Tourisme francophone en milieu minoritaire Tourisme francophone en milieu minoritaire Un outil économique pour nos communautés 12 juin 2015 23544 Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg « On voit maintenant l’impact de l’économie francophone ». – Mariette Mulaire 20 mai 2015 32016 WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Départ à la retraite de Robert Carignan Départ à la retraite de Robert Carignan Après plus de 11 ans au service du CCS, Robert Carignan a fait le saut vers la retraite le 31 mars dernier. 20 mai 2015 32009
L'université Yale confirme l'efficacité d'un programme contre la pauvreté L'université Yale confirme l'efficacité d'un programme contre la pauvreté Une étude menée dans six pays conclut qu'un programme fournissant du bétail et une formation pour le rentabiliser peut aider... 14 mai 2015 20723
Entente entre le RDÉE et le Conseil de la coopération de l’Ontario Entente entre le RDÉE et le Conseil de la coopération de l’Ontario Un protocole de collaboration a été signé le 30 avril dernier à Toronto entre le Réseau de... 13 mai 2015 19157
En route vers l’authenticité locale En route vers l’authenticité locale ST-DENIS - Le dimanche 26 avril, après un dernière petite chute de neige imprévue (on l’espère), la ferme... 7 mai 2015 32435
Un fonds pour le développement économique communautaire Un fonds pour le développement économique communautaire REGINA - Avec le Francothon qui arrive à grands pas, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a annoncé, le... 30 avril 2015 27546
Le dernier budget Harper avant le retour aux urnes Le dernier budget Harper avant le retour aux urnes OTTAWA – Bien que certains groupes, dont les organismes porte-parole des francophones vivant en situation minoritaire, estiment avoir... 30 avril 2015 24262
Des nouveaux fonds à la Fondation fransaskoise 29 avril 2015 Des nouveaux fonds à la Fondation fransaskoise La Revue historique et la sauvegarde du patrimoine fransaskois bénéficieront de nouveaux outils de financement.
La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens 23 avril 2015 La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens WINNIPEG Le gouvernement canadien a fait un pas de plus vers la privatisation de la Commission canadienne du blé (CCB) en concluant une entente avec une entreprise appartenant en partie à des intérêts saoudiens
Leanne Tremblay / 17 juillet 2024 / Catégories: Arts et culture, Musique Isabelle Mercier apporte l’humour des Prairies au Festival de Granby Le 3 août débute une nouvelle édition du Festival international de la chanson de Granby. Cette année, la représentante de la Saskatchewan est l’auteure-compositrice Isabelle Mercier de Saskatoon. Connue pour son humour et sa présence en ligne, l’artiste compte bien faire monter sur scène l’esprit des Prairies qui anime ses compositions. Entretien. Comment avez-vous commencé votre carrière musicale ? J'ai commencé à chanter quand j'étais adolescente au Village québécois d’antan à Drummondville, au Québec. J'ai passé sept ans à chanter des chansons traditionnelles. C'est là où j'ai commencé à jouer de la musique et du piano pour m'accompagner. À quel moment êtes-vous arrivée en Saskatchewan ? Je suis arrivée en Saskatchewan durant la pandémie en 2020. J’ai composé une chanson dans la voiture en venant ici. Le trajet est très long entre le Québec et la Saskatchewan ! J'avais le ukulélé à l’arrière, puis j'ai composé ma première chanson, Su’a Transcanadienne. Un jour, j'ai vu sur Facebook le concours Nouvelle Scène. Je me suis inscrite en n'ayant qu'une seule chanson à mon répertoire. Pendant l'été, juste avant le concours, j'en ai écrit d'autres. C'est comme ça que ça a commencé en 2021. J'ai gagné le cœur du public à ce moment-là et je me suis dit qu’il y avait peut-être quelque chose à explorer. On décrit votre style de musique comme « humoristique ». Est-ce le cas selon vous ? J'aime beaucoup les groupes de style jeans bleu comme les Trois Accords. Mais je trouve que ce sont souvent des gars qui font de la musique un peu humoristique. Quand les gens me demandent à qui on peut me comparer, je dirais une jeune Lisa LeBlanc qui, avec son premier album au Festival de Granby, avait un mélange d'humour et de chansons plus sérieuses. Je dirais que mon style inclut des thèmes peut-être plus universels, mais que je tourne toujours un peu à la rigolade en insérant des comparaisons ou des métaphores. L’histoire derrière la chanson Su’a Transcanadienne est intéressante… Oui, c’est un peu ridicule. C'est l'histoire d'un gopher qui essaie de traverser la Transcanadienne. Ça ne finit pas bien parce qu’il se fait frapper par une voiture. Puis tous les animaux viennent le voir. C’est vraiment dans l'humour. L’Ouest canadien est une source d’inspiration pour vous ? Quand je fais de la musique, c'est très souvent sur les Prairies. Ce n’est pas fait par exprès, c’est juste arrivé comme ça. J'imagine que l'endroit m'inspire. Les trois chansons que je vais présenter à Granby parlent des Prairies. La première s'appelle Feu de prairie. C’est à propos des relations qu'on a ici, que les gens viennent et partent rapidement. C'est rare que les gens comme nous décident justement de s’assimiler ici. Ensuite, je ferai une autre chanson qui s'appelle La Balade du Northcote qui porte sur la résistance métisse de Batoche. Et la dernière, c'est Maurice Paquin. C’est un Franco-Manitobain qui a eu une grosse carrière télévisuelle dans les années 1980. Il a un peu disparu du monde culturel et c'est ma quête pour essayer de le retrouver. Vous sentez-vous partie intégrante de la communauté fransaskoise aujourd’hui ? J'ai été chanceuse. Quand je suis arrivée dans la communauté artistique, ils m’ont fait non seulement une place, mais ils sont aussi devenus mes amis proches. Je trouve ça vraiment le fun d’avoir la chance de jouer de la musique en Saskatchewan et aussi de créer un lien de proximité avec tout le monde. J’ai participé au Festival fransaskois cet été et je trouve ça beau la camaraderie et le sens de la communauté qui existent en Saskatchewan pour les francophones. Dans quel état d’esprit êtes-vous à l’approche du Festival de Granby ? J’ai tellement hâte ! Tout le monde est ensemble pendant trois semaines, tous les artistes suivent des formations. J’ai de la chance, car j’ai l’artiste Amay Laoni comme mentor. On va travailler surtout en interprétation. J’ai vraiment de la chance à ce niveau-là. Je remercie grandement le Conseil culturel fransaskois de m’appuyer dans cette démarche. Je ne le vois pas comme une compétition, mais comme une occasion d'aller chercher du mentorat et de faire avancer ma carrière. Peu importe qui remporte le prix, le but est vraiment d'absorber le plus possible. Outre le festival, quels sont vos projets à venir ? Au retour du festival, l’étape suivante sera une vitrine à Contact Ouest qui aura lieu à Regina du 16 au 19 octobre. Et peut-être une petite tournée après… Puis, il y a un projet qui commence tranquillement à s'amener. Je ne peux pas encore dire qui sont les collaborateurs parce que ce n'est pas confirmé à 100 %, mais c'est du monde bien connu de la Saskatchewan. Enfin, mon prochain single Feu de prairie sort le 4 octobre ! Imprimer 6234 Balises: FICGIsabelle Mercier Leanne TremblayLeanne Tremblay Autres messages par Leanne Tremblay Contacter l'auteur Articles connexes Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Deux Fransaskoises à Jamais trop tôt Étienne Fletcher remporte le Prix de la presse à Granby Comments are only visible to subscribers.