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PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage du patrimoine fransaskois, à la silhouette gracile et au sourire constamment présent. Avant d’aborder sa passion pour les bisons, il convient de rappeler succinctement son parcours professionnel. 

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Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Chris Taschuk
/ Catégories: 2016, S'exprimer autrement

Après les études – pas facile de pratiquer le français en Saskatchewan

Eh bien, nous sommes les étudiants qui sont allés en immersion, ou les gens qui ont complété tous les niveaux de cours de français disponibles. Après plusieurs années ou même plusieurs décennies à étudier le français, quoi faire maintenant ? Tout autour de nous est en anglais, les panneaux, les gens. Au bureau, c’est l’anglais qu’on parle. Notre conjoint et nos enfants ne parlent pas français ou ils ne désirent pas essayer.  

On peut demander pourquoi des personnes qui ne sont pas issues d’un milieu francophone voudraient apprendre le français. C’est une question naturelle, mais commençons par les féliciter. Avant tout, n’est-ce pas une bonne chose que d’avoir plus de personnes bilingues en Saskatchewan ? Si vous êtes d’accord, poursuivons.

La situation a beaucoup changé au cours des trois dernières décennies grâce à la technologie. On peut trouver des milliers de livres numériques en français et l’on peut découvrir un tas d’outils sur Internet. Avec un abonnement de service satellite Bell, on peut commander au moins 30 chaînes françaises et chaque jour, on peut écouter Radio-Canada en français. Les cours de français sont disponibles à La Cité universitaire francophone. Nous pouvons toujours écrire en français et parler entre nous, mais c’est ici où l’on commence à avoir un problème : qui s’intéresse à notre écriture et avec qui pouvons-nous discuter

En Saskatchewan et même au Québec, quand on essaie de parler à quelqu’un en français, la personne revient rapidement à l’anglais. Est-ce que c’est à cause du fait que c’est fatiguant de converser avec un étudiant en voie d’apprendre la langue ? Probablement. Néanmoins, les apprenants avancés ont le même problème. On doit insister pour continuer en français, mais pourquoi ?

Selon Wikipédia, environ six pour cent de la population en Saskatchewan communique en français. D’après le site web de l’Assemblée communautaire fransaskoise, « un Fransaskois est une personne attachée physiquement ou affectivement à la Saskatchewan, parlant le français et désirant s’identifier à sa communauté francophone. » Mais y a-t-il une place pour les anglophones qui peuvent et veulent communiquer en français ? Nous faisons partie de la Saskatchewan et nous parlons le français, mais on a parfois l'impression que la communauté francophone est une propriété privée interdite à ceux qui n’ont pas le français comme langue maternelle. 

On peut comprendre que deux objectifs se heurtent : nous avons des gens qui ont besoin de pratiquer et nous avons ceux qui voudraient promouvoir leur langue. Si les membres de la communauté fransaskoise désirent vraiment soutenir le français, il doivent nous encourager ! Ce n’est pas la cause Caron qui le fera. Nous les étudiants, nous sommes ceux et celles qui augmenteront le nombre de personnes parlant le français et si vous nous aidez, nous pouvons aussi le promouvoir dans la province, ensemble avec vous.


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Chris TaschukKenneth Bos

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