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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

Thursday, February 27, 2014/Author: Anonym/Number of views (35948)/Comments ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (27022)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (39998)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (22758)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21979)/Comments ()/
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La géocachette : une façon ludique de découvrir la Saskatchewan

La géocachette : une façon ludique de découvrir la Saskatchewan

Author: Leanne Tremblay/Friday, September 22, 2023/Categories: Organisme, CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan, Société

Cet été encore, des passionnés de géocachette se sont lancés à la chasse au trésor tout en découvrant le patrimoine fransaskois grâce aux géocaches placées par le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS).

Depuis 2013, le CÉCS offre un programme de géocachette en Saskatchewan. « C’est vraiment une initiative du secteur tourisme, explique Jean de Dieu Ndayahundwa. On veut faire découvrir le monde francophone, notre patrimoine et nos lieux historiques à partir de la géocachette », précise le gestionnaire du développement économique communautaire et entrepreneurial au CÉCS.

La géocachette est un jeu semblable à la chasse au trésor. Datant du début des années 2000, l’activité utilise la géolocalisation afin de guider les « géocacheurs » à trouver des contenants cachés aux quatre coins de la planète.

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Une géocache se trouve au musée de Willow Bunch. Crédits: Leanne Tremblay

Ces contenants se trouvent principalement à l’extérieur et contiennent souvent un registre à signer ainsi que des objets à recueillir, comme des autocollants ou des jouets. Les heureux gagnants doivent en retour laisser un autre objet pour le géocacheur suivant.

À la découverte du patrimoine

« Avant de trouver la géocache, il faut d’abord lire une description », souligne Jean de Dieu Ndayahundwa. Cette dernière donne des informations sur la géocache et constitue donc une occasion pour le CÉCS de mettre de l’avant le patrimoine local.

« Cela nous laisse représenter notre monde francophone en Saskatchewan. En plus, ces informations bilingues sensibilisent les géocacheurs à la langue française parce que tout le monde peut jouer à la géocachette. »

Le CÉCS a placé une centaine de géocaches à travers la province. La plupart d’entre elles mettent à l’honneur des Fransaskois célèbres ou des communautés fransaskoises.

Francis Denis, avide géocacheur à Saskatoon, préfère s’adonner à cette activité à l’extérieur de la ville. « La géocachette nous donne un sens de l’aventure et nous aide à mieux connaître notre communauté. On découvre de nouveaux sites, y compris leur importance historique. »

La langue française ne se trouve pas seulement dans les descriptions des géocaches bilingues. « Je laisse des messages et commentaires en français afin de laisser savoir aux gens de la Saskatchewan qu’il y a des francophones ici », confie Francis Denis.

Pour tous les âges

En plus de faire découvrir le patrimoine francophone, la géocachette fait bouger ses adeptes. « Un bénéfice de la géocachette est l’activité physique, note Jean de Dieu Ndayahundwa. Il faut sortir et marcher, même s’il n’est pas nécessaire de trop se fatiguer. »

L’utilisateur du nom de SaskAcadie, un autre géocacheur passionné de Regina, donne raison à l’agent du CÉCS. « Certaines géocaches sont juste à côté de la rue, mais pour d’autres ça prend une demi-journée pour les trouver ! »

Et l’activité est également bonne pour la santé mentale du joueur : « C’est un exercice qui permet de se distraire. C’est un hobby et tous les hobbies ont des bénéfices mentaux. »

Que ce soit en famille, avec des amis, ou de façon solitaire, Francis Denis, lui, joint l’utile à l’agréable lors de ses parties de géocachette.

« Il y a des initiatives environnementales comme Trash in, Cache out où on ramasse des déchets en géocachant, ce qui cultive un sens communautaire en soi. Il y a aussi des événements sociaux où les géocacheurs peuvent rencontrer d’autres accros et partagent leurs histoires. »

Celui qui est aussi enseignant et directeur adjoint de l’École canadienne-française de Saskatoon intègre même la géocachette dans ses cours. 

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Les géocaches se déclinent sous de nombreuses formes, parfois insolites ! Crédits: Leanne Tremblay

« On apprend à utiliser un GPS en cherchant des géocaches en éducation physique. En sciences sociales, on crée des géocaches : on recherche un lieu et on rédige une histoire à inclure dans la description de la géocache. Ensuite, on la place pour que le public puisse la trouver. »  

Un jeu collectif

Le CÉCS se réjouit de l’engouement que suscite la formule : « Selon les registres, plus de 2 000 personnes ont essayé de trouver nos géocaches », relève Jean de Dieu Ndayahundwa.

Toutefois, aucun employé de l’organisme économique n’est affecté à l’entretien des géocaches en ce moment. Or, la pluie ou la présence humaine peuvent parfois entraîner leur destruction ou disparition.

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Il faut parfois avoir recours à des transports alternatifs pour atteindre les géocaches. Crédits: Leanne Tremblay

« Dans le futur, on va essayer de trouver des organisations communautaires et régionales qui peuvent nous aider à maintenir les géocaches qui se trouvent dans leur communauté. Cela nous aidera à garder ce programme viable », exprime l’agent.

 

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Marie-Lou Bernatchez

Leanne Tremblay

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 - Saturday 23 November 2024