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Concentration en accès à la justice
Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (26878)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (39331)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (22536)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21867)/Comments ()/
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Immigration francophone: Message contradictoire du fédéral

Author: Anonym/Thursday, November 6, 2014/Categories: Immigration, Politique

Pendant que les communautés francophones hors Québec s’apprêtaient à célébrer la Semaine nationale de l’immigration francophone, du 2 au 8 novembre, le commissaire aux langues officielles et ses homologues de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick levaient un drapeau rouge la semaine dernière. 

Dans un effort conjoint, les trois chiens de garde en matière de droits linguistiques ont montré de sérieuses inquiétudes quant au fait que seulement 2% des immigrants s’établissant à l’extérieur du Québec sont francophones, alors que la population de langue française que l’on y retrouve se chiffre à 4%.

« L’immigration est essentielle pour la vitalité, voire l’avenir, des communautés de langue officielle en situation minoritaire. Pour bénéficier de l’immigration, les communautés francophones et acadiennes se doivent d’attirer une proportion d’immigrants égale ou même supérieure à leur poids démographique », estime Graham Fraser, commissaire aux langues officielles du Canada.

« Il est indispensable que le gouvernement provincial se dote de tous les outils nécessaires, y compris une collaboration avec le gouvernement fédéral, afin d’atteindre sa cible et de répondre à la fois aux besoins et aux priorités des nouveaux arrivants francophones, mais aussi à ceux des communautés d’accueil », croit quant à lui François Boileau, commissaire aux services en français de l’Ontario, province où l’on souhaite attirer 5% d’immigrants francophones.

« L’immigration est une juridiction partagée. Pour maintenir le poids démographique des francophones du Nouveau-Brunswick à 33%, il est impératif que les gouvernements fédéral et provincial adoptent une approche concertée à long terme », prône pour sa part Katherine d’Entremont, commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick.

 Signes inquiétants

Au lendemain de la sortie des commissaires, le ministre fédéral de l’Immigration, Chris Alexander, présentait le rapport annuel de son gouvernement sur l’immigration, en plus du plan des niveaux d’immigration pour 2015.

Ce plan n’a rien pour rassurer les communautés francophones vivant en situation minoritaire puisque d’après les commentaires du ministre, Ottawa semble d’abord et avant tout accorder la priorité à l’immigration économique, et ce, peu importe la langue.

« Nous allons continuer à attirer les gens les plus ambitieux, les plus talentueux et les plus en demande afin de contribuer à la création d’emploi et à la croissance de l’économie canadienne. Nous voulons répondre aux besoins des employeurs mieux que jamais auparavant », a précisé le ministre.

Ainsi, en 2015, le fédéral prévoit accueillir entre 260 000 et 285 000 nouveaux résidants permanents, dont 65% d’immigrants économiques et 35% d’immigrants dans le cadre de de son programme d’unification des familles et de son volet humanitaire.

Interrogé en conférence de presse quant à l’importance de l’immigration francophone pour son gouvernement, le ministre Alexander est demeuré plutôt vague.

« On a l’impression que les communautés nous encouragent à poursuivre nos efforts envers l’immigration francophone. Nous avons maintenant des réseaux et des partenaires dans chaque province et territoire qui passent le mot que c’est possible et profitable pour les francophones d’immigrer dans nos communautés », a-t-il dit.

« Nous aimerions que 4% de l’immigration hors Québec soit francophone d’ici 2018. Toutes nos villes sont attrayantes pour les francophones et disposent de systèmes scolaires bien établis », a renchéri le ministre.

Pourtant, du côté de la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada, on estime qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, surtout à la suite de la récente annonce de l’abolition du programme Avantage significatif francophone. La FCFA attend donc que le gouvernement fasse part de sa stratégie visant à accroître le nombre d’immigrants francophones.

« Nous ne pourrons aller plus loin que si les gouvernements posent des gestes concrets qui montrent que l’immigration francophone est effectivement une priorité pour eux », a résumé la présidente de la FCFA, Marie-France Kenny, en réaction à la prise de position des commissaires.

 

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Tags: SNIF 2014
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