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À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

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PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage du patrimoine fransaskois, à la silhouette gracile et au sourire constamment présent. Avant d’aborder sa passion pour les bisons, il convient de rappeler succinctement son parcours professionnel. 

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Les plus grandes entreprises canadiennes souhaitent que les employeurs mettent davantage l'accent sur la formation de leurs employés et qu'il s'assurent que leurs connaissances soient les plus à jour possible. 

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Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Marie-France Kenny

L’immigration francophone, un scandale

« On voudrait tuer la francophonie à petit feu qu’on ne s’y prendrait pas autrement. » Marie-France Kenny

(Extrait de la présentation de la présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada, Marie-France Kenny, devant le Comité permanent des langues officielles de la Chambre des communes, le 26 mars 2015.)

(…)

Pendant qu’on fait étude après étude sur les défis de l’immigration francophone, année après année, on fait entrer au Canada, à l’extérieur du Québec, plus de 98 % d’immigrants anglophones comparativement à moins de 2 % d’immigrants francophones. C’est, à tout le moins, ce que disent les chiffres de Citoyenneté et Immigration Canada. Malgré les cibles, malgré les engagements, malgré les multiples recommandations des comités parlementaires, c’est une constante depuis 20 ans. Quatre-vingt-dix-huit pour cent d’immigrants de langue anglaise, et 2 % de langue française. C’est un scandale.

La population francophone a beau augmenter en nombres absolus, notre poids relatif ne cesse de diminuer. À plusieurs endroits, ce n’est qu’une question de temps avant que nos communautés tombent en-dessous du seuil minimum requis pour recevoir des services et des communications en français des bureaux fédéraux. Et quand notre poids relatif sera tombé encore plus bas, que remettra-t-on en question à ce moment? Nos écoles de langue française?

Plus de 98 % contre moins de 2 %, de façon constante, depuis des années. On voudrait tuer la francophonie à petit feu, éliminer nos communautés par attrition, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

(…)

Il faut que le gouvernement se dote d’un plan cohérent de recrutement d’immigrants francophones à l’extérieur du Québec. Il faut que ce plan prévoie des mesures musclées, avec des échéanciers spécifiques, pour atteindre nos cibles conjointes en matière d’immigration francophone.

Et il faut que ce plan voie le jour maintenant, pas dans dix ans. En matière d’immigration francophone, il était déjà minuit moins une l’automne dernier lorsqu’on a éliminé l’Avantage significatif francophone. Il est maintenant minuit et une et rien n’a changé.

 (…)

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