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Ça décolle pour la Saskatchewan Ça décolle pour la Saskatchewan 3 octobre 2014 22134 Les autorités aéroportuaires de Regina Saskatoon, Tourism Saskatchewan, Tourism Regina et Tourism Saskatoon s’unissent pour promouvoir la Saskatchewan comme destination touristique de choix.
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Êtes-vous business? Êtes-vous business? Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement... 2 octobre 2014 41762
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Tourisme en français auYukon Tourisme en français auYukon Reconnu pour ses larges vallées lumineuses et fleuries ainsi que ses routes panoramiques dans une grande nature dépouillée,... 26 juillet 2014 28662
Le gagnant du prix BRAVO bénévoles 2014 est Le gagnant du prix BRAVO bénévoles 2014 est C’est dans une belle ambiance que la remise du 4e prix BRAVO bénévoles s’est déroulée, le samedi 14 juin... 19 juin 2014 40749
Square One 19 juin 2014 Square One Un nouveau centre de services et d’informations pour les entrepreneurs de la Saskatchewan a vu le jour. Il s’appelle Square One, et c’est assez rare pour le souligner : tous les agents y sont bilingues!
La coopération au-delà des coopératives 19 juin 2014 La coopération au-delà des coopératives Créé en 1947 pour soutenir le développement de coopératives francophones en Saskatchewan, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan s’est adapté au fil des ans pour devenir un instrument de développement économique qui dépasse largement le modèle coopératif. C’est le constat qui est ressorti de...
Alexandre Truchon-Savard / 29 décembre 2018 / Catégories: Archives, 2018, Agriculture et environnement, Chronique environnement Ne pas se faire passer un sapin Arbre de Noël Photo : Nicolas Vollmer Votre humble chroniqueur doit s’avouer surpris lorsqu’il a appris qu’il devra conserver son sapin de Noël artificiel pendant au moins 20 ans afin d’assurer qu’il ait moins d’impact écologique qu’un sapin naturel annuel. En effet, produit généralement en Asie et de matière non recyclable, le sapin artificiel génère trois fois plus de carbone que son homologue de bois pendant sa durée de vie moyenne de six ans. Il est donc plus écologique d’utiliser un arbre naturel, idéalement d’un producteur local. Grâce à la plupart des programmes de collecte de sapins après les célébrations, plusieurs arbres trouvent une seconde vie dans la production d’huiles essentielles, comme nourriture pour les cervidés en élevage ou comme matière compostable. Bien entendu, un grand mérite vous revient si vous l’affublez d’une parure faite maison et la réutilisez le plus longtemps possible. Cependant, si vous devez parcourir plus de 5 km pour aller chercher votre roi des forêts, l’émission de carbone devient plus grande pour l’utilisation d’un arbre naturel. Si la solution n’est peut-être pas dans le choix du sapin pour vous, sachez que faire du covoiturage ou aller travailler en vélo trois semaines par année permet de compenser les émissions de carbone de votre sapin, peu importe le type. Bref, relativement négligeable dans les deux cas si on considère les autres déchets générés pendant cette période de l’année. Les puristes qui tiennent mordicus à respecter la tradition du sapin de Noël sont souvent surpris de voir d’autres essences d’arbres en vente à l’approche des Fêtes. Comment bien les reconnaître et ainsi avoir l’air vraiment intelligent dans votre salon, vêtu d’un exubérant tricot avec un verre de lait de poule à la main ? Alors qu’aux États-Unis on ne compte pas moins de 10 essences populaires pour décorer les foyers, même des cèdres, au Canada on retrouve le plus souvent, trois types de conifères : les sapins, les épinettes et les pins. Les arbres achetés dans des pépinières et les plantations sont souvent des variétés horticoles, il peut donc être difficile de les identifier précisément à l’espèce. Cependant, déterminer le genre est assez facile. Voici un petit guide rapide pour savoir le genre d’arbre qui orne votre salon ou celui de vos proches. Le premier critère est de déterminer si les aiguilles de l’arbre sont en fascicule (en paquet de deux à cinq). Si oui, votre arbre est un type de pin. Il existe neuf espèces de pins indigènes au Canada, dont deux se retrouvent en Saskatchewan : le pin tordu latifolié (lodgepole pine) et le pin gris (jack pine). En présence d’aiguilles individuelles, le prochain test est de vérifier si les aiguilles sont plates ou triangulaires en essayant d’en faire rouler une entre vos doigts. Si l’aiguille roule (triangulaire), c’est une épinette. Les épinettes indigènes de la Saskatchewan sont les épinettes noires et blanches, mais il est peu probable que ces espèces soient utilisées comme arbres décoratifs en raison de leur croissance plutôt lente. Finalement, si l’aiguille ne roule pas et elle est plate, l’arbre est un véritable sapin de Noël ! Le sapin baumier est l’espèce indigène que l’on retrouve en Saskatchewan. Les sapins sont généralement les essences préférées comme arbre de Noël puisqu’ils ont tendance à moins perdre leurs aiguilles et dégagent une meilleure odeur. Pour ce qui est du mélèze, le seul conifère décidu au Canada, il ferait un triste arbre des Fêtes puisqu’il perd ses aiguilles à l’automne ! Pour les curieux, l’étude (en anglais) se trouve ici : http://ellipsos.ca/lca-christmas-tree-natural-vs-artificial/ Imprimer 35709 Alexandre Truchon-SavardWebmestre Autres messages par Alexandre Truchon-Savard Contacter l'auteur Comments are only visible to subscribers.