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Écoles de proximité : un modèle à explorer pour les ayants droit ?

Écoles de proximité : un modèle à explorer pour les ayants droit ?

Alors que les infrastructures scolaires francophones ne répondent pas aux besoins en Saskatchewan, certaines voix appellent même à considérer les écoles de proximité.

Saturday, December 21, 2024/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (1147)/Comments ()/
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Une nouvelle présidence au Conseil scolaire fransaskois

Une nouvelle présidence au Conseil scolaire fransaskois

Après sept années de mandat, Alpha Barry a laissé sa place à Geneviève Binette au poste de présidente du Conseil scolaire fransaskois.

Saturday, December 14, 2024/Author: Lucas Pilleri – IJL-Réseau.Presse/Number of views (1624)/Comments ()/
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Jocelyne Vogt, une instagrameuse métisse qui outille

Jocelyne Vogt, une instagrameuse métisse qui outille

Par manque de ressources en français, surtout pour parler des sujets autochtones, une enseignante décide d’outiller elle-même les autres via son compte Instagram frenchiemetisteaches.

Tuesday, November 19, 2024/Author: Leanne Tremblay – IJL-Réseau.Presse/Number of views (3036)/Comments ()/
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«Décoloniser» le système scolaire francophone : un travail de longue haleine

«Décoloniser» le système scolaire francophone : un travail de longue haleine

Quand les conseils scolaires et les établissements postsecondaires francophones s’engagent sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones…

Tuesday, November 12, 2024/Author: Marine Ernoult – Francopresse/Number of views (3526)/Comments ()/
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Le commissaire aux langues officielles cible l’éducation et l’immigration

Le commissaire aux langues officielles cible l’éducation et l’immigration

Dans un rapport rendu le 9 octobre, le commissaire aux langues officielles souligne les défis dans les domaines de l’éducation et de l’immigration francophone.

Wednesday, October 16, 2024/Author: Inès Lombardo – Francopresse /Number of views (4523)/Comments ()/
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Nouvelles écoles de Prince Albert et Saskatoon : les emplacements enfin choisis

Nouvelles écoles de Prince Albert et Saskatoon : les emplacements enfin choisis

Le gouvernement de la Saskatchewan a dévoilé le 25 septembre les sites qui accueilleront les deux nouvelles écoles francophones de Saskatoon et Prince Albert.

Wednesday, October 9, 2024/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (4683)/Comments ()/
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Les Centres éducatifs finalement exemptés de loyers

Les Centres éducatifs finalement exemptés de loyers

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement décidé d’annuler l’imposition d’un loyer mensuel aux Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE).

Thursday, October 3, 2024/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (4375)/Comments ()/
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CÉF et CÉPE : des consultations en cours

CÉF et CÉPE : des consultations en cours

Nouvelles charges financières… Les Centres éducatifs de la petite enfance (CÉPE) en pleine consultation avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) !

Sunday, September 22, 2024/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (5237)/Comments ()/
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Vivre l’art dans la salle de classe

Vivre l’art dans la salle de classe

En cette rentrée scolaire, les enseignants des écoles fransaskoises et d’immersion peuvent se réjouir d’apprendre que le programme LIVE Arts est de retour.

Thursday, September 19, 2024/Author: Leanne Tremblay – IJL-Réseau.Presse/Number of views (3759)/Comments ()/
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Le dossier de l’éducation toujours dans l’actualité

Le dossier de l’éducation toujours dans l’actualité

Un article publié dans l’Eau vive en 1983 nous rappelle que la lutte pour l’éducation francophone reste un dossier prioritaire pour les Fransaskois.

Wednesday, September 18, 2024/Author: Alyssa Parker /Number of views (4102)/Comments ()/
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Rentrée 2024 : les enseignants francophones manquent à l’appel

Rentrée 2024 : les enseignants francophones manquent à l’appel

En cette rentrée 2024, les enseignants francophones se font de plus en plus rares et la pénurie touche désormais les villes.

Tuesday, September 17, 2024/Author: Marine Ernoult – Francopresse/Number of views (4193)/Comments ()/
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L’infrastructure de collèges et universités francophones en «rattrapage»

L’infrastructure de collèges et universités francophones en «rattrapage»

En milieu francophone, certains établissements postsecondaires peinent à trouver les fonds pour financer l’entretien de leurs installations et de leurs équipements.

Monday, September 16, 2024/Author: Marianne Dépelteau – Francopresse/Number of views (5372)/Comments ()/
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Lutter contre la violence et le harcèlement à l’école

Lutter contre la violence et le harcèlement à l’école

Le retour en classe n’est pas bien vécu par tous les jeunes, victimes de violence et harcèlement dans les cours d’école et sur les réseaux sociaux. Quelles solutions ?

Tuesday, September 10, 2024/Author: Eya Ben Nejm – Francopresse/Number of views (3448)/Comments ()/
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L’Université de Regina fête son 50e anniversaire

L’Université de Regina fête son 50e anniversaire

Le 1er juillet 2024 est la date officielle du 50e anniversaire de l’Université de Regina et marque le commencement d’une année remplie d’événements spéciaux.

Sunday, September 8, 2024/Author: Leanne Tremblay – IJL-Réseau.Presse/Number of views (4916)/Comments ()/
Maternelle et prématernelle : la hausse des frais agite parents et centres éducatifs

Maternelle et prématernelle : la hausse des frais agite parents et centres éducatifs

Les nouvelles charges financières annoncées par le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) pour la petite enfance créent polémique au sein de la communauté fransaskoise.

Thursday, September 5, 2024/Author: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Number of views (5576)/Comments ()/
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Rendez-vous avec Laurier Gareau

La passion du théâtre et de la langue française

Author: Marie Galophe/Thursday, March 30, 2017/Categories: 2017, Regina, Arts et culture, Théâtre

Kaël Horth et Laurier Gareau dans La grande révolution électrique

Kaël Horth et Laurier Gareau dans La grande révolution électrique

Photo: Guy Michaud (2017)
REGINA - Autant dire que rencontrer Laurier Gareau ne va pas de soi : il y a l’homme, imposant, l’œuvre multiple, disséminée, mais surtout cette mémoire vivante de la francophonie de la Saskatchewan qui rend le rendez-vous passionnant tout en en ébauchant d’autres à venir. Ainsi, en commençant à parler de La grande révolution électrique, présentée du 16 au 19 mars au théâtre Oskana, à Regina, on en vient tout naturellement à se demander : « et après ? »

Quelle a été la réception de La grande révolution électrique par le public ?
Le public qui est venu a beaucoup aimé la pièce sauf que nous, on a été déçus du faible public. On a déjà eu des meilleurs publics au théâtre Oskana. Le public qui est venu voir la pièce a beaucoup ri. La pièce est basée sur une nouvelle de Ken Mitchell, un auteur très connu du côté anglophone de la Saskatchewan, et jeudi soir [lors de la première ], il est venu voir la pièce avec sa famille. Lui ne parle pas un mot de français. Donc, il devait se fier aux surtitres et il a adoré le spectacle. Ce qu’il disait à la fin, c’est qu’il avait ri tout le temps, que c’était très très drôle. C’est ça qui nous encourage beaucoup, de voir cette réaction, de voir le public qui embarque.

Combien d’entrées avez-vous faites ?
C’est probablement entre 110 et 120 personnes qui sont venues sur les quatre soirs. On a déjà eu jusqu’à 200 personnes donc c’est une baisse assez remarquable. On a vu la même chose avec les deux comédies qui ont été faites au mois de janvier : Tremblay et Barbeau. [Voir Eau vive du 2 février 2017 ] On tente des nouvelles choses au niveau de la promotion: on a pris une demi-page d’annoncedans le Prairie Dog. On espère de cette façon-là trouver de nouveaux publics. Il va falloir aussi trouver de nouvelles façons de convaincre les étudiants de l’université de venir voir des spectacles ici parce qu’il y a beaucoup d’étudiants qui sont en train d’apprendre le français. Les surtitres pourraient les aider à comprendre l’intrigue de la pièce.

 Il y a aussi quelque chose d’universel dans la pièce, propre à séduire toutes les audiences : le ravissement qu’opère la fiction. Le personnage de Pierre Jacquot est prêt à tout pour continuer à écouter ses fictions radiophoniques préférées.
C’est une des raisons pour lesquelles je suis  tombé en amour avec le texte de Ken Mitchell. C’est toute cette notion que le monde est en train de tomber autour de nous mais on a encore ce luxe-là, écouter la radio dans notre foyer. 

Comment on embarque autant de bénévoles dans ce genre de projet ?
C’est pas facile! Justement, pour la prochaine pièce, La trahison [présentée en juillet 2017 dans le cadre du Fringe Festival, à Regina], on cherche encore un deuxième acteur. C’est beaucoup de travail, mais une fois que les gens s’embarquent, surtout avec une grosse distribution, on réussit à bâtir un sens d’équipe et tout le monde a l’objectif de s’entraider. Ça devient une petite famille, après 6 ou 7 semaines de répétition. C’est là où souvent on a des gens qui sont prêts à revenir. 

Le texte de la pièce est savoureux. À un moment, le personnage de Pierre Jacquot dit à son petit-fils : « Moi, les aventures, j’les vis dans cette boîte-ci! », tout en désignant sa fameuse radio. Pour Laurier Gareau, quel est le terrain de l’aventure aujourd’hui ?
Pour moi, l’aventure, c’est un jour à la fois. Là, maintenant, je suis à la retraite, je fais du bénévolat à l’école Monseigneur de Laval où j’enseigne quatre jours par semaine des cours de théâtre pour des jeunes de la 7ième à la 9ième année. J’ai pris aussi la présidence des Éditions de la nouvelle plume cette année. Alors, pour moi, c’est de voir jusqu’à quel point on peut pousser l’édition francophone  en Saskatchewan. C’est aussi toujours une aventure de maintenir une troupe de théâtre vivante parce qu’on le fait avec de très petits moyens. Notre budget annuel, pour le théâtre Oskana, c’est autour de 23 000 dollars. Ce n'est vraiment pas à la hauteur  du budget de La Troupe du Jour, mais on se donne comme mandat de produire des spectacles d’aussi grande qualité que ceux que  produit La Troupe.. Ça, c’est une autre de mes aventures! 

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Marie Galophe

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 - Thursday 26 December 2024