiants internationaux francophones du plafond imposé pour le nombre d’étudiants étrangers, non francophones. Il s’agit d’une autre manière, selon lui, d’augmenter le nombre d’immigrants francophones, en privilégiant l’accès à la résidence permanente pour ces étudiants. « Car ils ont un début d’intégration au pays », a-t-il justifié. Imprimer 5255 Inès Lombardo – FrancopresseGhita Hanane Autres textes par Inès Lombardo – Francopresse Contacter l'auteur Les commentaires sont visibles aux abonnés..