Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer Développement économique : le CCS invite les communautés à s’auto-évaluer 11 décembre 2014 25922 Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) effectue depuis l’année dernière une tournée de consultations afin d’avoir le point de vue des communautés sur leur propre capacité de développement économique. Mais qu’est-ce que ça veut dire au juste?
Pour les francophones comme pour les anglophones: À la conquête de... Pour les francophones comme pour les anglophones: À la conquête de... 4 décembre 2014 23514 Grâce à des investissements considérables du secteur privé au sein de l’économie, ses salaires élevés et son taux de chômage largement inférieur à la moyenne nationale, l’Ouest canadien offre des perspectives de carrières intéressantes.
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Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Lauriers de la PME: L'entreprise saskatchewannaise Over the Hill... Cette année, c’est l’entreprise saskatchewanaise Over the Hills Orchards qui s’est vu remettre le prix pour la... 20 novembre 2014 26892
Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Lauriers de la PME 2014 : Dévoilement des entreprises finalistes Ottawa – Le RDÉE Canada a divulgué le nom des 29 entreprises finalistes du concours des Lauriers de la PME 2014. Le... 16 octobre 2014 18130
Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Thomas Chevalier : Jeune entrepreneur fransaskois Employé de la société d’État Financement agricole Canada (FAC), Thomas Chevalier poursuit conjointement le... 16 octobre 2014 26582
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Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Un forum économique tourné « VERT » l’avenir Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a tenu un forum économique à l’hôtel Ramada de Regina les... 9 octobre 2014 25303
4 octobre 2014 Un projet de piégeage du carbone lancé en Saskatchewan attire l'attention Saskpower a lancé son projet de piégeage et stockage du dioxyde de carbone, présenté comme le premier programme de la sorte à échelle commerciale au monde.
3 octobre 2014 Ça décolle pour la Saskatchewan Les autorités aéroportuaires de Regina Saskatoon, Tourism Saskatchewan, Tourism Regina et Tourism Saskatoon s’unissent pour promouvoir la Saskatchewan comme destination touristique de choix.
Jean-Pierre Picard (EV) / 5 février 2015 / Catégories: 2015, CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, CSF - Conseil scolaire fransaskois, Éducation, Écoles fransaskoises La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud André Denis, Président du Conseil scolaire fransakois (à gauche) et Donald Michaud, Directeur de l’éducation par intérim au Conseil des Écoles fransaskoises. Photo : Jean-Pierre Picard (2015) SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école. Il reconnaît qu’il y a des parents, dont les enfants maîtrisent le français, qui sont préoccupés par le nombre d’élèves qui ont de la difficulté à s’exprimer en français dans la classe de leurs enfants. Selon monsieur Michaud cette préoccupation est légitime, mais il rappelle qu’un des objectifs de l’école fransaskoise est la refrancisation des jeunes ayants-droit francophones, partiellement ou complètement assimilés. Il faut donc accueillir des élèves peu ou pas fonctionnels en français, en espérant bien les entourer afin de les réintégrer à la francophonie (ou procéder à leur construction identitaire, comme dirait l’ACELF). Mais voilà, les politiques d’admission du CÉF viennent grossir les rangs de ces camarades de classe avec qui il est plus facile de socialiser en anglais. L’école fransaskoise admet un certain nombre d’élèves dont les parents ne sont pas des ayants-droit et qui, pour la plupart, ne parlent pas français (environ 3% de la clientèle du CÉF depuis 2012 – les deux années précédentes c’était 9%). C’est un petit nombre, mais qui contribue à faire pencher la balance vers l’anglais en dehors des cours. « Lors de l’admission de non-ayants-droit, comme l’explique monsieur Michaud, ce n’est pas la compétence linguistique des enfants qui est évaluée, mais l’engagement des parents. Ils s’engagent à avoir au moins un des deux qui s’approprie la langue française. » En attendant que le parent soit en mesure d’offrir un soutien aux devoirs de son enfant, ce dernier pourra faire appel au service d’aide en ligne www.sosdevoirs.org . Pendant ce temps, l’anglais domine dans les couloirs de nos écoles et l’enseignement du français plafonne. Le rapport annuel 2013-14 du CÉF démontre qu’en stratégies de lecture, la performance des élèves est bien en deçà des cibles visées. Et des parents s’inquiètent. Monsieur Michaud concède que ce n’est pas un dossier facile. « Je participe à un comité qui revoit les politiques sur les admissions et c’est très complexe parce qu’on introduit des exceptions. Si on s’en tenait strictement à l’Article 23 et à nos obligations, ça serait plus simple. ». Et il y a le fait que chaque élève admis dans une école du CÉF apporte un revenu de 19 000 $. Monsieur Michaud ne voudrait cependant pas que l’argent soit un facteur de décision. « Ça serait le comble que finalement on se soit donné un système scolaire francophone et que là on se ne s’y retrouve plus et qu’on ait aliéné la clientèle qu’on avait le mandat de desservir. » Imprimer 35519 Balises: AGA CSF 2015 Jean-Pierre Picard (EV)Jean-Pierre Picard Autres messages par Jean-Pierre Picard (EV) Contacter l'auteur Articles connexes Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va? Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille Comments are only visible to subscribers.