FRANCOPRESSE – Dans la foulée du choix d’Erin O’Toole pour diriger le Parti conservateur du Canada, plusieurs commentateurs ont souligné le fait que non seulement le nouveau chef parle le français, mais il le comprend aussi ; ses interactions avec les journalistes l’ont bien démontré. On peut s’en réjouir, mais la barre devrait être un peu plus haute. Comprendre le français, c’est une chose. Comprendre les enjeux liés aux langues officielles au pays, c’en est une autre.