Festival fransaskois 2024
Close
À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

33861

PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage du patrimoine fransaskois, à la silhouette gracile et au sourire constamment présent. Avant d’aborder sa passion pour les bisons, il convient de rappeler succinctement son parcours professionnel. 

Le Conseil canadien des chefs d'entreprise incite à mieux former ses... Le Conseil canadien des chefs d'entreprise incite à mieux former ses...

Le Conseil canadien des chefs d'entreprise incite à mieux former ses...

21586

Les plus grandes entreprises canadiennes souhaitent que les employeurs mettent davantage l'accent sur la formation de leurs employés et qu'il s'assurent que leurs connaissances soient les plus à jour possible. 

Explorer la filière alimentaire à Saskatoon Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Depuis plus de six mois, une collaboration étroite s’est développée entre le Conseil de la coopération de la...
27260
Journée dialogue organisée par le CCS Journée dialogue organisée par le CCS

Journée dialogue organisée par le CCS

Dans le cadre de son processus de planification stratégique 2015-2020, le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a...
25716
Une visite à Over the Hill Orchards Une visite à Over the Hill Orchards

Une visite à Over the Hill Orchards

LUMSDEN - L’aventure d'Over the Hill Orchards a commencé il y a quinze ans, et il est assez extraordinaire de constater...
25364
Le CCS aide Walmart à recruter Le CCS aide Walmart à recruter

Le CCS aide Walmart à recruter

De plus en plus d’entreprises, tel Walmart, font appel au Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) pour diffuser leurs...
17462

Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

RSS
Première7891012141516
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Retrouvailles au Collège Mathieu

Séverin Gaudet

Séverin Gaudet


Photo : Gracieuseté
Séverin Gaudet

Le Collège Mathieu est une histoire de famille chez les Archambault, la branche maternelle de la famille de Séverin. Né à Victoria de parents fransaskois, il suit les traces de ses oncles en rejoignant l’institution en 1971 et obtient son diplôme en 1974.

Ses études à Gravelbourg lui permettent de retrouver ses racines et sa fierté francophone. Plus tard, Séverin s’engage dans la communauté, notamment en tant que membre fondateur du Conseil jeunesse francophone de la Colombie-Britannique, ou bien en faisant du bénévolat et de l’activisme francophones.

Séverin connait la valeur d’une éducation en français et le constate avec ses propres enfants. Il faut dire que, durant sa jeunesse, aucune éducation francophone n’était possible à l’Ouest du Collège Mathieu.

« On n’avait pas le choix, on était assimilés à la fin de la 12e année. »

Grâce à l’établissement, plus besoin d’envoyer les jeunes à plusieurs centaines de kilomètres pour recevoir une éducation en français. Les chefs de file de toute une époque sont ainsi passés par le Collège Mathieu.

« On ne peut pas avoir de communauté francophone dynamique sans éducation en français. »

« La bataille n’est pas encore gagnée. On est toujours en lutte pour ne pas perdre nos acquis et les améliorer. »


Laurent Sirois

Laurent Sirois


Photo : Gracieuseté
Laurent Sirois

Originaire de Zenon Park, Laurent se fait convaincre par son cousin de rejoindre le Collège Mathieu au début des années 1970 avec la promesse suivante : « Ils ont accepté des filles ! » Arrivé en 11e année, le jeune élève découvre alors « la grande ville » et la musique francophone, fier de pouvoir poursuivre ses études en français.

« C’est des années merveilleuses. »

« Dans ce temps-là, il n’y avait pas de radio ni de télé française. »


Marielle Sirois

Marielle Sirois


Photo : Gracieuseté
Marielle Sirois

Marielle Sirois, née Morin, est native de Gravelbourg. Elle fait partie des onze premières filles à avoir été acceptées en 1970 au Collège Mathieu. Elle, qui a élevé ses enfants en français et se réjouit de voir que ses petits-enfants perpétuent la langue, croit sincèrement en l’importance du français à la maison et à l’école.

« C’est important de garder notre langue maternelle. »


Louise Huneault

Louise Huneault


Photo : Gracieuseté
Louise Huneault

Louise est entrée au Collège Mathieu en 1970-1971, la première année où l’institution acceptait les filles. Établie à Sudbury depuis 33 ans, elle a fait le déplacement à Gravelbourg pour les retrouvailles de 45 ans avec d’autres finissants. Au milieu de ses amis d’enfance, les souvenirs reviennent et, avec eux, de belles émotions.

« On a passé de beaux moments ensemble. C’est vraiment un esprit d’équipe que j’ai retrouvé à l’université, en milieu professionnel et dans la communauté. »

Pour Louise, une institution francophone comme le Collège Mathieu est sans égale : c’est l’assurance d’étudier et de vivre le milieu scolaire dans sa propre langue et dans sa culture.

« L’école d’immersion a sa place, mais ce n’est pas la même chose. »

Imprimer
26993

Conseil des écoles fransaskoisesConseil des écoles fransaskoises

Autres messages par Conseil des écoles fransaskoises
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top