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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

Thursday, February 27, 2014/Author: Anonym/Number of views (34127)/Comments ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (25328)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (37779)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (21268)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21115)/Comments ()/
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Nouvelle programmation en français à la Regina Public Library

Author: Marie Galophe/Thursday, February 23, 2017/Categories: 2017, Communautaire, Regina

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REGINA - La Regina Public Library a commencé l’année sous le signe du bilinguisme en offrant ses premiers « Clubs de Conversation » en français dans plusieurs de ses succursales. Cette initiative a connu un succès immédiat puisque sept personnes se sont portées volontaires pour animer ces groupes de discussion. Les personnes ne pouvant se présenter à l’heure  indiquée à l'horaire ont pu bénéficier d'accommodements individuels de manière à pouvoir travailler avec un tuteur désigné. 

Les bénévoles travaillent déjà avec dix apprenants, pour le seul mois de janvier. Holly Bresslet, qui bénéficie d’un suivi individuel, explique pourquoi elle a recours à ce service : “J’ai demandé à avoir un tuteur pour mieux communiquer en français. Je prévois aussi inscrire ma fille dans une filière scolaire francophone. Je voulais donc prendre un peu d’avance de manière à ce que nous puissions apprendre ensemble, à l’avenir. ”

Il semble en effet qu’une part importante des utilisateurs du service soient inquiets pour le suivi scolaire de leur enfant en immersion française. Au delà des devoirs scolaires, les parents identifient aussi le bilinguisme comme un facteur de réussite pour l’avenir de leurs enfants. Ce sont d’ailleurs ces considérations qui ont amené Sohee Yoo-Metzler, la coordonnatrice des bénévoles pour la programmation en français, à soumettre l’idée de ce programme et à y dédier toute son énergie.

Ce souci, sinon cet amour pour le bilinguisme, est aussi ce qui pousse les francophones de tous horizons à sortir des rangs et donner de leur temps. Un des premiers tuteurs bénévoles, Khurshed Chowdhury, explique les raisons de son engagement : « Je voulais offrir plus d’occasions aux gens qui apprennent le français d’utiliser cette langue quotidiennement, en Saskatchewan. Faire du bénévolat à la bibliothèque me permet de rendre ça possible. »

Des personnes inquiètes ont pu penser que cette tentative minait, en quelque sorte, le marché des cours de langue en ville. C’est sans doute manquer la visée du programme puisqu’il ne s’agit pas d’enseigner le français, mais de renforcer des apprentissages ultérieurs. Le programme vise donc à rendre à la langue sa place dans la cité, en lui offrant des lieux où le public peut la pratiquer, sans discrimination de niveau ou de revenu.

La Regina Public Library n’a d’ailleurs pas l’intention de s’en tenir là.  Nancy MacKenzie, la responsable de Community Engagement and Programming, a indiqué que d’autres initiatives étaient en cours de discussion, comme par exemple un programme de soutien scolaire en français, qui serait offert par le biais de « Reading Buddies » pour les élèves de la première à la troisième année, avec l’aide d’élèves du secondaire.

Affaire à suivre!

 
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