Close
À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

À la rencontre de Michel Dubé, éleveur de bisons

34858
PRINCE ALBERT - Quand vous rencontrez Michel Dubé pour la première fois, vous découvrez très rapidement un personnage du patrimoine fransaskois, à la silhouette gracile et au sourire constamment présent. Avant d’aborder sa passion pour les bisons, il convient de rappeler succinctement son parcours...
Explorer la filière alimentaire à Saskatoon Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Explorer la filière alimentaire à Saskatoon

Depuis plus de six mois, une collaboration étroite s’est développée entre le Conseil de la coopération de la...
28137
Journée dialogue organisée par le CCS Journée dialogue organisée par le CCS

Journée dialogue organisée par le CCS

Dans le cadre de son processus de planification stratégique 2015-2020, le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) a...
26672
Une visite à Over the Hill Orchards Une visite à Over the Hill Orchards

Une visite à Over the Hill Orchards

LUMSDEN - L’aventure d'Over the Hill Orchards a commencé il y a quinze ans, et il est assez extraordinaire de constater...
26433

Pour une stratégie économique au service des communautés francophones et acadienne

La nouvelle secrétaire générale de la Francophonie, Michaëlle Jean, a troqué ses bureaux de chancelière de l’Université d’Ottawa pour ceux plus cossus des bords de Seine à Paris. Son principal objectif : transformer l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en un organisme plus ambitieux.

RSS
Première7891012141516
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
RSS
12345678910Dernière

Actualité économique

Étienne Alary
/ Catégories: 2014, Éducation, Postsecondaire

Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

La Fransaskoise Nicole Lemire, originaire de Nipawin, étudie au Campus St-jean

La Fransaskoise Nicole Lemire, originaire de Nipawin, étudie au Campus St-jean

PHOTO: Étienne Alary (2014)

Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études?

C’est à cette question que la Fransaskoise Nicole Lemire a dû réfléchir au cours de l’automne 2010 et au début de l’hiver 2011 alors qu’elle était en 12e année dans le programme d’immersion de l’école St. Mary de Prince Albert. « J’ai toujours voulu devenir optométriste, alors pour moi l’université était un incontournable. Ce programme n’est offert qu’à deux endroit au pays, soit à l’Université de Waterloo, pour le programme en anglais, et l’Université de Montréal, pour le programme en français », raconte Nicole Lemire.

Toutefois, avant d’être accepté dans ces études universitaires de 2e cycle, l’obtention d’un baccalauréat est nécessaire. « L’option logique, en raison de la proximité, aurait été de m’inscrire à l’Université de la Saskatchewan. Cependant, après 13 années passées en immersion, je ne voulais pas perdre mon français. Oui, j’aurais pu suivre quelques cours en français à l’Université de la Saskatchewan, mais ce n’est pas comme se plonger dans un milieu francophone », avance la Fransaskoise qui a passé sa jeunesse à Nipawin, avant de voir ses parents Carol et Maurice Lemire, déménager à Prince Albert en 2003.

C’est avec cette volonté de s’exposer davantage à la langue de Molière qu’elle entame, en septembre 2011, un Baccalauréat ès sciences au Campus Saint-Jean (CSJ) de l’Université de l’Alberta. « Dès mon arrivée à Edmonton, j’ai senti que j’étais au bon endroit. Je vivais à la Résidence Saint-Jean (qui est rattachée au Campus) et le plus grand défi au départ était qu’il fallait toujours parler en français puisque cela fait partie des règles de la résidence », explique Nicole Lemire.

Cette dernière passera ses trois premières années universitaires en résidence. « Nous sommes en plein cœur du Quartier francophone, avec La Cité francophone (centre communautaire) juste de l’autre côté de la rue. De plus, à la résidence, il y a un bon mélange d’étudiants qui proviennent d’écoles francophones et du monde de l’immersion. Cela est une bonne chose, permettant aux étudiants de l’immersion de se faire corriger les erreurs qu’ils font en parlant ou encore en apprenant de nouveaux mots au fil des conversations », estime-t-elle.

Cette année, Nicole Lemire suit la majorité de ces cours au campus principal de l’Université de l’Alberta. « Ce n’est pas quelque chose d’anormal lorsqu’on s’inscrit en sciences au CSJ. La première année, tous les cours sont au Campus Saint-Jean. Lors de ma deuxième année, je prenais la navette une fois par semaine, car j’avais un cours au campus principal. La troisième année, le partage des cours entre les deux campus est environ 50-50 », souligne la jeune femme.

Pour l’année universitaire 2014-2015, la Fransaskoise aurait pu s’inscrire uniquement dans des cours au campus principal. « J’ai choisi de prendre un cours ici au Campus Saint-Jean. Je voulais continuer à suivre un cours en français et faire partie de la vie du Campus Saint-Jean, car lorsqu’on est étudiant ici, on fait vraiment partie d’une grande famille », lance-t-elle. 

Si tout se déroule comme prévu, Nicole Lemire aura son Baccalauréat ès sciences avec une majeure en Sciences biologiques en poche en avril 2015. Ensuite? « Mes intérêts ont évolué. J’explore la possibilité de faire des études en ergothérapie à l’Université d’Ottawa. Mais pour le moment, je me concentre sur ma dernière année qui est très importante », conclut-elle.

Imprimer
28863

Étienne AlaryÉtienne Alary

Autres messages par Étienne Alary
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x
Conditions d'utilisationDéclaration de confidentialité© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top