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Alors que les Fêtes de fin d'année se terminent, de nombreux foyers s'apprêtent à jeter leur arbre de Noël à la poubelle. Existe-t-il des alternatives plus respectueuses, et surtout plus écologiques, afin de donner une seconde vie au roi des forêts ?
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En raison de l’absence de neige, plusieurs activités d’hiver sont impraticables. Alors je vous propose une aventure sur internet : un site qui contient un grand nombre de vieux journaux francophones de l’Ouest canadien, dont certains remontent à 1871. Explorons-les !
Le court métrage Gentle Hum of Spring / Un paradis pour les abeilles, réalisé par le Fransaskois Simon Garez, a été récompensé deux fois au cours des derniers mois. S’appuyant sur son expérience d’apiculteur, le cinéaste lance un regard poétique et personnel sur le monde fascinant des abeilles.
La pièce C’est à nous d’y voir , écrite par Madeleine Blais-Dahlem, célèbre la fondatrice de Vitalité 55+ et les dix premières années qui ont mené à l’apogée de l’association. C’est en l’honneur des quarante ans de l’organisme que la Troupe du Jour a produit cette pièce communautaire pleine d’humour.
Plusieurs parents nouveaux arrivants se sont retrouvés le 1 er décembre dans les locaux de l’Association des parents fransaskois (APF) à Saskatoon pour une conversation informelle dans un cadre détendu. Au menu de la rencontre : un partage d’expériences quant à leur adaptation sur le sol canadien et quelques conseils prodigués.
Certains emplois sont plus dangereux que d’autres. Les pilotes dans le Grand Nord prennent d’énormes risques à voler dans des conditions extrêmes. Dominique Prinet, lui, a survécu à de nombreux incidents qui ont mis en péril sa vie. Il les décrit dans ses mémoires, intitulées Pilote du bout du monde .
Le mois de novembre est associé au souvenir des personnes décédées dans les grands conflits mondiaux. On se félicite de demeurer dans un pays relativement calme, mais on oublie que son histoire a été marquée par plusieurs conflits : conquête de la Nouvelle-France, bataille de Batoche, révolte de 1837 au Bas-Canada et au Haut-Canada, pour n’en nommer que quelques-uns.
Pour Jean-François Savard, professeur à l’École nationale d’administration publique (ENAP), le manque de bilinguisme chez les cadres de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) n’est pas une nouvelle en soi, mais un produit de la société.
Le 17 novembre dernier, la Société historique de la Saskatchewan (SHS) a offert une formation sur la conservation du patrimoine vivant. L’enjeu : préserver les traditions ancestrales qui définissent l’identité des francophones au pays.