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Festival fransaskois 2024

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

Thursday, February 27, 2014/Author: Anonym/Number of views (34176)/Comments ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (25366)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (37845)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (21304)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21131)/Comments ()/
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Rideau provisoire sur l'Eau vive, version papier

Author: Sébastien Németh (EV)/Thursday, October 29, 2015/Categories: 2015, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Communication, Éditorial, Opinion

Promo - l'Eau vive écrit l'histoire
C’est la dernière. Le clap de fin. Le baisser de rideau. Le 29 octobre a vu la publication de l’ultime version imprimée de l’Eau vive en 2015. La chose a été dite et répétée, votre journal, comme beaucoup d’autres à travers le Canada, souffre de la crise du papier, souffre de la chute dramatique des revenus publicitaires. Dernière victime en date : le quotidien Le Devoir qui vient de lancer une campagne de financement sur les réseaux sociaux.

Mais comme dit le proverbe, il faut savoir aussi voir la paille (ou la poutre) que l’on a dans l’œil et ne pas s’exonérer de toute responsabilité. Votre hebdomadaire a parfois eu une histoire tumultueuse depuis 1971. Ce n’est pas sa première crise, pas la première fois qu’il met sa parution entre parenthèses. Aujourd’hui, l’Eau vive souffre d’un contexte extrêmement défavorable à la presse écrite. Mais il paye aussi, probablement, les époques sombres de son histoire. Comme un écho venu du passé, il subit certains mauvais choix anciens, certains aléas de gestion. Les racines du mal remontent aussi à bien des années dans le temps. Du temps justement, c’est ce qui manque désormais face à l’hémorragie financière. Alors nous avons entrepris d’essayer d’en gagner.

Pour cela, nous avons décidé de désormais publier un journal aux deux semaines et uniquement sur Internet. Nous avons lancé une campagne de financement auprès de la communauté, en espérant qu’une fois encore, elle viendra à la rescousse de son journal. Nous avons aussi entrepris de réorganiser notre fonctionnement interne. Non par plaisir, mais pour raison économique. La situation nous oblige à prendre des décisions pénibles, délicates, sensibles. Des choix qui touchent à l’humain et à la nature de l’Eau vive qui provisoirement n’est plus un hebdomadaire imprimé, mais un bimensuel électronique. 

Des scénarios pour l’avenir seront proposés aux sociétaires en décembre. Ils auront un choix lourd à faire, déterminant pour le futur de ce journal cher aux Fransaskois et qui l’an prochain fêtera ses 45 ans. Encore faudra-t-il arriver jusqu’à 2016… Car désormais l’avenir s’écrit en pointillés. Nous espérons que toutes ces démarches, associées à la générosité des Fransaskois, permettront au journal de sortir de sa fragilité chronique, de renaître et de se réinventer, pour que perdure l’information en français dans la Saskatchewan.

 

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Sébastien Németh

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 - Saturday 22 June 2024