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Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

Économie verte: 960 000 $ à six municipalités de l’Ouest

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Après avoir aidé 30 municipalités dans leur virage écologique, le Conseil des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM) partagera son expertise avec une quarantaine d’administrations locales de l’Ouest. Le mouvement s’étend aussi au Nouveau-Brunswick. 

Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer

Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer

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Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) effectue depuis l’année dernière une tournée de consultations afin d’avoir le point de vue des communautés sur leur propre capacité de développement économique. Mais qu’est-ce que ça veut dire au juste?
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Un voyage en canot jusqu’à La Nouvelle-Orléans
Dominique Liboiron

Un voyage en canot jusqu’à La Nouvelle-Orléans

Le 28 janvier est une journée importante pour moi. Ce même jour en 2013, je suis arrivé en canot à La Nouvelle-Orléans après un voyage de huit mois et 3 270 miles, soit 5 232 km. Depuis, dix ans se sont écoulés et j’ai eu la chance de réfléchir sur mon expérience et la façon dont elle m’a transformé.

L’idée du trajet m’est venue à la suite du décès de mon oncle Michel Hamon de Gravelbourg. M’Nonc Mitch, comme on l’appelait, est mort d’une crise cardiaque à l’âge de 42 ans et j’ai voulu lui rendre hommage en reconnaissance du rôle qu’il avait joué dans ma vie.

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Le 28 janvier 2013, je suis arrivé à La Nouvelle-Orléans après 8 mois de voyage. Le 28 janvier 2023, j’ai réfléchi à l’effet que le voyage a eu sur moi. Photo : Dale Sanders

Étant donné qu’il aimait beaucoup la musique cajun et le jambalaya, j’ai décidé de répandre ses cendres en Louisiane. En cours de route, je voulais sensibiliser le public au sujet des maladies du cœur.

Le voyage a commencé le 8 juin 2012 à Eastend, en Saskatchewan. Je suis parti sur la rivière Frenchman, puis dans le Montana j’ai gagné la rivière Milk, suivie par la rivière Missouri qui m’a mené au fleuve Mississippi à la mi-novembre. J’ai suivi le Mississippi pendant deux mois et demi avant de rejoindre La Nouvelle-Orléans le 28 janvier 2013.

Un voyage riche en apprentissages

Durant ma traversée des États-Unis du nord au sud, j’ai connu des joies et des peines, ainsi que des aventures et des obstacles. Le tout m’a aidé à évoluer. Le Dominique qui a mis les pieds dans son canot à Eastend n’est pas le même que celui qui a gagné La Nouvelle-Orléans huit mois plus tard.

Le voyage a beaucoup rehaussé ma confiance. L’expérience m’a montré que j’étais compétent et que je pouvais surmonter de grands obstacles. Par exemple, si quelqu’un me demandait aujourd’hui de marcher du Canada jusqu’à la pointe de l’Amérique du Sud, je n’ai pas l’ombre d’un doute que je pourrais y parvenir.

Je suis aussi plus à l’aise avec la peur et je la ressens moins souvent qu’auparavant. J’ai appris que la peur n’était pas la voix du non, mais plutôt celle qui nous dit de faire attention, même si souvent elle déparle. Il suffit de savoir quand l’écouter et quand l’interrompre.

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Michel Hamon aimait beaucoup être oncle. Ici, il est avec sa nièce Marielle Hamon. Photo : Dominique Liboiron

En outre, j’ai fait l’expérience de la bonté des Américains. Je me souviens de cette madame dans le Dakota du Sud que je n’avais jamais rencontrée auparavant et qui m’a prêté sa voiture pour que j’aille à l’épicerie.

Autre exemple, un soldat américain en Afghanistan a entendu parler de mon voyage dans les nouvelles et m’a envoyé 250 dollars par internet pour m’aider à honorer mon oncle. Je reste encore épaté par son geste.

Dans ma prochaine chronique, je décrirai l’expérience de répandre les cendres de M’Nonc Mitch à La Nouvelle-Orléans.

Pour en savoir plus au sujet de mon voyage ou pour voir des photos et des vidéos, visitez www.canoetoneworleans.com

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