Festival fransaskois 2024
Close
Maggy Bougie, nouvelle coordonnatrice en communications / marketing du... Maggy Bougie, nouvelle coordonnatrice en communications / marketing du...

Maggy Bougie, nouvelle coordonnatrice en communications / marketing du...

27662

Lundi 29 septembre 2014 le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a annoncé la nomination de madame Maggy Bougie à titre de coordonnatrice en communications/marketing au sein de l’organisme. C’est le 23 septembre dernier que Maggy est entrée en fonction. 

Êtes-vous business? Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

39090
Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 
Ententes Canada – Saskatchewan Ententes Canada – Saskatchewan

Ententes Canada – Saskatchewan

Le 25 août dernier, le ministre de l’Emploi et du Développement social, l’honorable Jason Kenney, et le ministre...
23496
Tourisme en français auYukon Tourisme en français auYukon

Tourisme en français auYukon

Reconnu pour ses larges vallées lumineuses et fleuries ainsi que ses routes panoramiques dans une grande nature dépouillée,...
26393
Square One Square One

Square One

Un nouveau centre de services et d’informations pour les entrepreneurs de la Saskatchewan a vu le jour. Il s’appelle Square One, et...
29059
La coopération au-delà des coopératives La coopération au-delà des coopératives

La coopération au-delà des coopératives

Créé en 1947 pour soutenir le développement de coopératives francophones en Saskatchewan, le Conseil de la...
27518

Immigration économique

Le dernier bulletin L’action économique du Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) offre une éditions spéciale sur l’Immigration économique, Ce numéro dresse, entre autres, le portrait des secteurs émergents des diverses régions canadiennes.
RSS
Première7891011121416
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Mehdi Jaouhari

La démence n'est pas une fatalité

Image
: La démence touche environ 500 000 Canadiens.
Crédit : Robina Weermeijer / Unsplash

Grâce à de nombreuses stratégies de prévention permettant de préserver les capacités cognitives, la démence peut être combattue. C'est le constat rassurant qui ressort d'un atelier virtuel organisé le 27 janvier dans le cadre du programme Connect'aînés.

Plus d'un demi-million de Canadiens souffrent de démence. Une maladie chronique qui se manifeste par un ensemble de symptômes touchant les fonctions cérébrales et qui se caractérise par un déclin cognitif et des changements physiques et comportementaux. 

Dévoilées en 2018, les statistiques de la santé publique font de la démence un phénomène sanitaire qui inquiète à la fois les organismes œuvrant dans la santé et ceux servant la population des aînés. 

C'est le cas, entre autres, de RésoSanté Colombie-Britannique, organisateur de l’atelier virtuel. Faisant partie du programme pancanadien Connect'aînés, tout comme Vitalité 55+ Saskatchewan, l’événement virtuel était le premier d'une série autour de la sensibilisation à la démence.

Une pathologie gérable, et évitable

« Vieillir en santé est possible », affirme d'entrée de jeu Aline Moussard, psychologue, chercheuse et intervenante francophone auprès des aînés. 

Preuves à l'appui, la spécialiste illustre son propos en citant l'exemple de plusieurs figures publiques et celui d'une proche de sa famille qui continuent d’être actives ou d'organiser des activités familiales. 

D'ailleurs, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la démence n'est pas une composante normale du vieillissement. À elle seule, la maladie d'Alzheimer représente de 60 à 70 % des cas de démence selon l’organisme international.

Comme pour d'autres syndromes et maladies, la démence affecte les individus différemment et à des degrés variables. « Il y a une variabilité interindividuelle. C'est-à-dire que certains en souffrent plus que d'autres et que l'impact des lésions cérébrales peut être plus prononcé chez les uns », explique Aline Moussard.

Pour la chercheuse, l'être humain n'a pas besoin d'un cerveau parfait pour fonctionner. En clair, la présence de lésions cérébrales ne condamne pas un individu à la démence, notamment grâce à sa réserve cognitive. En effet, ce concept suggère que l'impact des lésions cérébrales peut être minimisé en préservant le stock de neurones. 

« C'est un peu lorsque l'on maintient son stock dans le garde-manger », illustre avec simplicité la spécialiste pour vulgariser son savoir scientifique. Les facteurs de prévention contre la démence sont tous liés au niveau de la stimulation intellectuelle et permettent de renforcer cette réserve cognitive.

En fait, le maintien de la réserve cognitive est fortement favorisé par le niveau de scolarité, le type d’activité professionnelle, le régime alimentaire ainsi que les activités de loisirs et de socialisation. Côté risques, il faut surveiller sa santé cardio-vasculaire, le stress, l'anxiété, la dépression, ainsi que l’abus de substances. 

Qu'en est-il du facteur génétique ? « C'est vrai qu'il y a un facteur génétique comme pour bon nombre de maladies, mais il n'est pas décisif puisque celui-ci ne compte que pour 7 à 10 % », rassure Aline Moussard. Les stratégies de prévention compenseraient largement la prédisposition génétique. 

Faisant écho à la réalité des minorités francophones, la spécialiste de Montréal rappelle que la langue est une composante très importante dans le vécu des aînés. « À mesure qu'un individu vieillit ou s'affaiblit, la langue maternelle ou préférée parmi les deux langues officielles devient la langue de confort et de réconfort, d'où la nécessité de développer des services dans cette langue et surtout ne jamais hésiter à les utiliser », conclut Aline Moussard. 

Imprimer
6931

Mehdi JaouhariMehdi Jaouhari

Autres messages par Mehdi Jaouhari
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top