Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada Budget fédéral 2016: Au-delà de Radio-Canada De bonnes nouvelles pour le milieu culturel 23 mars 2016 20074 OTTAWA – Pour son premier budget, le nouveau gouvernement libéral avait promis de stimuler l’économie canadienne avec d’importants investissements qui plongeraient le Canada dans le rouge. On ne peut l’accuser de ne pas avoir tenu sa promesse.
Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... Budget fédéral: déficit de 29,4 G $, sans retour à l'équilibre dans... 23 mars 2016 20770 OTTAWA - Afin de tenir ses nombreuses promesses électorales, le gouvernement de Justin Trudeau signe un premier budget à l'encre rouge _ foncée _ et rompt son engagement de revenir à l'équilibre budgétaire dans quatre ans.
Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa Énergie Est: Brad Wall veut le même traitement que Bombardier à Ottawa REGINA - Le premier ministre de la Saskatchewan croit que si Ottawa songe à accorder une aide financière à Bombardier, il... 18 février 2016 18743
La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits La Saskatchewan manque de revenus et devra présenter deux déficits Le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall, a déclaré que son gouvernement faisait face à un "sérieux manque de... 3 février 2016 22194
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de... 24 janvier 2016 31041
Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et... 26 novembre 2015 42300
Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? SASKATOON - Le 20 novembre dernier des producteurs agricoles fransaskois ont participé à une journée de travail à... 26 novembre 2015 38760
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ? REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration... 11 novembre 2015 25897
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 11 novembre 2015 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit désormais l’avenir avec optimisme. Lors de son assemblée générale annuelle tenue dimanche, l’organisme a annoncé viser un objectif de 5 millions de dollars.
Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre 4 novembre 2015 Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre OTTAWA - Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre, a indiqué mercredi Statistique Canada, alimentant l'espoir que l'économie du pays puisse commencer à tirer profit de la baisse du dollar canadien.
Inès Lombardo – Francopresse / 20 novembre 2024 / Catégories: Société, Francophonie, Immigration Marc Miller : « La cible de 10 % d’immigrants francophones, c’est beaucoup demander à mon ministère. » Alors que la Semaine nationale de l’immigration francophone s’est achevée le 9 novembre, les cibles fédérales ne sont pas, pour le ministre Marc Miller, la solution à tous les maux. L’immigration n’est pas l’unique solution pour rétablir le poids démographique des francophones hors Québec, a affirmé le ministre d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada Marc Miller devant le Comité permanent des langues officielles du Sénat le 4 novembre. S’il pense que la cible de 6 % d’immigrants francophones pour 2024 sera « largement atteinte, à moins d’un revirement majeur », le porte-parole avance que l’immigration n’est pas la « solution à tout ». Le gouvernement fédéral a récemment annoncé des cibles progressives afin d’atteindre 10 % d’immigration francophone à l’extérieur du Québec en 2027. Mais un tel objectif, « c’est beaucoup demander à mon ministère, mais aussi aux communautés qui ne sont pas nécessairement habituées à voir de nouveaux arrivants, surtout dans un petit village », souligne le ministre. Et d’ajouter : « Ça peut poser des problèmes d’intégration et de migration vers les grands centres. » Le responsable appelle ainsi au pragmatisme : « Il faut regarder ce qui est réalisable. En politique, le pire est d’entretenir le faux espoir », fait-il valoir. Un meilleur accompagnement Pour Marc Miller, une autre solution serait d’assurer une meilleure intégration des immigrants déjà présents avec l’assurance d’obtenir des services en français, en éducation et en santé. Des gains qui ne pourront se faire sans un engagement des provinces en la matière. Engagement « souvent mitigé » selon le ministre. « Ça dépend de la mouture politique. La collaboration dépend de la province en question », reconnaît-il. Marc Miller plaide aussi pour un processus d’accompagnement des immigrants, condition nécessaire à leur rétention : « C’est très important, sinon on manque notre coup. » L’accompagnement commencerait « par les maires ou les organisations qui les entourent », maintient le ministre. « Il faut un engagement politique de tous les partis, peu importe à quel palier. » Le postsecondaire pointé du doigt Le ministre a également souligné « le manque flagrant de responsabilité des provinces » quant à la gestion du nombre de permis d’étude délivrés aux étudiants étrangers, plafonné en début d’année par le gouvernement fédéral. En comité, le ministre Miller a accusé « beaucoup d’institutions » postsecondaires d’avoir privilégié « la quantité sur la qualité » pour faire plus d’argent. Il a répondu avec vigueur sur la question des étudiants étrangers : « La modernisation de la Loi sur les langues officielles ne donnait pas un passe-droit à toutes les institutions francophones d’aller se payer n’importe qui, n’importe comment avec les vannes ouvertes, simplement par prétexte qu’ils ont à cœur le fait français. » « Je tends la main à ces institutions pour qu’on assume notre responsabilité de bien accueillir ces jeunes adultes dans des communautés qui leur sont nouvelles, quitte à pouvoir les accompagner dans la résidence permanente par la suite. » Et d’ajouter : « Je n’ai jamais demandé aux institutions de facturer quatre fois le prix qu’un étudiant canadien pourrait payer dans les universités. Il y a eu un manque de responsabilité flagrant à certains égards. Le gouvernement fédéral se devait d’agir », a-t-il insisté. Le ministre a annoncé cet été le lancement du Programme pilote pour les étudiants dans les communautés francophones en situation minoritaire (PPECFSM), qui soustraira des étudiants internationaux francophones du plafond imposé pour le nombre d’étudiants étrangers, non francophones. Il s’agit d’une autre manière, selon lui, d’augmenter le nombre d’immigrants francophones, en privilégiant l’accès à la résidence permanente pour ces étudiants. « Car ils ont un début d’intégration au pays », a-t-il justifié. Imprimer 5127 Inès Lombardo – FrancopresseGhita Hanane Autres textes par Inès Lombardo – Francopresse Contacter l'auteur Les commentaires sont visibles aux abonnés..