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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

Thursday, February 27, 2014/Author: Anonym/Number of views (34049)/Comments ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

Thursday, February 20, 2014/Author: Jean-Pierre Picard/Number of views (25263)/Comments ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

Thursday, February 20, 2014/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Number of views (37625)/Comments ()/
Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

Thursday, January 30, 2014/Author: Alexandra Drame (EV)/Number of views (21216)/Comments ()/
Categories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

Thursday, April 12, 2001/Author: L'Eau vive/Number of views (21066)/Comments ()/
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La presse en mode survie

Author: Sébastien Németh/Thursday, October 8, 2015/Categories: 2015, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Éditorial

La presse francophone canadienne se bat. Plusieurs organismes minoritaires (Association de la presse francophone, Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse, Fédération des communautés francophones et acadiennes, etc) ont décidé de monter aux barricades contre le gouvernement et de porter plainte devant le Commissariat aux langues officielles. En cause, la baisse dramatique des publicités fédérales dans nos journaux minoritaires traditionnels, sans aucune concertation avec les médias francophones, ni compensation. L’Eau vive subit la même tendance désastreuse et vient de s’associer à la plainte.

Que cela lui plaise ou non, le gouvernement a des engagements envers les communautés francophones en milieu minoritaire. Que cela lui plaise ou non, il EST gouvernement, il EST soumis aux articles 41 et 42 de la Loi sur les langues officielles. Que cela lui plaise ou non, il a un contrat avec notre minorité. Que cela lui plaise ou non, il doit favoriser notre épanouissement et prendre « des mesures positives pour mettre en œuvre cet engagement ». Que cela lui plaise ou non, en tant que gouvernement, il est lié par ce texte, par ces mots, même si cela n’apporte pas plus d’argent dans ses coffres (ou que cela lui en coûte), même si cela n’apporte pas plus de bulletins de vote dans les urnes. Que cela lui plaise ou non, ne pas utiliser nos journaux ou nos sites Web pour diffuser ses messages officiels ne favorise pas notre épanouissement et n’est pas une mesure positive pour mettre en œuvre son engagement. Ce serait même franchement le contraire… Cette série de plaintes à laquelle chacun peut s’associer (voir texte de l’Association de la presse francophone page 9) apparaît comme un juste retour de bâton, même si l’épilogue de cette procédure ne surviendra pas du jour au lendemain et qu’entre temps, les recettes publicitaires se réduisent comme peau de chagrin, voire disparaissent.

En tout cas, chaque citoyen canadien peut s’associer à cette plainte. En prenant quelques minutes pour remplir le formulaire (www.clo-ocol.gc.ca/fr/formweb-plainte), chacun peut soutenir sa presse minoritaire traditionnelle et montrer son attachement aux médias communautaires. 

De son côté l’Eau vive ne veut pas faire payer les pots cassés à ses lecteurs qui ne sont pour rien dans cette situation. Le prix du journal n’augmentera pas pour compenser les pertes. Au contraire, les prix viennent de baisser. Ceux qui souhaitent désormais s’abonner uniquement à la version électronique du journal paieront 30 dollars par an au lieu de 40. Une décision de bon sens. Les coûts de production de la version électronique et de la version imprimée de l’Eau vive sont différents. Les prix d’abonnement  doivent donc suivre. Une plainte devant le commissariat aux langues officielles, plus un abonnement à l’Eau vive, pourraient constituer un beau geste de soutien.

Le journal organisera dans les prochaines semaines une campagne de levée de fonds auprès de la communauté. Ce sera une autre occasion de soutenir une presse en mode survie.

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Sébastien Németh

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 - Friday 31 May 2024